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Ma poursuite de l'aventure zombie continue alors que je n'arrive toujours pas à mettre la main sur le fameux Walking Dead qui serait un chef d'oeuvre du genre et donc la référence suprême.
En l'espèce, j'ai été attiré par la couverture qui ressemble à ces vieux films des années 50. Cependant, la matière m'a un peu déçu car le concept de coexistence des morts-vivants avec les vivants ne m'a pas trop emballé. Par ailleurs, c'est hautement satirique. La dérision n'a jamais été mon point fort.
Au final, même si je reconnais qu'il y a ici et là des choses amusantes, ce traitement de l'univers zombie ne m'a guère plu.
Pas vraiment accroché ! Et c'est pas faute de pas aimer les histoires de zombies...bien au contraire. Mais j'ai eu la désagréable impressions de lire JC Thergal chez les zombies tout au long de ma ma lecture !? Et puis le concept s'essouffle assez vite en fait, même si il faut bien avouer qu'il permet de traiter de thèmes importants sous un angle assez nouveau...Bref, pas pour moi, ce qui veut pas dire que c'est pas fait pour les autres !!
Nous sommes en 2064 à Los Angeles. Depuis quelques années, les morts ne le sont plus vraiment et partagent tant bien que mal leur existence de "non-vivants" (le terme politiquement correct pour parler des zombies) avec les vivants, sous protection du gouvernement. Les aïeux disparus reprennent leur place dans les familles, ce qui ne manque pas de faire grincer les dents des gendres ("A domestic drama in suburban hell"), les gloires passées font leur come-back ("Dead girl superstar") et la situation donne des idées tordues à un bon paquet de personnes, vivantes ou zombies. Et c’est grâce aux déviances de certains que Karl Neard (un grand benêt plein d’acné sapé en aventurier), sa sœur Maggie et leur pote belge Freddie Merckx gagnent leur vie, en se débarrassant d’un zombie qui pue ou en déterrant une actrice de série Z pour un collectionneur richissime par exemple.
C’est dans ce cadre moribo-burlesque que se déroule "Les zombies qui ont mangé le monde", un hommage humoristique à l’œuvre de George A. Romero à qui ce premier tome est d’ailleurs dédié. En prenant un sujet aussi délicat que la mort, les ficelles comiques et les situations absurdes peuvent pleuvoir pour peu qu’on ose jouer la carte de la provoc’ ou de la transgression jusqu’au bout.
Alors certes, il y a bien quelques allusions un peu tordues (Karl qui cache une jeune zombie sous son lit, un père qui demande à ses enfants d’arrêter de tirer au fusil sur le grand père) mais dans l’ensemble, c’est "beaucoup de bruit pour rien". Les mini-histoires (publiées à l’origine dans "Métal Hurlant") ne sont guère palpitantes, les personnages principaux peu attachants et tellement légèrement effleurés que c’est avec une indifférence polie qu’on suit leurs péripéties pourtant assez extraordinaires. Un frémissement se fait sentir avec le chapitre 4 ("Enter the amazing Belgian"), espoir d’une intrigue un peu plus profonde mais ce n’est guère suffisant pour effacer la déception globale.
On a vu avec The Goon que les zombies dans la bédé pouvaient être sérieusement poilants pour peu que les dialogues tiennent la route. Ici, c’est raté : ça manque de rythme, les répliques tombent souvent à plat, les réparties sont téléphonées et les blagues périmées (tout juste pourra-t-on apprécier les différents clins d’œil disséminés ça et là). Il faut dire que les vivants sont globalement assez tristes et les zombies peu causants. Bref, pour une dilatation de la rate, on repassera.
Alors peut-être faut-il être un inconditionnel du genre pour apprécier ces "Zombies qui ont mangé le monde" mais on n’y retrouve ni l’humour d’un Goon, ni la critique sociale d’un film de Romero (même si on en retrouve quelques bribes). Quant au dessin, il peine à convaincre et manque de caractère. Mauvaise pioche donc, si vous me permettez le bon mot.
j'ai acheté l' album sur la foi des critiques que j'avais lues. disons-le de suite, je regrette . outre un dessin que je trouve franchement médiocre, l'histoire m'a fait assez peu rire ...en plus ça se lit hyper vite.
bref j'ai du mal à comprendre les nombreuses éloges que cette série a récolté .
mais bon , comme on dit, les gouts et les couleurs....
Une excellente critique sociale dissiminée au-travers de cette histoire burlesque. Présentées en saynètes, les histoires se suivent cependant. Tout le monde devrait-il avoir un zombie à la maison? À vous de le décider!
À remarquer dans les premières pages, le papy a un sapin odorant autour du cou pour l'empêcher de sentir...Rigolo et songé! À quand le prochain?
Fan des zombies de tout poils, j'ai été agréablement surpris de pouvoir les connaitre sous un nouvel angle. L'idée de leur domestication est vraiment très sympathique à la même auteur que celle que TOUS les morts vont revenir sur terre. Le scénariste c'est confié là une véritable mine d'or à exploiter. Les dialogues cru, les dessins vaseux de Guy Davis et les idées déjantées, voir imorales, du scénariste font un ensemble qui fait qu'on se prend très au scénario. Petit clin d'oeil très appréciable au Maitre du genre Georges A.Roméro. D'ailleurs, pour les intéressés, les critiques de cette Bandes dessinées par Tobe Hooper, Georges Romero et Mike Mignola sont inscrites au verso.
Ma poursuite de l'aventure zombie continue alors que je n'arrive toujours pas à mettre la main sur le fameux Walking Dead qui serait un chef d'oeuvre du genre et donc la référence suprême.
En l'espèce, j'ai été attiré par la couverture qui ressemble à ces vieux films des années 50. Cependant, la matière m'a un peu déçu car le concept de coexistence des morts-vivants avec les vivants ne m'a pas trop emballé. Par ailleurs, c'est hautement satirique. La dérision n'a jamais été mon point fort.
Au final, même si je reconnais qu'il y a ici et là des choses amusantes, ce traitement de l'univers zombie ne m'a guère plu.
Pas vraiment accroché ! Et c'est pas faute de pas aimer les histoires de zombies...bien au contraire. Mais j'ai eu la désagréable impressions de lire JC Thergal chez les zombies tout au long de ma ma lecture !? Et puis le concept s'essouffle assez vite en fait, même si il faut bien avouer qu'il permet de traiter de thèmes importants sous un angle assez nouveau...Bref, pas pour moi, ce qui veut pas dire que c'est pas fait pour les autres !!
Nous sommes en 2064 à Los Angeles. Depuis quelques années, les morts ne le sont plus vraiment et partagent tant bien que mal leur existence de "non-vivants" (le terme politiquement correct pour parler des zombies) avec les vivants, sous protection du gouvernement. Les aïeux disparus reprennent leur place dans les familles, ce qui ne manque pas de faire grincer les dents des gendres ("A domestic drama in suburban hell"), les gloires passées font leur come-back ("Dead girl superstar") et la situation donne des idées tordues à un bon paquet de personnes, vivantes ou zombies. Et c’est grâce aux déviances de certains que Karl Neard (un grand benêt plein d’acné sapé en aventurier), sa sœur Maggie et leur pote belge Freddie Merckx gagnent leur vie, en se débarrassant d’un zombie qui pue ou en déterrant une actrice de série Z pour un collectionneur richissime par exemple.
C’est dans ce cadre moribo-burlesque que se déroule "Les zombies qui ont mangé le monde", un hommage humoristique à l’œuvre de George A. Romero à qui ce premier tome est d’ailleurs dédié. En prenant un sujet aussi délicat que la mort, les ficelles comiques et les situations absurdes peuvent pleuvoir pour peu qu’on ose jouer la carte de la provoc’ ou de la transgression jusqu’au bout.
Alors certes, il y a bien quelques allusions un peu tordues (Karl qui cache une jeune zombie sous son lit, un père qui demande à ses enfants d’arrêter de tirer au fusil sur le grand père) mais dans l’ensemble, c’est "beaucoup de bruit pour rien". Les mini-histoires (publiées à l’origine dans "Métal Hurlant") ne sont guère palpitantes, les personnages principaux peu attachants et tellement légèrement effleurés que c’est avec une indifférence polie qu’on suit leurs péripéties pourtant assez extraordinaires. Un frémissement se fait sentir avec le chapitre 4 ("Enter the amazing Belgian"), espoir d’une intrigue un peu plus profonde mais ce n’est guère suffisant pour effacer la déception globale.
On a vu avec The Goon que les zombies dans la bédé pouvaient être sérieusement poilants pour peu que les dialogues tiennent la route. Ici, c’est raté : ça manque de rythme, les répliques tombent souvent à plat, les réparties sont téléphonées et les blagues périmées (tout juste pourra-t-on apprécier les différents clins d’œil disséminés ça et là). Il faut dire que les vivants sont globalement assez tristes et les zombies peu causants. Bref, pour une dilatation de la rate, on repassera.
Alors peut-être faut-il être un inconditionnel du genre pour apprécier ces "Zombies qui ont mangé le monde" mais on n’y retrouve ni l’humour d’un Goon, ni la critique sociale d’un film de Romero (même si on en retrouve quelques bribes). Quant au dessin, il peine à convaincre et manque de caractère. Mauvaise pioche donc, si vous me permettez le bon mot.
j'ai acheté l' album sur la foi des critiques que j'avais lues. disons-le de suite, je regrette . outre un dessin que je trouve franchement médiocre, l'histoire m'a fait assez peu rire ...en plus ça se lit hyper vite.
bref j'ai du mal à comprendre les nombreuses éloges que cette série a récolté .
mais bon , comme on dit, les gouts et les couleurs....
Une excellente critique sociale dissiminée au-travers de cette histoire burlesque. Présentées en saynètes, les histoires se suivent cependant. Tout le monde devrait-il avoir un zombie à la maison? À vous de le décider!
À remarquer dans les premières pages, le papy a un sapin odorant autour du cou pour l'empêcher de sentir...Rigolo et songé! À quand le prochain?
Fan des zombies de tout poils, j'ai été agréablement surpris de pouvoir les connaitre sous un nouvel angle. L'idée de leur domestication est vraiment très sympathique à la même auteur que celle que TOUS les morts vont revenir sur terre. Le scénariste c'est confié là une véritable mine d'or à exploiter. Les dialogues cru, les dessins vaseux de Guy Davis et les idées déjantées, voir imorales, du scénariste font un ensemble qui fait qu'on se prend très au scénario. Petit clin d'oeil très appréciable au Maitre du genre Georges A.Roméro. D'ailleurs, pour les intéressés, les critiques de cette Bandes dessinées par Tobe Hooper, Georges Romero et Mike Mignola sont inscrites au verso.