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Hubert Rublon dépeint la Bretagne des grandes vacances. Celle du vieux matelot qui roule son gris au bout du port. Celle du jeune crabe qui s'est laissé coincer dans une flaque à marée basse. Un univers où les mouettes se prennent pour des ballerines. Un coin de plage où les vents ramènent des parfums d'hortensias. Un tatouage amarré sur un gros bras. Un canot, paresseusement couché sur le sable. Un bout de quai pour jeter sa ligne. Et un bistrot pour s'en jeter un dernier avant de rentrer. La peinture de Rublon agit par petites touches d'une nostalgie diffuse qui perle sur de grands aplats de couleur. On est en été sous le soleil de 10h. Il fait déjà un peu chaud. Et qu'est-ce qu'on est bien.
Hubert Rublon dépeint la Bretagne des grandes vacances. Celle du vieux matelot qui roule son gris au bout du port. Celle du jeune crabe qui s'est laissé coincer dans une flaque à marée basse. Un univers où les mouettes se prennent pour des ballerines. Un coin de plage où les vents ramènent des parfums d'hortensias. Un tatouage amarré sur un gros bras. Un canot, paresseusement couché sur le sable. Un bout de quai pour jeter sa ligne. Et un bistrot pour s'en jeter un dernier avant de rentrer. La peinture de Rublon agit par petites touches d'une nostalgie diffuse qui perle sur de grands aplats de couleur. On est en été sous le soleil de 10h. Il fait déjà un peu chaud. Et qu'est-ce qu'on est bien.
Sa Bibliographie
Les tableaux synthéthiques ci-dessous peuvent être faussés par des éditions anniversaires (souvent post-mortem). Ils ne tiennent pas compte des autres pseudonymes sous lequel signe cet auteur.