Nadja naît à Alexandrie, en 1955, d’une mère artiste peintre d’origine russe et d’un père libanais, pédiatre amoureux de la littérature et des arts. La famille passe quatre années au Liban, puis s’installe définitivement à Paris en 1960. Les quatre enfants, qui n’iront pas à l’école avant l’adolescence, ont le temps de dessiner, de lire et de jouer tout leur saoul. Pour Nadja, le dessin devient de la peinture, puis des livres pour enfants qui lui permettent diverses expérimentations graphiques tout en racontant des histoires. Avec Chien bleu (L’école des loisirs), l’un de ses premiers ouvrages, le public découvre son talent expressionniste et les splendides couleurs fauves de ses gouaches. Depuis, elle a signé une centaine de livres pour la jeunesse, maintes fois célébrés par les lecteurs, la critique et les prix littéraires. Conte initiatique pour tous les âges, la trilogie de La forêt de l’oubli a la force universelle d’un classique.
Texte et photo © Gallimard
Nadja naît à Alexandrie, en 1955, d’une mère artiste peintre d’origine russe et d’un père libanais, pédiatre amoureux de la littérature et des arts. La famille passe quatre années au Liban, puis s’installe définitivement à Paris en 1960. Les quatre enfants, qui n’iront pas à l’école avant l’adolescence, ont le temps de dessiner, de lire et de jouer tout leur saoul. Pour Nadja, le dessin devient de la peinture, puis des livres pour enfants qui lui permettent diverses expérimentations graphiques tout en racontant des histoires. Avec Chien bleu (L’école des loisirs), l’un de ses premiers ouvrages, le public découvre son talent expressionniste et les splendides couleurs fauves de ses gouaches. Depuis, elle a signé une centaine de livres pour la jeunesse, maintes fois célébrés par les lecteurs, la critique et les prix littéraires. Conte initiatique pour tous les âges, la trilogie de La forêt de l’oubli a la force universelle d’un classique.
Texte et photo © Gallimard