Serge Lehman est né en 1964 dans l’Essonne. Il découvre la science-fiction à l’âge de dix ans, en même temps que les comics et le rock. Il devient alors guitariste puis animateur dans une émission de radio consacrée à la BD et à la SF. C’est en 1984 qu’il écrit sa première nouvelle, Pastels. Mais c’est seulement en 1990 que paraît son premier roman, La Guerre des sept minutes, sous le pseudonyme de Karel Dekk. En 1993, sa nouvelle Dans l’abîme obtient le Grand Prix de l’Imaginaire, ainsi que le prix Rosny Aîné. Vers la fin des années 1990, il commence alors à écrire des articles théoriques dans Le Magazine littéraire, Les Inrockuptibles, Le Monde diplomatique ou encore L’Humanité, où il anime bientôt une rubrique hebdomadaire, « L’avenir commence demain ». En 2004, il adapte le scénario de la trilogie Nikopol d’Enki Bilal pour en faire le film Immortel, ad vitam, puis commence à travailler sur un scénario de BD (Lone Sloane) avec Philippe Druillet. Il écrit également sous les pseudonymes de Corteval et Don Hérial.
Texte et photo © L'Atalante
Serge Lehman est né en 1964 dans l’Essonne. Il découvre la science-fiction à l’âge de dix ans, en même temps que les comics et le rock. Il devient alors guitariste puis animateur dans une émission de radio consacrée à la BD et à la SF. C’est en 1984 qu’il écrit sa première nouvelle, Pastels. Mais c’est seulement en 1990 que paraît son premier roman, La Guerre des sept minutes, sous le pseudonyme de Karel Dekk. En 1993, sa nouvelle Dans l’abîme obtient le Grand Prix de l’Imaginaire, ainsi que le prix Rosny Aîné. Vers la fin des années 1990, il commence alors à écrire des articles théoriques dans Le Magazine littéraire, Les Inrockuptibles, Le Monde diplomatique ou encore L’Humanité, où il anime bientôt une rubrique hebdomadaire, « L’avenir commence demain ». En 2004, il adapte le scénario de la trilogie Nikopol d’Enki Bilal pour en faire le film Immortel, ad vitam, puis commence à travailler sur un scénario de BD (Lone Sloane) avec Philippe Druillet. Il écrit également sous les pseudonymes de Corteval et Don Hérial.
Texte et photo © L'Atalante