Après une formation en cinéma d’animation à l’ENSSAV (La Cambre) et des études d’Ergologie (ULB), Jacques Faton co-fonde en 1979 l’Atelier Graphoui, atelier de production, Centre d’expression et de créativité et ONG .
Dans ce cadre il participe et co-réalise des films d’animation (l’architecte, Jeune homme 52 ans) et des documentaires de création (la parenté à plaisanterie, Le puits, Du coq à l’âme, Bess Bobu, Entre deux cadres, Laar, Les marais de Ganshoren, Niaye Thiokers /lieu commun …).
Jacques Faton participe à plusieurs projets éditoriaux (Editions Casterman, Yellow Now, Le Cri, Pontos, Khiasma, Lustre, Mayak, Koalath) et à des expositions (Warande, Beaubourg, Musée de Tervueren, Biennale de Dakar, Documenta de kassel, ULB, …).
Par ailleurs, il initie des ateliers d’échanges artistiques avec des partenaires du Burundi, du Burkina Faso et du Sénégal.
Depuis 2000, il travaille à l’élaboration de divers projets évolutifs : « proche /lointain », «se jeter dans l’eau froide/Feral nako »et «Mémoires du football» qui questionne la place et la mémoire de la pratique du football dans les quartiers.
Depuis 2012, il participe à la mise en place d’un projet intitulé « Lieux communs » en partenariat avec des artistes sénégalais.
Ce projet questionne la structure et l’occupation d’espaces urbains en mutation (les marais de Ganshoren/Bruxelles, Niaye Thiokers/Dakar).
Depuis 2018, la question d’espaces en transformation à l’avenir incertain, soumis à des rapports de pouvoirs et des forces souvent opposées est constamment présente dans son travail. (Lanzarote, Epecuen (Argentine), Saint Paulien (France), Forest (Bruxelles).
Son travail pointe des lieux en attente, à la fois ruine et chantier.
Jacques Faton a enseigné à l’ERG (Ecole de Recherche Graphique) en narration et en cinéma d’animation (1990-2018) et à l’ELICIT (ULB).
Après une formation en cinéma d’animation à l’ENSSAV (La Cambre) et des études d’Ergologie (ULB), Jacques Faton co-fonde en 1979 l’Atelier Graphoui, atelier de production, Centre d’expression et de créativité et ONG .
Dans ce cadre il participe et co-réalise des films d’animation (l’architecte, Jeune homme 52 ans) et des documentaires de création (la parenté à plaisanterie, Le puits, Du coq à l’âme, Bess Bobu, Entre deux cadres, Laar, Les marais de Ganshoren, Niaye Thiokers /lieu commun …).
Jacques Faton participe à plusieurs projets éditoriaux (Editions Casterman, Yellow Now, Le Cri, Pontos, Khiasma, Lustre, Mayak, Koalath) et à des expositions (Warande, Beaubourg, Musée de Tervueren, Biennale de Dakar, Documenta de kassel, ULB, …).
Par ailleurs, il initie des ateliers d’échanges artistiques avec des partenaires du Burundi, du Burkina Faso et du Sénégal.
Depuis 2000, il travaille à l’élaboration de divers projets évolutifs : « proche /lointain », «se jeter dans l’eau froide/Feral nako »et «Mémoires du football» qui questionne la place et la mémoire de la pratique du football dans les quartiers.
Depuis 2012, il participe à la mise en place d’un projet intitulé « Lieux communs » en partenariat avec des artistes sénégalais.
Ce projet questionne la structure et l’occupation d’espaces urbains en mutation (les marais de Ganshoren/Bruxelles, Niaye Thiokers/Dakar).
Depuis 2018, la question d’espaces en transformation à l’avenir incertain, soumis à des rapports de pouvoirs et des forces souvent opposées est constamment présente dans son travail. (Lanzarote, Epecuen (Argentine), Saint Paulien (France), Forest (Bruxelles).
Son travail pointe des lieux en attente, à la fois ruine et chantier.
Jacques Faton a enseigné à l’ERG (Ecole de Recherche Graphique) en narration et en cinéma d’animation (1990-2018) et à l’ELICIT (ULB).