Étienne Le Roux est né le 14 décembre 1966 à Madagascar. En seconde, il quitte le Lycée et entre à l'École des Beaux-Arts où il ne reste que deux ans, se heurtant au conformisme des enseignants et à leur mépris pour la bande dessinée. Après avoir tenté, sans succès, d'intégrer la section BD des Beaux-Arts d'Angoulême, il multiplie les petits boulots et travaille sur de nombreux albums qui n'aboutissent pas. Il remplace Matthieu Lauffray sur le deuxième tome de la série Le Serment de l'ambre et ravive ainsi sa passion pour la bande dessinée. Enfin, il peut donner toute la mesure de son talent avec la série Aménophis IV, qu'il réalise sur un scénario de Dieter et des recherches graphiques du célèbre illustrateur Manchu ! Un trio de choc pour une histoire de SF qui démarre sur les chapeaux de roues ! Étienne Le Roux est influencé à la fois par des dessinateurs américains comme Corben et par les dessinateurs franco-belges de la «grande époque» comme Jijé et Franquin. Il voue en outre une grande admiration à Moëbius. Depuis quelques années, il a monté un atelier de dessin à Tours, son lieu de résidence, en compagnie d'autres dessinateurs.
Texte © Delcourt
Étienne Le Roux est né le 14 décembre 1966 à Madagascar. En seconde, il quitte le Lycée et entre à l'École des Beaux-Arts où il ne reste que deux ans, se heurtant au conformisme des enseignants et à leur mépris pour la bande dessinée. Après avoir tenté, sans succès, d'intégrer la section BD des Beaux-Arts d'Angoulême, il multiplie les petits boulots et travaille sur de nombreux albums qui n'aboutissent pas. Il remplace Matthieu Lauffray sur le deuxième tome de la série Le Serment de l'ambre et ravive ainsi sa passion pour la bande dessinée. Enfin, il peut donner toute la mesure de son talent avec la série Aménophis IV, qu'il réalise sur un scénario de Dieter et des recherches graphiques du célèbre illustrateur Manchu ! Un trio de choc pour une histoire de SF qui démarre sur les chapeaux de roues ! Étienne Le Roux est influencé à la fois par des dessinateurs américains comme Corben et par les dessinateurs franco-belges de la «grande époque» comme Jijé et Franquin. Il voue en outre une grande admiration à Moëbius. Depuis quelques années, il a monté un atelier de dessin à Tours, son lieu de résidence, en compagnie d'autres dessinateurs.
Texte © Delcourt