Massimo Carlotto est né à Padoue en 1956 et vit à Cagliari. Militant de Lotta Continua dans les années 80, il est accusé à tort d'avoir assassiné une jeune femme ; emprisonné, il profite d'un nouveau procès pour s'enfuir au Mexique, où la police l'arrête, le torture et le renvoie en Italie. Au moment où il décide de se suicider, il est gracié. Il a constitué une importante documentation sur la pègre italienne et les milieux marginaux. Il est considéré comme l'un des représentants les plus intéressants du roman noir italien. Il est l'auteur de nombreux romans, dont quatre sont déjà traduits en France : « En fuite », « La Vérité de l'Alligator », « Arrivederci Amore », et « Le Maître des Nœuds », aux Editions Métailié pour les deux derniers.
Texte © Vents d'Ouest
Massimo Carlotto est né à Padoue en 1956 et vit à Cagliari. Militant de Lotta Continua dans les années 80, il est accusé à tort d'avoir assassiné une jeune femme ; emprisonné, il profite d'un nouveau procès pour s'enfuir au Mexique, où la police l'arrête, le torture et le renvoie en Italie. Au moment où il décide de se suicider, il est gracié. Il a constitué une importante documentation sur la pègre italienne et les milieux marginaux. Il est considéré comme l'un des représentants les plus intéressants du roman noir italien. Il est l'auteur de nombreux romans, dont quatre sont déjà traduits en France : « En fuite », « La Vérité de l'Alligator », « Arrivederci Amore », et « Le Maître des Nœuds », aux Editions Métailié pour les deux derniers.
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