Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Dessins surchargés de références à l’univers spécifique de Jacovitti : saucissons omniprésents, serpents partout, dés et peignes qui jaillissent des personnages lorsqu’ils se prennent une raclée, etc. : cette série, 3e album paru chez Garnault de Zorry Kid, est dans la lignée de Coccobill. On y retrouve le même absurde, peut-être cependant moins virulent, moins foisonnant d’idées. Le fond de l’histoire est une démarque des aventures de Zorro, tournées dans une dérision qui les rend plus qu’étrangères à leur modèle. Le reste se greffe en toute innocence (folie) débridée ; même si les ficelles sont très grosses, les jeux de mots traduits en français tiennent encore la route, et l’épaisseur du trait (scénaristique) fait partie des règles du genre. Il y a de quoi bien rire si l’on passe le cap du graphisme, rendu plus difficile encore par l’absence de couleurs, et donc par l’absence de points saillants qui guident le regard. On est déjà heureux, ici, lorsque les longues moustaches noires de Perfidio apparaissent, et lorsqu’elles sont transformées en poisson par le sorcier Abraca, on souhaite vivement qu’elles reviennent vite.
Dessins surchargés de références à l’univers spécifique de Jacovitti : saucissons omniprésents, serpents partout, dés et peignes qui jaillissent des personnages lorsqu’ils se prennent une raclée, etc. : cette série, 3e album paru chez Garnault de Zorry Kid, est dans la lignée de Coccobill. On y retrouve le même absurde, peut-être cependant moins virulent, moins foisonnant d’idées. Le fond de l’histoire est une démarque des aventures de Zorro, tournées dans une dérision qui les rend plus qu’étrangères à leur modèle. Le reste se greffe en toute innocence (folie) débridée ; même si les ficelles sont très grosses, les jeux de mots traduits en français tiennent encore la route, et l’épaisseur du trait (scénaristique) fait partie des règles du genre. Il y a de quoi bien rire si l’on passe le cap du graphisme, rendu plus difficile encore par l’absence de couleurs, et donc par l’absence de points saillants qui guident le regard. On est déjà heureux, ici, lorsque les longues moustaches noires de Perfidio apparaissent, et lorsqu’elles sont transformées en poisson par le sorcier Abraca, on souhaite vivement qu’elles reviennent vite.