Illustratrice et coloriste de bande-dessinée, Virginie Blancher doit à sa formation en design textile une approche singulière de la composition. En 2011, bouleversée par la catastrophe de Fukushima, elle choisit de rendre hommage au Japon à travers des récurrences de motifs se retrouvant d’une œuvre à l’autre. La série exposée au 49 rue Condorcet s’intitule Malgré tout. Les techniques mixtes employées, proches de l’art brut, comme la gouache, l’aquarelle, les crayons de couleur, la mine de plomb, les découpages, évoquent l’enfance. « Travail figuratif autour du corps féminin et du concept de survie mentale » ses images fortes et tendres à la fois associent la douleur de son expérience personnelle et la notion de résilience.
Illustratrice et coloriste de bande-dessinée, Virginie Blancher doit à sa formation en design textile une approche singulière de la composition. En 2011, bouleversée par la catastrophe de Fukushima, elle choisit de rendre hommage au Japon à travers des récurrences de motifs se retrouvant d’une œuvre à l’autre. La série exposée au 49 rue Condorcet s’intitule Malgré tout. Les techniques mixtes employées, proches de l’art brut, comme la gouache, l’aquarelle, les crayons de couleur, la mine de plomb, les découpages, évoquent l’enfance. « Travail figuratif autour du corps féminin et du concept de survie mentale » ses images fortes et tendres à la fois associent la douleur de son expérience personnelle et la notion de résilience.