Hans-Michael Kirstein est né le 1er mars 1958 à Giessen, en Allemagne. Au début des années ’80, il sort des Beaux Arts de Mainz avec un diplôme en art graphique. Depuis, il travaille comme illustrateur indépendant et cartooniste pour des agences de pub et pour l’industrie. On fait également appel à lui pour réaliser des croquis rapides lors de foires internationales. Il est encore éditeur de BD et professeur en matières artistiques. C’est un vrai fan de BD franco-belge depuis qu’il est tout jeune. Aujourd’hui, il donne des conférences sur la BD dans différentes écoles. Inspiré par le très populaire à l’époque, magazine allemand « Zack », où étaient publiées des BD de Vance, Greg, Aidans, Gir et beaucoup d’autres, il démarre, vers 1980, une correspondance soutenue avec Hermann. Cet échange se transformera en réelle amitié ! Kirstein est également co-organisateur de grandes expos sur Hermann en Allemagne, en 1998 et 2006. “La vie exagérée de l’homme nylon” est le premier scénario de Kirstein pour la BD franco-belge.
Texte © Le Lombard
Hans-Michael Kirstein est né le 1er mars 1958 à Giessen, en Allemagne. Au début des années ’80, il sort des Beaux Arts de Mainz avec un diplôme en art graphique. Depuis, il travaille comme illustrateur indépendant et cartooniste pour des agences de pub et pour l’industrie. On fait également appel à lui pour réaliser des croquis rapides lors de foires internationales. Il est encore éditeur de BD et professeur en matières artistiques. C’est un vrai fan de BD franco-belge depuis qu’il est tout jeune. Aujourd’hui, il donne des conférences sur la BD dans différentes écoles. Inspiré par le très populaire à l’époque, magazine allemand « Zack », où étaient publiées des BD de Vance, Greg, Aidans, Gir et beaucoup d’autres, il démarre, vers 1980, une correspondance soutenue avec Hermann. Cet échange se transformera en réelle amitié ! Kirstein est également co-organisateur de grandes expos sur Hermann en Allemagne, en 1998 et 2006. “La vie exagérée de l’homme nylon” est le premier scénario de Kirstein pour la BD franco-belge.
Texte © Le Lombard