Des fenêtres de sa précédente demeure, Michaël Matthys voyait les cheminées d’usines de Charleroi en Belgique. Il leur trouvait une certaine beauté. Ce Carolorégien s’est fait remarquer à l’Académie des Beaux-arts de Tournai par des lithographies dans lesquelles il brossait une jungle charbonneuse, brumeuse comme son pays natal. Il vit à présent dans une riante vallée non loin de Thuin et de la Sambre. Après avoir publié dans plusieurs numéros de la revue Frigobox et participé à l’ouvrage collectif Self-Service, il publie Moloch en 2003 aux éditions Frémok. Il compose ensuite une ode (barbare ?) à Charleroi, La ville rouge à paraître au Frémok, dont les pages, réalisées en sang de boeuf, ont déjà été exposées par son galeriste Jacques Cérami, au centre Beaubourg et à Art Brussels.
Texte © Frémok
Des fenêtres de sa précédente demeure, Michaël Matthys voyait les cheminées d’usines de Charleroi en Belgique. Il leur trouvait une certaine beauté. Ce Carolorégien s’est fait remarquer à l’Académie des Beaux-arts de Tournai par des lithographies dans lesquelles il brossait une jungle charbonneuse, brumeuse comme son pays natal. Il vit à présent dans une riante vallée non loin de Thuin et de la Sambre. Après avoir publié dans plusieurs numéros de la revue Frigobox et participé à l’ouvrage collectif Self-Service, il publie Moloch en 2003 aux éditions Frémok. Il compose ensuite une ode (barbare ?) à Charleroi, La ville rouge à paraître au Frémok, dont les pages, réalisées en sang de boeuf, ont déjà été exposées par son galeriste Jacques Cérami, au centre Beaubourg et à Art Brussels.
Texte © Frémok