Vincent Komorowski est né en 1971 dans le nord de la France. Dès son plus jeune âge, dessiner devient rapidement vital. Comme de nombreux enfants, il découvre la BD vers 7-8 ans avec Tintin, Gaston Lagaffe et Spirou. À 12 ans, le choc a lieu quand il ouvre le mensuel Métal Hurlant. Il sera dessinateur, c'est irréversible. Après un cursus classique, il suit les cours d'arts visuels de Cambrai pendant deux ans. Komorowski rencontre David Chauvel grâce au dessinateur Éric Hérenguel. Il lui propose un scénario et c'est ainsi que naît Ocean City. Pour dessiner, Komorowski s'inspire beaucoup du cinéma, de la musique, de la photographie... Il voue une grande admiration à des artistes tels que Moebius, Bilal, Boucq, Hermann, Franquin, Rossi, Liberatore, Bess, Marini, Mandrafina, Breccia... Son autre passion : la musique. Parallèlement à la BD, il adorerait participer à des projets cinématographiques, des illustrations pour la Presse mais aussi pour des pochettes de disques. Rock'n roll bien entendu !
Texte et photo © Delcourt
Vincent Komorowski est né en 1971 dans le nord de la France. Dès son plus jeune âge, dessiner devient rapidement vital. Comme de nombreux enfants, il découvre la BD vers 7-8 ans avec Tintin, Gaston Lagaffe et Spirou. À 12 ans, le choc a lieu quand il ouvre le mensuel Métal Hurlant. Il sera dessinateur, c'est irréversible. Après un cursus classique, il suit les cours d'arts visuels de Cambrai pendant deux ans. Komorowski rencontre David Chauvel grâce au dessinateur Éric Hérenguel. Il lui propose un scénario et c'est ainsi que naît Ocean City. Pour dessiner, Komorowski s'inspire beaucoup du cinéma, de la musique, de la photographie... Il voue une grande admiration à des artistes tels que Moebius, Bilal, Boucq, Hermann, Franquin, Rossi, Liberatore, Bess, Marini, Mandrafina, Breccia... Son autre passion : la musique. Parallèlement à la BD, il adorerait participer à des projets cinématographiques, des illustrations pour la Presse mais aussi pour des pochettes de disques. Rock'n roll bien entendu !
Texte et photo © Delcourt