Contrairement à Takeski Obata (le dessinateur de "Death Note"), dont la carrière est déjà longue et pleine de succès, "Death Note" est la toute première œuvre signé par Tsugumi Ohba. Le moins que l'on puisse dire concernant cet auteur est qu'il est entouré d'un épais voile de mystère. En effet, tout comme le personnage de L au début de "Death Note", personne ne connait ni son vrai nom ni son visage ! Mais l'histoire trop bien menée de "Death Note" et avec la virtuosité avec laquelle les éléments sont mis en place dénotent un trop grand talent, si bien que beaucoup pensent que, loin d'être un nouvel arrivant, Ohba pourrait en fait, être un pseudonyme destiné à cacher un écrivain ou un scénariste célèbre. S'il s'agit bel et bien d'un pseudonyme, on peut encore se demander si Ohba est un homme ou une femme. Tsugumi est un prénom rare souvent porté par des femmes, mais il est fréquent pour les auteurs de prendre un pseudonyme de sexe opposé. La véritable identité de Ohba est même classée top secret. Il s'agit probablement de l'un des secrets les mieux gardés par l'éditeur japonais Shueisha. On raconte même que seules les hautes sphères de l'éditeur connaitraient la vérité ! Tsugumi Ohba serait Hiroshi Gamô, un mangaka fort connu pour ses mangas humoristiques, comme "Tottemo ! Lucky Man" (Un homme trop chanceux !). Mais il a également dessiné un manga de détective : "Boku wa Shônen Tantei Dan !!" (Dan le détective !!), plus dans la lignée de "Death Note". Cependant, Ohba affirme dans une interview n'être pas passionné par les mangas ; cette hypothèse reste donc douteuse. Certains ont encore cru que Ohba cacherait Ryûsui Seiriyôin, auteur de nombreux romans policiers, ou encore l'écrivaine Miyuki Miyabe. Celle-ci a écrit de nombreux romans destinés à la jeunesse sur les thèmes de la science-fiction, du mystérieux ou de l'histoire. Cependant, dans l'état actuel, rien ne permet d'infirmer ou de confirmer ces hypothèses. Peut-être que la véritable identité de Tsugumi Ohba sera portée à la connaissance de tous dans le futur. Mais en attendant, on ne peut qu'admirer ce qui ressemble à un coup marketing réussi, qui donne une force supplémentaire au manga : un de ses auteurs est aussi mystérieux que l'un de ses personnages !
Contrairement à Takeski Obata (le dessinateur de "Death Note"), dont la carrière est déjà longue et pleine de succès, "Death Note" est la toute première œuvre signé par Tsugumi Ohba. Le moins que l'on puisse dire concernant cet auteur est qu'il est entouré d'un épais voile de mystère. En effet, tout comme le personnage de L au début de "Death Note", personne ne connait ni son vrai nom ni son visage ! Mais l'histoire trop bien menée de "Death Note" et avec la virtuosité avec laquelle les éléments sont mis en place dénotent un trop grand talent, si bien que beaucoup pensent que, loin d'être un nouvel arrivant, Ohba pourrait en fait, être un pseudonyme destiné à cacher un écrivain ou un scénariste célèbre. S'il s'agit bel et bien d'un pseudonyme, on peut encore se demander si Ohba est un homme ou une femme. Tsugumi est un prénom rare souvent porté par des femmes, mais il est fréquent pour les auteurs de prendre un pseudonyme de sexe opposé. La véritable identité de Ohba est même classée top secret. Il s'agit probablement de l'un des secrets les mieux gardés par l'éditeur japonais Shueisha. On raconte même que seules les hautes sphères de l'éditeur connaitraient la vérité ! Tsugumi Ohba serait Hiroshi Gamô, un mangaka fort connu pour ses mangas humoristiques, comme "Tottemo ! Lucky Man" (Un homme trop chanceux !). Mais il a également dessiné un manga de détective : "Boku wa Shônen Tantei Dan !!" (Dan le détective !!), plus dans la lignée de "Death Note". Cependant, Ohba affirme dans une interview n'être pas passionné par les mangas ; cette hypothèse reste donc douteuse. Certains ont encore cru que Ohba cacherait Ryûsui Seiriyôin, auteur de nombreux romans policiers, ou encore l'écrivaine Miyuki Miyabe. Celle-ci a écrit de nombreux romans destinés à la jeunesse sur les thèmes de la science-fiction, du mystérieux ou de l'histoire. Cependant, dans l'état actuel, rien ne permet d'infirmer ou de confirmer […]