Sakka nous donne aujourd’hui la chance de découvrir peut-être l’un des futurs grands noms de la bande dessinée japonaise, issu d’une vague d’auteurs ayant réconcilié – à l’instar de Taiyô Matsumoto (Ping Pong, Number 5) – manga grand public et création alternative. Aussi à l’aise dans les pages de la facétieuse revue d’avant-garde Comic Cue que dans les magazines de prépublications à grands tirages, Akira Saso est avec Matsumoto l’un des contributeurs de Ikki, le magazine haut de gamme destiné aux 25-35 ans lancé par le grand éditeur Shogakukan, dans lequel ont été publiées les pages de Fuji-san, entre 2000 et 2002. Auteur de nombreux autres recueils et courtes séries comme True colors, Saso se consacre également, avec un talent de coloriste remarquable, à l’illustration et la bande dessinée pour enfants.
Texte © Casterman
Sakka nous donne aujourd’hui la chance de découvrir peut-être l’un des futurs grands noms de la bande dessinée japonaise, issu d’une vague d’auteurs ayant réconcilié – à l’instar de Taiyô Matsumoto (Ping Pong, Number 5) – manga grand public et création alternative. Aussi à l’aise dans les pages de la facétieuse revue d’avant-garde Comic Cue que dans les magazines de prépublications à grands tirages, Akira Saso est avec Matsumoto l’un des contributeurs de Ikki, le magazine haut de gamme destiné aux 25-35 ans lancé par le grand éditeur Shogakukan, dans lequel ont été publiées les pages de Fuji-san, entre 2000 et 2002. Auteur de nombreux autres recueils et courtes séries comme True colors, Saso se consacre également, avec un talent de coloriste remarquable, à l’illustration et la bande dessinée pour enfants.
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