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A vrai dire, je ne connaissais pas du tout ce phénomène qu'ont été les zazous durant l'Occupation. Voici une BD qui leur est consacrée.
C'était une contre-culture des années 40 avec de jeunes gens reconnaissables à leurs vêtements anglais ou américains, et affichant leur amour du jazz. Ils étaient jeunes et plutôt modernes en tranchant radicalement avec les idées nauséabondes de leurs parents qui avaient entraîné le monde dans la haine et la guerre.
On retrouve des jeunes qui ont une attitude assez insouciante par rapport à l'Occupation nazie et qui semblent défier aussi bien les autorités françaises qu'allemandes. Ils se définissent comme avoir un esprit libre. Ils organisent des parties de danse (swing) dans des clubs en sous-sol malgré le couvre-feu imposé.
Pour autant, au fil de ce tome, ils vont très vite être rattrapé par la guerre qui s'insinue dans la capitale qui a été épargnée par les combats. Les premières condamnations à mort tombèrent en décembre 1940 parmi ceux qui résistent. L'un des zazous sera exécuté pour avoir frappé un soldat allemand alors qu'il était dans un état d'ébriété en n'ayant pas respectée couvre-feu.
Ce mouvement n'était guère apprécié par le maréchal Pétain et par l'occupant nazi car trop d'inspiration américaine. La liberté ne faisait pas vraiment partie de leurs valeurs.
Il y a tout un récit assez intéressant suite à une infiltration dans ce groupe contestataire. L'indic va tomber amoureux de ce style de vie et de culture.
J'ai beaucoup aimé cette BD au graphisme assez avenant et aux couleurs réussies. Il y a un certain dynamisme des cases qui est tout à fait remarquable. Les vêtements sont parfaitement retranscris à la mode zazous. Certes, outrancier mais dans l'élégance !
Le dossier en fin d'album est également assez intéressant. Bref, je n'avais jamais vu cet angle-là de l'Occupation ce qui n'en demeure pas moins réel d'après les faits historiques et les témoignages de cette époque. Ne pas subir était la devise des zazous. Il faut retenir ! Bref, on va naviguer entre swing et révolte.
On suivra avec le plus grand intérêt les deux autres tomes à venir de cette série.
A vrai dire, je ne connaissais pas du tout ce phénomène qu'ont été les zazous durant l'Occupation. Voici une BD qui leur est consacrée.
C'était une contre-culture des années 40 avec de jeunes gens reconnaissables à leurs vêtements anglais ou américains, et affichant leur amour du jazz. Ils étaient jeunes et plutôt modernes en tranchant radicalement avec les idées nauséabondes de leurs parents qui avaient entraîné le monde dans la haine et la guerre.
On retrouve des jeunes qui ont une attitude assez insouciante par rapport à l'Occupation nazie et qui semblent défier aussi bien les autorités françaises qu'allemandes. Ils se définissent comme avoir un esprit libre. Ils organisent des parties de danse (swing) dans des clubs en sous-sol malgré le couvre-feu imposé.
Pour autant, au fil de ce tome, ils vont très vite être rattrapé par la guerre qui s'insinue dans la capitale qui a été épargnée par les combats. Les premières condamnations à mort tombèrent en décembre 1940 parmi ceux qui résistent. L'un des zazous sera exécuté pour avoir frappé un soldat allemand alors qu'il était dans un état d'ébriété en n'ayant pas respectée couvre-feu.
Ce mouvement n'était guère apprécié par le maréchal Pétain et par l'occupant nazi car trop d'inspiration américaine. La liberté ne faisait pas vraiment partie de leurs valeurs.
Il y a tout un récit assez intéressant suite à une infiltration dans ce groupe contestataire. L'indic va tomber amoureux de ce style de vie et de culture.
J'ai beaucoup aimé cette BD au graphisme assez avenant et aux couleurs réussies. Il y a un certain dynamisme des cases qui est tout à fait remarquable. Les vêtements sont parfaitement retranscris à la mode zazous. Certes, outrancier mais dans l'élégance !
Le dossier en fin d'album est également assez intéressant. Bref, je n'avais jamais vu cet angle-là de l'Occupation ce qui n'en demeure pas moins réel d'après les faits historiques et les témoignages de cette époque. Ne pas subir était la devise des zazous. Il faut retenir ! Bref, on va naviguer entre swing et révolte.
On suivra avec le plus grand intérêt les deux autres tomes à venir de cette série.