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Je n'ai pas du tout accroché à la lecture de Zéro absolu. Je pense que c'est malheureusement une BD qui date, qui a peut être marqué à sa sortie, mais maintenant il y a trop de choses qui ne vont pas. A commencer par la figure de la blonde, qui (parce qu'elle est blonde et jolie j'imagine), est dessinée dans des poses lascives, bouche ouverte à la Manara ou cul dressé... le mouvement Metoo est passé par là, désolée mais maintenant c'est limite ridicule. Les personnages ne sont pas toujours bien discernables, ça pollue la lecture et la fluidité de l'histoire. Celle ci tient la route, mais ne détrône pas Sanctuaire, qui avait réussi à me faire froid dans le dos. Les références au western spaghetti sont redondantes et plutôt pénibles et sans intérêt. La fin n'est pas très claire je trouve, bref je n'ai pas aimé.
Je suis devenu un fan SF de Marazano, mais sur cette série, BOF ! heureusement que j'ai acheté les albums à bon prix !
Le genre de l'histoire est SF tendant fortement vers le fantastique. Est-ce qu'elle porte surtout la patte de Bec ou de Marazano ? Peu importe car c'est assez indigeste.
Le dessin est celui de Bec: très classique pour moi, pas désagréable mais pas révolutionnaire. Beaucoup de critiques lui ont reproché de ne pas suffisament bien travailler les visages. Bon, pour moi, cela passe relativement bien, mais ce qu'il faut remettre en cause, c'est plutôt la mise en scène, la manière dont certaines sont découpées: on a parfois du mal à suivre le fil. Le nombre de personnage n'aide pas forcément. Le jeu de changement de points de vue entre les caméras est assez intéressant.
Il y a un point noir et c'est cette manie des auteurs d'insérer dans le cours de l'histoire des scènes styles western ou style XIXième qui renvoient au livre que relit le héros en permanence. C'est franchement enervant, cela n'apporte rien à l'histoire et cela la rend encore moins compréhensible. Se référer au film "on l'appelle personne" avec terence Hill et Henry Fonda: on se demande ce que cela vient faire là. Et puis il y a ces espèces d'échos radio que l'on "entend" dans le dernier album et qui accompagnent la fin de la narration: franchement, on s'en passerait !!
L'idée du scénario est celle d'un "esprit" qui prend successivement possession des corps des membres du commando, un peu comme un parasite. Il veut se "nourrir" de ses hôtes. Bon... est-ce original ? Le fil scénaristique est assez convenu: les rebondissements sont prévisibles car ils y passent tous à la queue leuleu. Il y a une sorte d'atmosphère proche d'alien, mais c'est insuffisant pour remonter le niveau. Les personnages sont somme toute assez caricaturaux: cela aurait pu avoir son charme, mais pour moi cela tend plutôt à enfoncer l'ensemble.
A découvrir pour les fans de Bec, pour ceux de Marazano dont je suis, j'ai plus de doutes.
Les critiques sont légion ! Pourtant, importe plus que le scénario, il sert de prétexte, peu importe la fin, elle sert le mythe. Tous les codes du genres sont présent mais surtout magnifiés !!! La raison n'est pas le fond (l'histoire) mais la forme (la mise en scène) !!! Et elle est magnifique. Comme un film d'Alexandre Aja, il y a les thèmes ultra connus, et la mamière dont ils sont traités... un chef d'oeuvre du genre. Une immersion dans un univers clos, glauque, froid, sombre, on ressent la peur, la folie... une pure merveille !!! Mythique !
Et qui d'autre est capable de nous livré de telles ambiances en BD ?
ALors là, je ne m'étais jamais autant ennuyer en lisant une BD.
J'ai pas compris le scénario, le dessin m'a "repoussé" plus d'une fois.
Et pour les personnages, qui est qui?? Je continue a me poser la question.
Bref, a éviter selon moi
J'ai eu du mal à terminer la lecture. On se demande toujours qui est qui et qui fait quoi dans cette BD.
Par contre, la série est plutôt originale, construite comme un film, avec beaucoup de "flash". La bande dessinée n'est peu être pas le meilleur support pour cela.
Bref, la grande équipe qui a travaillée pour cette série a essayé des choses nouvelles au niveau du scénario et des images qui ne sont pas classiques. A lire une fois pour se faire un avis.
Je n'ai pas du tout accroché à la lecture de Zéro absolu. Je pense que c'est malheureusement une BD qui date, qui a peut être marqué à sa sortie, mais maintenant il y a trop de choses qui ne vont pas. A commencer par la figure de la blonde, qui (parce qu'elle est blonde et jolie j'imagine), est dessinée dans des poses lascives, bouche ouverte à la Manara ou cul dressé... le mouvement Metoo est passé par là, désolée mais maintenant c'est limite ridicule. Les personnages ne sont pas toujours bien discernables, ça pollue la lecture et la fluidité de l'histoire. Celle ci tient la route, mais ne détrône pas Sanctuaire, qui avait réussi à me faire froid dans le dos. Les références au western spaghetti sont redondantes et plutôt pénibles et sans intérêt. La fin n'est pas très claire je trouve, bref je n'ai pas aimé.
Je suis devenu un fan SF de Marazano, mais sur cette série, BOF ! heureusement que j'ai acheté les albums à bon prix !
Le genre de l'histoire est SF tendant fortement vers le fantastique. Est-ce qu'elle porte surtout la patte de Bec ou de Marazano ? Peu importe car c'est assez indigeste.
Le dessin est celui de Bec: très classique pour moi, pas désagréable mais pas révolutionnaire. Beaucoup de critiques lui ont reproché de ne pas suffisament bien travailler les visages. Bon, pour moi, cela passe relativement bien, mais ce qu'il faut remettre en cause, c'est plutôt la mise en scène, la manière dont certaines sont découpées: on a parfois du mal à suivre le fil. Le nombre de personnage n'aide pas forcément. Le jeu de changement de points de vue entre les caméras est assez intéressant.
Il y a un point noir et c'est cette manie des auteurs d'insérer dans le cours de l'histoire des scènes styles western ou style XIXième qui renvoient au livre que relit le héros en permanence. C'est franchement enervant, cela n'apporte rien à l'histoire et cela la rend encore moins compréhensible. Se référer au film "on l'appelle personne" avec terence Hill et Henry Fonda: on se demande ce que cela vient faire là. Et puis il y a ces espèces d'échos radio que l'on "entend" dans le dernier album et qui accompagnent la fin de la narration: franchement, on s'en passerait !!
L'idée du scénario est celle d'un "esprit" qui prend successivement possession des corps des membres du commando, un peu comme un parasite. Il veut se "nourrir" de ses hôtes. Bon... est-ce original ? Le fil scénaristique est assez convenu: les rebondissements sont prévisibles car ils y passent tous à la queue leuleu. Il y a une sorte d'atmosphère proche d'alien, mais c'est insuffisant pour remonter le niveau. Les personnages sont somme toute assez caricaturaux: cela aurait pu avoir son charme, mais pour moi cela tend plutôt à enfoncer l'ensemble.
A découvrir pour les fans de Bec, pour ceux de Marazano dont je suis, j'ai plus de doutes.
Les critiques sont légion ! Pourtant, importe plus que le scénario, il sert de prétexte, peu importe la fin, elle sert le mythe. Tous les codes du genres sont présent mais surtout magnifiés !!! La raison n'est pas le fond (l'histoire) mais la forme (la mise en scène) !!! Et elle est magnifique. Comme un film d'Alexandre Aja, il y a les thèmes ultra connus, et la mamière dont ils sont traités... un chef d'oeuvre du genre. Une immersion dans un univers clos, glauque, froid, sombre, on ressent la peur, la folie... une pure merveille !!! Mythique !
Et qui d'autre est capable de nous livré de telles ambiances en BD ?
ALors là, je ne m'étais jamais autant ennuyer en lisant une BD.
J'ai pas compris le scénario, le dessin m'a "repoussé" plus d'une fois.
Et pour les personnages, qui est qui?? Je continue a me poser la question.
Bref, a éviter selon moi
J'ai eu du mal à terminer la lecture. On se demande toujours qui est qui et qui fait quoi dans cette BD.
Par contre, la série est plutôt originale, construite comme un film, avec beaucoup de "flash". La bande dessinée n'est peu être pas le meilleur support pour cela.
Bref, la grande équipe qui a travaillée pour cette série a essayé des choses nouvelles au niveau du scénario et des images qui ne sont pas classiques. A lire une fois pour se faire un avis.
jef