Dès son enfance, Paul a baigné dans un univers familial qui gravitait dans le milieu artistique : peinture, costumes et décors de théâtre. Mais c'est à sa grand-mère qu'il doit sa vocation de metteur en scène, car celle-ci le "traînait" régulièrement au théâtre, comme il aimait à dire. À titre professionnel, il choisira pourtant l'enseignement , via l'éducation nationale, mais répondant très tôt à l'appel du théâtre, il embrassera en fait deux carrières : l'une officielle (alimentaire ?) et l'autre passionnelle… un amour passionnel entre Paul et le théâtre, Amour qui a duré plus de trente ans… Son vœu le plus cher était de créer une troupe qui soit une véritable famille, sa "famille du théâtre"… Et ce vœu se réalisera en 1986, à Poussan, quand il crée la Cie du Strapontin. En véritable patriarche, Paul a mené sa troupe pendant 16 ans, avec une générosité qui n'avait d'égale que son exigence, transmettant son savoir, transfusant sa passion, insufflant son ambition (pour la troupe), tout en rappelant à chacun(e) que si l'ambition fait avancer, la prétention peut faire chuter !
Dès son enfance, Paul a baigné dans un univers familial qui gravitait dans le milieu artistique : peinture, costumes et décors de théâtre. Mais c'est à sa grand-mère qu'il doit sa vocation de metteur en scène, car celle-ci le "traînait" régulièrement au théâtre, comme il aimait à dire. À titre professionnel, il choisira pourtant l'enseignement , via l'éducation nationale, mais répondant très tôt à l'appel du théâtre, il embrassera en fait deux carrières : l'une officielle (alimentaire ?) et l'autre passionnelle… un amour passionnel entre Paul et le théâtre, Amour qui a duré plus de trente ans… Son vœu le plus cher était de créer une troupe qui soit une véritable famille, sa "famille du théâtre"… Et ce vœu se réalisera en 1986, à Poussan, quand il crée la Cie du Strapontin. En véritable patriarche, Paul a mené sa troupe pendant 16 ans, avec une générosité qui n'avait d'égale que son exigence, transmettant son savoir, transfusant sa passion, insufflant son ambition (pour la troupe), tout en rappelant à chacun(e) que si l'ambition fait avancer, la prétention peut faire chuter !