Originaire du Kosovo, Gani Jakupi fait son début dans la BD en 1991, comme scénariste de la série Matador (dessinée par Hugues Labiano). Il s’installe en Espagne et change de registre : illustrateur, designer, journaliste, photographe, écrivain (le roman Jour de grâce, des histoires courtes, des recueils de textes d’analyse politique), traducteur, compositeur (un album de jazz en cours d’enregistrement)… En 2005, il crée Music Collection pour l’éditeur barcelonais DiscMedi, des livres-disques consacrés aux grands de tous les genres de musiques. Il se réserve des personnages oubliés ou méconnus par le public européen (Tete Montoliu, Vinícius de Moraes, Pete Seeger, Benny Moré). Armé de cette expérience, il revient à son premier amour, la bande dessinée, avec Le roi invisible réalisé pour Futuropolis. Actuellement, il adapte en bande dessinée, pour Dupuis, son roman Jour de grâce (avec Marc N’Guessan au dessin).
Texte © Futuropolis
Originaire du Kosovo, Gani Jakupi fait son début dans la BD en 1991, comme scénariste de la série Matador (dessinée par Hugues Labiano). Il s’installe en Espagne et change de registre : illustrateur, designer, journaliste, photographe, écrivain (le roman Jour de grâce, des histoires courtes, des recueils de textes d’analyse politique), traducteur, compositeur (un album de jazz en cours d’enregistrement)… En 2005, il crée Music Collection pour l’éditeur barcelonais DiscMedi, des livres-disques consacrés aux grands de tous les genres de musiques. Il se réserve des personnages oubliés ou méconnus par le public européen (Tete Montoliu, Vinícius de Moraes, Pete Seeger, Benny Moré). Armé de cette expérience, il revient à son premier amour, la bande dessinée, avec Le roi invisible réalisé pour Futuropolis. Actuellement, il adapte en bande dessinée, pour Dupuis, son roman Jour de grâce (avec Marc N’Guessan au dessin).
Texte © Futuropolis