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Cette histoire d'amour qui finit mal comme un zeste de citron ne m'a pas trop séduit. Je pense que la qualité narrative est au rendez-vous. Cependant, j'ai eu l'impression de lire un long monologue s'apparentant à une oeuvre littéraire plutôt que de ressentir cela en image et donc sur le support de la bande dessinée.
Par ailleurs, les histoires de drogue et de déchéance humaine ne m'intéressent pas des masses. C'est un milieu trop glauque pour susciter mon intérêt. C'est comme ça. Je fais un blocage...
Le monologue qui va durer tout de même 64 pages semble totalement déconnecté des images où on a droit à une expérimentation graphique digne des visions lorsque l'on est shooté. J'ai entrevu vaguement que le couple s'était refugié dans un hôtel où il casse la tuyauterie du lavabo. Les pompiers interviennent ainsi que le directeur de l'hôtel qui apparait comme un vampire. On ne se remet jamais en question. C'est toujours la faute des autres.
Non, j'ai pas été touché par ce récit au point de ne pas savoir aujourd'hui où il voulait en venir. J'ai compris qu'il y avait comme une déformation de la réalité. Cependant, cette torture morale ne fait pas de bien même pour le lecteur qui réussirait à déchiffrer le message voulu par l'auteur.
Cette histoire d'amour qui finit mal comme un zeste de citron ne m'a pas trop séduit. Je pense que la qualité narrative est au rendez-vous. Cependant, j'ai eu l'impression de lire un long monologue s'apparentant à une oeuvre littéraire plutôt que de ressentir cela en image et donc sur le support de la bande dessinée.
Par ailleurs, les histoires de drogue et de déchéance humaine ne m'intéressent pas des masses. C'est un milieu trop glauque pour susciter mon intérêt. C'est comme ça. Je fais un blocage...
Le monologue qui va durer tout de même 64 pages semble totalement déconnecté des images où on a droit à une expérimentation graphique digne des visions lorsque l'on est shooté. J'ai entrevu vaguement que le couple s'était refugié dans un hôtel où il casse la tuyauterie du lavabo. Les pompiers interviennent ainsi que le directeur de l'hôtel qui apparait comme un vampire. On ne se remet jamais en question. C'est toujours la faute des autres.
Non, j'ai pas été touché par ce récit au point de ne pas savoir aujourd'hui où il voulait en venir. J'ai compris qu'il y avait comme une déformation de la réalité. Cependant, cette torture morale ne fait pas de bien même pour le lecteur qui réussirait à déchiffrer le message voulu par l'auteur.