Simon Andriveau est né en 1978, à Reims. Dessinateur dans l'âme depuis son plus jeune âge, il a toujours été sensible à une petite voix, qui avec le temps, s'est muée en belle certitude, à savoir, que de cette passion, il ferait son métier. Pour parvenir à ses fins, le voici lancé dans des études d'art. Il intègre l'école Émile Cohl à Lyon, puis monte sur Paris pour suivre les cours de la section « cinéma d'animation », de l'école des Gobelins. Fraîchement diplômé, Simon exécute ses premiers pas dans la vie professionnelle au sein d'une entreprise d'effets spéciaux pour le cinéma et la télévision. Il découvre un travail qui lui plaît, pourtant, le dessin lui manque plus que jamais, et lorsqu'on lui propose de collaborer sur un long métrage d'animation, réalisé par Luc Besson, il décide de quitter son travail pour retourner à ses chers crayons. Pour lui, la bande dessinée est un médium fantastique, qui lui offre la possibilité de raconter des histoires avec un minimum de contraintes. Pour créer, Simon s'inspire de ses lectures, du cinéma, de multiples discussions, mais ce qui le touche géneralement, ce sont, avant tout, des lieux, des architectures, des paysages ou des ambiances. Pour Le Grand siècle, il lui faut ainsi deux mois pour mettre en forme ses idées et réaliser quelques dessins. Son projet prenant forme, il est prêt à démarcher les éditeurs, c'est ainsi que les éditions Delcourt accueillent avec enthousiasme les prémices du premier volet du Grand siècle. Simon travaille aujourd'hui à la suite de cette première série historique tout en caressant le rêve d'être un jour l'adaptateur d'un célèbre conte.
Texte © Delcourt
Simon Andriveau est né en 1978, à Reims. Dessinateur dans l'âme depuis son plus jeune âge, il a toujours été sensible à une petite voix, qui avec le temps, s'est muée en belle certitude, à savoir, que de cette passion, il ferait son métier. Pour parvenir à ses fins, le voici lancé dans des études d'art. Il intègre l'école Émile Cohl à Lyon, puis monte sur Paris pour suivre les cours de la section « cinéma d'animation », de l'école des Gobelins. Fraîchement diplômé, Simon exécute ses premiers pas dans la vie professionnelle au sein d'une entreprise d'effets spéciaux pour le cinéma et la télévision. Il découvre un travail qui lui plaît, pourtant, le dessin lui manque plus que jamais, et lorsqu'on lui propose de collaborer sur un long métrage d'animation, réalisé par Luc Besson, il décide de quitter son travail pour retourner à ses chers crayons. Pour lui, la bande dessinée est un médium fantastique, qui lui offre la possibilité de raconter des histoires avec un minimum de contraintes. Pour créer, Simon s'inspire de ses lectures, du cinéma, de multiples discussions, mais ce qui le touche géneralement, ce sont, avant tout, des lieux, des architectures, des paysages ou des ambiances. Pour Le Grand siècle, il lui faut ainsi deux mois pour mettre en forme ses idées et réaliser quelques dessins. Son projet prenant forme, il est prêt à démarcher les éditeurs, c'est ainsi que les éditions Delcourt accueillent avec enthousiasme les prémices du premier volet du Grand siècle. Simon travaille aujourd'hui à la suite de cette première série historique tout en caressant le rêve d'être un jour l'adaptateur d'un célèbre conte.
Texte © Delcourt