Patricia Lyfoung est née à Villeneuve la Garenne dans les Hauts-de-Seine, le 18 décembre 1977. Elle dessine depuis son plus jeune âge et a toujours voulu en faire son métier. Elle a suivi des études en animation aux Gobelins, et ensuite travaillé quelques années dans l'animation mais et est revenu à ce qu'elle préférait, c'est à dire la BD. En plus de son envie de raconter des histoires, elle voulait s'essayer à une narration franco-belge, loin de ses inspirations manga. Pour la Rose écarlate, c’est en regardant à la télé, le dessin animé de Lady Oscar qu’est née sa passion pour les costumes et les histoires romantiques. C’est un projet qui date de 4 ou 5 ans. Elle se sentait prête à le dessiner avec l’expérience qu’elle a acquis dans le dessin et avec l’aide et l’encouragement de personnes pour sauter le pas et faire de la BD. En BD, très inspirée par le manga et sa narration, par des auteurs comme Rumiko Takahashi ou Misturu Adachi , elle aime aussi la BD européenne et ce que peuvent faire Marini, Yslaire ou Gibrat. Elle est également passionnée par le cinéma, par la peinture, et plus spécialement les impressionnistes et les dessins du peintre Ingres. Mais elle pense que la vie en général peut être à elle seule une inspiration, ça peut être des images, des personnes ou des situations. Sa rencontre avec Philippe Ogaki qui travaille sur la BD des Guerriers du Silence l’a beaucoup aidé sur ses points faibles en dessin : les décors et la couleur. Il lui a permis de se lancer dans le domaine de la BD alors que sa route avait déviée depuis quelques années de cette voie. Aujourd’hui, ils travaillent ensemble et c’est une des personnes (sa place de fiancé aidant) qui est le plus honnête face à son travail et qui n’hésite pas à lui dire ce qui ne convient pas pour qu’elle recommence. Elle rêve de pouvoir vivre de son travail et avoir le temps de dessiner toutes les histoires qu’elle a dans la tête. Elle aimerait beaucoup faire des dédicaces avec Philippe et pouvoir rester et se déplacer toujours avec lui. Sinon, à part un lapin, ils n’ont pas de projet de bébé. En parallèle à la Rose écarlate elle publie des planches dans un style plus « manga » dans le magazine trimestriel Coyote Mag. La BD s'appelle Strike, c'est une histoire d'amour sur fond de base-ball.
Texte © Delcourt
Patricia Lyfoung est née à Villeneuve la Garenne dans les Hauts-de-Seine, le 18 décembre 1977. Elle dessine depuis son plus jeune âge et a toujours voulu en faire son métier. Elle a suivi des études en animation aux Gobelins, et ensuite travaillé quelques années dans l'animation mais et est revenu à ce qu'elle préférait, c'est à dire la BD. En plus de son envie de raconter des histoires, elle voulait s'essayer à une narration franco-belge, loin de ses inspirations manga. Pour la Rose écarlate, c’est en regardant à la télé, le dessin animé de Lady Oscar qu’est née sa passion pour les costumes et les histoires romantiques. C’est un projet qui date de 4 ou 5 ans. Elle se sentait prête à le dessiner avec l’expérience qu’elle a acquis dans le dessin et avec l’aide et l’encouragement de personnes pour sauter le pas et faire de la BD. En BD, très inspirée par le manga et sa narration, par des auteurs comme Rumiko Takahashi ou Misturu Adachi , elle aime aussi la BD européenne et ce que peuvent faire Marini, Yslaire ou Gibrat. Elle est également passionnée par le cinéma, par la peinture, et plus spécialement les impressionnistes et les dessins du peintre Ingres. Mais elle pense que la vie en général peut être à elle seule une inspiration, ça peut être des images, des personnes ou des situations. Sa rencontre avec Philippe Ogaki qui travaille sur la BD des Guerriers du Silence l’a beaucoup aidé sur ses points faibles en dessin : les décors et la couleur. Il lui a permis de se lancer dans le domaine de la BD alors que sa route avait déviée depuis quelques années de cette voie. Aujourd’hui, ils travaillent ensemble et c’est une des personnes (sa place de fiancé aidant) qui est le plus honnête face à son travail et qui n’hésite pas à lui dire ce qui ne convient pas pour qu’elle recommence. Elle rêve de pouvoir vivre de son travail et avoir le temps de dessiner toutes les histoires qu’elle a dans la tête. Elle aimerait beaucoup faire des dédicaces avec Philippe et pouvoir rester […]