Originaire du Dorset en Grande-Bretagne, Paul Jenkins s'installe aux États-Unis en 1988. Il enseigne alors la musique à des enfants handicapés. Il fonde bientôt un groupe avec quatre amis, les Grave Woods. Ils tournent un temps à travers les États-Unis avec Jane's Addiction. Mais le voyage prend fin quand le batteur met les voiles avec le camion qui transportait tout leur matériel. Plus tard, Jenkins fait ses débuts dans le monde des comics grâce aux Mirage Studios de Kevin Eastman et Peter Laird, les créateurs des Tortues Ninja, et rejoint la maison d'édition Tundra Publishing lorsque celle-ci rachète les droits des personnages. Mais la société fait faillite. L'artiste se rend à la convention de San Diego où il dégote bientôt un nouveau job et prend la suite de Garth Ennis au scénario de Hellblazer, une série DC/Vertigo. Mais c'est la Maison des Idées qui va faire de lui une star. Joe Quesada, alors responsable de la toute nouvelle collection Marvel Knignts, lui demande de rajeunir les Inhumains et, avec l'aide de l'excellent dessinateur Jae Lee, Jenkins accomplit l'incroyable et voit même la série couronnée d'un prestigieux Eisner Award. Dès lors, tous les éditeurs se l'arrachent. Après un bref passage sur Witchblade de Top Cow, le scénariste revient chez Marvel pour qui il écrit Incredible Hulk, Peter Parker: Spider-Man, des mini-séries dont la remarquable Daredevil/Spider-Man et la très aboutie Sentry sur laquelle il retrouve son compère Jae Lee. Aujourd'hui, il travaille à la fois pour Top Cow et la Maison des Idées. La ''vache'' de Marc Silvestri l'a chargé de remanier totalement l'univers de Witchblade & Co à travers la série régulière Universe mais aussi d'écrire le scénario de la mini-série The Agency illustrée par Kyle Hotz et dont il détient les droits. Parallèlement, il doit bientôt sortir la suite de Sentry et Inhumans et relancer Namor The Sub-Mariner, tout cela sous le label Marvel Knights. Andy Kubert et nombre de fans attendent aussi de le voir à l'œuvre sur la maxi-série Wolverine: Origin qui doit nous faire d'étonnantes révélations sur le passé du mutant griffu.
Originaire du Dorset en Grande-Bretagne, Paul Jenkins s'installe aux États-Unis en 1988. Il enseigne alors la musique à des enfants handicapés. Il fonde bientôt un groupe avec quatre amis, les Grave Woods. Ils tournent un temps à travers les États-Unis avec Jane's Addiction. Mais le voyage prend fin quand le batteur met les voiles avec le camion qui transportait tout leur matériel. Plus tard, Jenkins fait ses débuts dans le monde des comics grâce aux Mirage Studios de Kevin Eastman et Peter Laird, les créateurs des Tortues Ninja, et rejoint la maison d'édition Tundra Publishing lorsque celle-ci rachète les droits des personnages. Mais la société fait faillite. L'artiste se rend à la convention de San Diego où il dégote bientôt un nouveau job et prend la suite de Garth Ennis au scénario de Hellblazer, une série DC/Vertigo. Mais c'est la Maison des Idées qui va faire de lui une star. Joe Quesada, alors responsable de la toute nouvelle collection Marvel Knignts, lui demande de rajeunir les Inhumains et, avec l'aide de l'excellent dessinateur Jae Lee, Jenkins accomplit l'incroyable et voit même la série couronnée d'un prestigieux Eisner Award. Dès lors, tous les éditeurs se l'arrachent. Après un bref passage sur Witchblade de Top Cow, le scénariste revient chez Marvel pour qui il écrit Incredible Hulk, Peter Parker: Spider-Man, des mini-séries dont la remarquable Daredevil/Spider-Man et la très aboutie Sentry sur laquelle il retrouve son compère Jae Lee. Aujourd'hui, il travaille à la fois pour Top Cow et la Maison des Idées. La ''vache'' de Marc Silvestri l'a chargé de remanier totalement l'univers de Witchblade & Co à travers la série régulière Universe mais aussi d'écrire le scénario de la mini-série The Agency illustrée par Kyle Hotz et dont il détient les droits. Parallèlement, il doit bientôt sortir la suite de Sentry et Inhumans et relancer Namor The Sub-Mariner, tout cela sous le label Marvel Knights. Andy Kubert et nombre de fans attendent aussi de le voir […]