Kati Rickenbach a exposé son travail à Oslo, Naples, Hambourg Bâle ou Münich et a reçu les honneurs d’une exposition complètement dédiée à son travail lors du dernier festival Fumetto de Lucerne. Agée de 27 ans, elle vit et travaille à Zürich. Elle a auto-publié de nombreux récits et a participé aux fanzines allemands Orang, Flitter ou Panik Elektro. Elle a publié, au printemps 2007, sa première BD, Filmriss (éditions Moderne, en allemand). Un objet autobiographique dont le récit, très original, conte la reconstitution d’une nuit d’amour et de rêves pas comme les autres. Se destinant de prime abord au journalisme Kati Rickenbach a très rapidement bifurqué vers le dessin en suivant, notamment, les cours de la Haute école d’art et de design de Lucerne. Elle publie régulièrement ses récits autobiographiques dans des revues alémaniques telles que Strapazin et porte également sa collaboration à Züritip et au supplément thématique Forme du magazine romand Femina. Sa source principale d’inspiration se lit dans la vie de tous les jours car c’est, selon elle, dans le quotidien que l’on trouve les plus belles histoires.
Kati Rickenbach a exposé son travail à Oslo, Naples, Hambourg Bâle ou Münich et a reçu les honneurs d’une exposition complètement dédiée à son travail lors du dernier festival Fumetto de Lucerne. Agée de 27 ans, elle vit et travaille à Zürich. Elle a auto-publié de nombreux récits et a participé aux fanzines allemands Orang, Flitter ou Panik Elektro. Elle a publié, au printemps 2007, sa première BD, Filmriss (éditions Moderne, en allemand). Un objet autobiographique dont le récit, très original, conte la reconstitution d’une nuit d’amour et de rêves pas comme les autres. Se destinant de prime abord au journalisme Kati Rickenbach a très rapidement bifurqué vers le dessin en suivant, notamment, les cours de la Haute école d’art et de design de Lucerne. Elle publie régulièrement ses récits autobiographiques dans des revues alémaniques telles que Strapazin et porte également sa collaboration à Züritip et au supplément thématique Forme du magazine romand Femina. Sa source principale d’inspiration se lit dans la vie de tous les jours car c’est, selon elle, dans le quotidien que l’on trouve les plus belles histoires.