Petite fille, Alison Bechdel était un garçon manqué et ne dessinait que des hommes, gênée par l’image stéréotypée des femmes dans la littérature de jeunesse. C’est en première année d’Université qu’elle se découvrit lesbienne. Elle dessinait ses histoires de lesbiennes dans son courrier privé à des amies, qui l’encouragèrent à envoyer ses planches à Womanews. Cette revue féministe de New York commença à publier la série Dykes to Watch Out For (Les Lesbiennes à suivre) à partir de 1983. À partir de 1990, grâce au succès de la série, Alison Bechdel put vivre uniquement de son travail de dessinatrice. Elle vit depuis dans le Vermont.Elle reconnaît l’influence de la revue Mad et d’auteurs tels que Norman Rockwell, Jane Austen, Robert Crumb, Howard Cruse, entre autres. Elle a aussi publié des dessins dans The Washington Blade, Real Girl, Bay Times (San Francisco), Gay Comix, The Village Voice, Off Our Backs.Depuis juillet 2006, Libération publie dans son cahier "été" sa série autobiographique Fun Home.
Petite fille, Alison Bechdel était un garçon manqué et ne dessinait que des hommes, gênée par l’image stéréotypée des femmes dans la littérature de jeunesse. C’est en première année d’Université qu’elle se découvrit lesbienne. Elle dessinait ses histoires de lesbiennes dans son courrier privé à des amies, qui l’encouragèrent à envoyer ses planches à Womanews. Cette revue féministe de New York commença à publier la série Dykes to Watch Out For (Les Lesbiennes à suivre) à partir de 1983. À partir de 1990, grâce au succès de la série, Alison Bechdel put vivre uniquement de son travail de dessinatrice. Elle vit depuis dans le Vermont.Elle reconnaît l’influence de la revue Mad et d’auteurs tels que Norman Rockwell, Jane Austen, Robert Crumb, Howard Cruse, entre autres. Elle a aussi publié des dessins dans The Washington Blade, Real Girl, Bay Times (San Francisco), Gay Comix, The Village Voice, Off Our Backs.Depuis juillet 2006, Libération publie dans son cahier "été" sa série autobiographique Fun Home.