Cécile Grenier est opératrice de prises de vue pour France Télévisions. En mai 2002, Cécile, jeune diplômée de l'école de cinéma la Fémis décide d'aller au Rwanda vérifier sur place ce qu'elle a lu et entendu sur le conflit. Elle part pendant cinq semaines avec une petite caméra. De taxi en bus, elle parcourt le pays.
Elle a publié deux bandes dessinées chez Albin Michel, rééditées en un seul album, « Rwanda 1994 », chez Glénat. Et en 2008 elle crée son association "Rwanda main dans la main" pour mener des actions concrètes d'aide en direction des Rwandais.
La jeune femme récoltera en tout quarante heures de témoignages de rescapés du génocide, mais aussi de miliciens, de militaires, de bourgmestres, de gardiens de camp, etc., qui vont rendre possible la publication des deux tomes de « Rwanda 1994 ». Dans ces BD, elle raconte le destin tragique de Mathilde et des siens, des premiers jours du génocide jusqu'aux camps de réfugiés. « Un scénariste m'a aidée pour écrire l'histoire et un dessinateur congolais, Massioni, l'a illustrée », précise-t-elle. Elle reverse ses droits d'auteur à des actions humanitaires pour le Rwanda par l'intermédiaire de son association.
Texte et photo © Babelio
Cécile Grenier est opératrice de prises de vue pour France Télévisions. En mai 2002, Cécile, jeune diplômée de l'école de cinéma la Fémis décide d'aller au Rwanda vérifier sur place ce qu'elle a lu et entendu sur le conflit. Elle part pendant cinq semaines avec une petite caméra. De taxi en bus, elle parcourt le pays.
Elle a publié deux bandes dessinées chez Albin Michel, rééditées en un seul album, « Rwanda 1994 », chez Glénat. Et en 2008 elle crée son association "Rwanda main dans la main" pour mener des actions concrètes d'aide en direction des Rwandais.
La jeune femme récoltera en tout quarante heures de témoignages de rescapés du génocide, mais aussi de miliciens, de militaires, de bourgmestres, de gardiens de camp, etc., qui vont rendre possible la publication des deux tomes de « Rwanda 1994 ». Dans ces BD, elle raconte le destin tragique de Mathilde et des siens, des premiers jours du génocide jusqu'aux camps de réfugiés. « Un scénariste m'a aidée pour écrire l'histoire et un dessinateur congolais, Massioni, l'a illustrée », précise-t-elle. Elle reverse ses droits d'auteur à des actions humanitaires pour le Rwanda par l'intermédiaire de son association.
Texte et photo © Babelio