Patrice Rouleau né le 17 août 1948 à Saumur de père et de mère angevins. Vit au Pays Basque depuis l’âge de deux mois. Études d’ébénisterie, a son billet pour l’École Boulle en 1968 quand Neptune lui joue un bien vilain tour.
À Biarritz, le ciel est bleu, la mer est belle et pourtant ... au bout d’une course sur le sable... un plongeon : cou tordu, vertèbres cervicales brisées... Désormais, les yeux essaieront de toucher ce que les mains refusent de faire.
On réapprend à vivre assis. Angle et regard nouveau sur la vie comme une seconde enfance, regard d’adolescent. Les sens rescapés s’affûtent comme le crayon, et l’humour viennent à “son secours”.
Un Premier Prix National, puis un second International, lors d’un concours graphique mondial organisé par le Ministère des Affaires Etrangères d’Israel l’encouragent, depuis l’hôpital où il passera cinq ans, à poursuivre dans cette voie.
Un Premier Prix Amateur lors du 2e Salon International de B.D à Angoulème, primé au 12e et lors du 16e Salon International de l’Humour à Montréal (Canada), Alfrédisable en 1985 au Salon d’Angoulême.
Père d’un berger sans nom et de son chien KaiKou, dont il publie un strip hebdomadaire dans Sud Ouest Dimanche depuis 1987, il l’est également de Gros Moineau & Moinillon deux moines sortis tout droit d’un monastère rabelaisien, dont André Franquin dit : “Plein d’idées d’un charme frais et vif, que l’humour garde parfaitement de la sensiblerie”.
Irrigué de Loire et de Nive, son humour se balance gentiment entre le goût des mots et du dessin , comme la chanson se balade entre parole et musique pour notre plaisir.
Avril 1996, alors qu’il diffuse l’album Accroche-toi et qu’Hachette sort aux éditions n°1 son livre témoignage Moi qui dessine mes lendemains sans mes mains une jeune conductrice vient perdre sa vie en se jetant au volant de sa voiture dans un choc frontal avec l’auteur... Re-trois mois de réanimation, polyfracturé, deux ans d’hôpital, re-réaprendre à écrire et dessiner avec la bouche puis, à force d’économie de trait, il peut à nouveau publier tous les samedi dans le journal Sud-Ouest. Il crée en été 2001 à Périgueux, une exposition très originale (histoire, humour, pédagogie et géologie) sur les chemins de St Jacques de Compostelle, en compagnie de Moineau et Moinillon, ses auteurs personnages fétiches.
Patrice Rouleau né le 17 août 1948 à Saumur de père et de mère angevins. Vit au Pays Basque depuis l’âge de deux mois. Études d’ébénisterie, a son billet pour l’École Boulle en 1968 quand Neptune lui joue un bien vilain tour.
À Biarritz, le ciel est bleu, la mer est belle et pourtant ... au bout d’une course sur le sable... un plongeon : cou tordu, vertèbres cervicales brisées... Désormais, les yeux essaieront de toucher ce que les mains refusent de faire.
On réapprend à vivre assis. Angle et regard nouveau sur la vie comme une seconde enfance, regard d’adolescent. Les sens rescapés s’affûtent comme le crayon, et l’humour viennent à “son secours”.
Un Premier Prix National, puis un second International, lors d’un concours graphique mondial organisé par le Ministère des Affaires Etrangères d’Israel l’encouragent, depuis l’hôpital où il passera cinq ans, à poursuivre dans cette voie.
Un Premier Prix Amateur lors du 2e Salon International de B.D à Angoulème, primé au 12e et lors du 16e Salon International de l’Humour à Montréal (Canada), Alfrédisable en 1985 au Salon d’Angoulême.
Père d’un berger sans nom et de son chien KaiKou, dont il publie un strip hebdomadaire dans Sud Ouest Dimanche depuis 1987, il l’est également de Gros Moineau & Moinillon deux moines sortis tout droit d’un monastère rabelaisien, dont André Franquin dit : “Plein d’idées d’un charme frais et vif, que l’humour garde parfaitement de la sensiblerie”.
Irrigué de Loire et de Nive, son humour se balance gentiment entre le goût des mots et du dessin , comme la chanson se balade entre parole et musique pour notre plaisir.
Avril 1996, alors qu’il diffuse l’album Accroche-toi et qu’Hachette sort aux éditions n°1 son livre témoignage Moi qui dessine mes lendemains sans mes mains une jeune conductrice vient perdre sa vie en se jetant au volant de sa voiture dans un choc frontal avec l’auteur... Re-trois mois de réanimation, polyfracturé, deux ans d’hôpital, re-réaprendre […]