Photo © Manuel F. Picaud / Auracan.com
Né un 14 septembre 1982 à Toulouse, le petit Morgann ne se doute pas encore que son père (comédien/metteur en scène), sa mère (plasticienne) et son grand père (architecte) vont l’initier à l’art de manière général. Durant toute son enfance et son adolescence, il s’essaie donc, à diverses disciplines tel que la danse, la musique, la dramaturgie, la photo, ou encore l’audio-visuel. Mais seul le dessin va réellement lui coller aux baskets. C’est à l’age de huit ans que le jeune Morgann hérite d’une petite collection de comics, et que son père lui fait découvrir, Astérix, Tintin, Spirou et Rahan. La révélation est soudaine. Ca y est, c’est décidé, il sera dessinateur de bande dessiné. Il se mit, alors, à dessiner des Obélix, des Spider man et des Batman, sur les pages des cahiers de cours. Cela n’arrangeant pas son inactivité assidue à l’enseignement général, qu’on tente, tant bien que mal de lui apprendre. Durant son adolescence, la découverte, de peintre comme Mucha, De Vinci, Klimt, Lautrec, et d’auteurs comme Coyote, Maëster, Janry, Gazotti, Mc Farlane, Otomo, Toriyama, Pédrosa, Ramos, Barbucci, Augustin… Vont énormément l’inspirer, et donc enrichir son dessin. En 1999, il rentre au lycée de la communication St Géraud, à Aurillac, pour y apprendre les métiers de la publicité et de l’imprimerie. C’est à cette même période qu’il rencontre Wilfrid Lupano, à Toulouse, qui n’est autre que son voisin récent, et, qui lui donnera de précieux conseils pour devenir auteur de Bande dessinée. C’est n’est que quatre ans plus tard, le BAC en poche, et quelques projets refusés par les éditeurs, que Lupano lui propose une collaboration. Ils signerons un ans plus tard, « L’Ivresse des Fantômes » chez Delcourt.
Texte © Delcourt
Photo © Manuel F. Picaud / Auracan.com
Né un 14 septembre 1982 à Toulouse, le petit Morgann ne se doute pas encore que son père (comédien/metteur en scène), sa mère (plasticienne) et son grand père (architecte) vont l’initier à l’art de manière général. Durant toute son enfance et son adolescence, il s’essaie donc, à diverses disciplines tel que la danse, la musique, la dramaturgie, la photo, ou encore l’audio-visuel. Mais seul le dessin va réellement lui coller aux baskets. C’est à l’age de huit ans que le jeune Morgann hérite d’une petite collection de comics, et que son père lui fait découvrir, Astérix, Tintin, Spirou et Rahan. La révélation est soudaine. Ca y est, c’est décidé, il sera dessinateur de bande dessiné. Il se mit, alors, à dessiner des Obélix, des Spider man et des Batman, sur les pages des cahiers de cours. Cela n’arrangeant pas son inactivité assidue à l’enseignement général, qu’on tente, tant bien que mal de lui apprendre. Durant son adolescence, la découverte, de peintre comme Mucha, De Vinci, Klimt, Lautrec, et d’auteurs comme Coyote, Maëster, Janry, Gazotti, Mc Farlane, Otomo, Toriyama, Pédrosa, Ramos, Barbucci, Augustin… Vont énormément l’inspirer, et donc enrichir son dessin. En 1999, il rentre au lycée de la communication St Géraud, à Aurillac, pour y apprendre les métiers de la publicité et de l’imprimerie. C’est à cette même période qu’il rencontre Wilfrid Lupano, à Toulouse, qui n’est autre que son voisin récent, et, qui lui donnera de précieux conseils pour devenir auteur de Bande dessinée. C’est n’est que quatre ans plus tard, le BAC en poche, et quelques projets refusés par les éditeurs, que Lupano lui propose une collaboration. Ils signerons un ans plus tard, « L’Ivresse des Fantômes » chez Delcourt.
Texte © Delcourt