Marie-Françoise Plissart, née en 1954, est l’une des figures de la photographie belge. Ses photographies ont été exposées en Belgique, en France, en Suisse, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Autriche. Les gens, les rencontres ou encore les flux occupent le centre de ses travaux photos et vidéos, qu’ils soient menés par elle seule ou en collaboration, qu’ils tiennent du portrait, du roman-photo ou de l’architecture. Son travail sur Kinshasa lui a valu le Lion d'or à la Biennale d'architecture de Venise en 2004. Une rétrospective, « A World without end » lui a été consacrée en 2008 au musée de la photographie d'Anvers. Elle est aussi la réalisatrice de plusieurs vidéo diffusées sur Arte, « L'Occupation des sols » et « Atomium in/out ». Elle a aussi collaboré à plusieurs reprises aux travaux de François Schuiten dans Voyages en utopie (Casterman, 2000), La Maison Autrique (Les Impressions Nouvelles, 2005) et L’Enfant penchée (Casterman, 2007).
Marie-Françoise Plissart, née en 1954, est l’une des figures de la photographie belge. Ses photographies ont été exposées en Belgique, en France, en Suisse, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Autriche. Les gens, les rencontres ou encore les flux occupent le centre de ses travaux photos et vidéos, qu’ils soient menés par elle seule ou en collaboration, qu’ils tiennent du portrait, du roman-photo ou de l’architecture. Son travail sur Kinshasa lui a valu le Lion d'or à la Biennale d'architecture de Venise en 2004. Une rétrospective, « A World without end » lui a été consacrée en 2008 au musée de la photographie d'Anvers. Elle est aussi la réalisatrice de plusieurs vidéo diffusées sur Arte, « L'Occupation des sols » et « Atomium in/out ». Elle a aussi collaboré à plusieurs reprises aux travaux de François Schuiten dans Voyages en utopie (Casterman, 2000), La Maison Autrique (Les Impressions Nouvelles, 2005) et L’Enfant penchée (Casterman, 2007).