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L’improbable quatuor de Brian K. Vaughan composé d’un magicien amateur, d’une agent secret, d’une généticienne et d’un capucin capricieux continue son périple à travers les Etats-Unis, direction la Californie et le laboratoire du Dr Mann, dans une ultime tentative de sauver l’humanité privée de mâles.
En utilisant les moyens du bord dans un pays en proie au chaos, dans lequel les postes les plus importants étaient tenus par des hommes, Yorick et ses compagnons, toujours poursuivis par « les filles des Amazones », se heurtent aux pilleurs et échouent dans une petite ville paradisiaque gérée de main de maitresse par des femmes d’une autonomie exemplaire.
Yorick sera-t-il le serpent biblique qui entrainera la destruction du paradis ? Sur quelles fondations ce dernier s’est-il édifié ? L’espoir tombera t-il du ciel ? Brian K. Vaughan continue de tisser la toile du destin de l’humanité en tapissant son récit d'interrogations sociologiques, interrogeant les relations hommes/femmes aussi bien que le système carcéral ou les méthodes d'endoctrinement par les sectes, parfois de façon un peu caricaturale il est vrai.
On sent d'ailleurs dans sa volonté de conclure certaines intrigues simplistes pour en développer d'autres plus complexes son désir de faire évoluer son propos. Cette étape du périple de Yorick est aussi l'occasion de mieux connaitre les failles de chacun des protagonistes, leurs maladresses et leurs lâchetés, bref : leur humanité. En parfaite harmonie avec Pia Guerra, il nous propose de beau portraits de femmes loin des stéréotype véhiculés couramment par les comics lambda.
"Y, the last man" est donc aussi une invitation à mieux connaitre notre société, doublée d'un récit palpitant dans lequel tous les rebondissements sont permis et dont il est difficile de descendre en cour de route! En route, donc, vers les 8 volumes qui suivent!
Un scénario meilleur qu'au tome 1 avec une description d'une communauté exclusivement féminine faites de reprises de justices et autres prisonnières. Une vision sans air moralisateur du nouveau visage de la société.
Mais pourquoi avoir intégré dans le scénario les services secrets israéliens?
Pourquoi ne pas décrire avec plus de détail la vie quotidienne de nos femmes?
Pourquoi ne pas plus pousser la psychologie bien plate de nos personnages?
J'ai peur qu'à partir d'un scénario originale l'histoire ne glisse dans une banalité.
Malgré tout l'idée reste bonne et prometteuse.
7/10.
Cette bande dessinée est en quelque sorte un roman d'initiation. C'est la figure du roman picaresque classique sauf qu'aujourd'hui il est de bon ton de parler de road movie.
Enfin bref, toujours est-il que Yorick doit traverser les Etats-Unis de part en part pour aller retrouver un des labos du Dr Mann qui fonctionne encore. La jolie agent 355 protège précieusement ce seul mâle survivant tandis que les aventures s'enchaîne et que le Mossad israelien a vent de son existence et compte bien mettre la main dessus.
Tout bonnement excellent. L'histoire avance assez lentement ce qui est normal dans ce genre d'histoire et à première vue les expliquation sur le pourquoi du comment de la mort des hommes semble fort éloigné. De plus pour le moment celà retranscrit bien la difficulter de recréer une société sans les hommes. Ces difficultés mettent en avant les inégalités encore persistantes entre les hommes et les femmes (très peu de femme pilote de lignes donc quasi impossibilité d'utiliser des avions, ersonnel pour faire fonctionner les centrales électrique et autres fonctions importante). Cependant on y voit aussi que les femmes ne sont pas si différentes que les hommes ce qui permet d'éviter à l'oeuvre de tomber dans le lieu commun du hommes = méchants et femmes = gentilles.
L’improbable quatuor de Brian K. Vaughan composé d’un magicien amateur, d’une agent secret, d’une généticienne et d’un capucin capricieux continue son périple à travers les Etats-Unis, direction la Californie et le laboratoire du Dr Mann, dans une ultime tentative de sauver l’humanité privée de mâles.
En utilisant les moyens du bord dans un pays en proie au chaos, dans lequel les postes les plus importants étaient tenus par des hommes, Yorick et ses compagnons, toujours poursuivis par « les filles des Amazones », se heurtent aux pilleurs et échouent dans une petite ville paradisiaque gérée de main de maitresse par des femmes d’une autonomie exemplaire.
Yorick sera-t-il le serpent biblique qui entrainera la destruction du paradis ? Sur quelles fondations ce dernier s’est-il édifié ? L’espoir tombera t-il du ciel ? Brian K. Vaughan continue de tisser la toile du destin de l’humanité en tapissant son récit d'interrogations sociologiques, interrogeant les relations hommes/femmes aussi bien que le système carcéral ou les méthodes d'endoctrinement par les sectes, parfois de façon un peu caricaturale il est vrai.
On sent d'ailleurs dans sa volonté de conclure certaines intrigues simplistes pour en développer d'autres plus complexes son désir de faire évoluer son propos. Cette étape du périple de Yorick est aussi l'occasion de mieux connaitre les failles de chacun des protagonistes, leurs maladresses et leurs lâchetés, bref : leur humanité. En parfaite harmonie avec Pia Guerra, il nous propose de beau portraits de femmes loin des stéréotype véhiculés couramment par les comics lambda.
"Y, the last man" est donc aussi une invitation à mieux connaitre notre société, doublée d'un récit palpitant dans lequel tous les rebondissements sont permis et dont il est difficile de descendre en cour de route! En route, donc, vers les 8 volumes qui suivent!
Un scénario meilleur qu'au tome 1 avec une description d'une communauté exclusivement féminine faites de reprises de justices et autres prisonnières. Une vision sans air moralisateur du nouveau visage de la société.
Mais pourquoi avoir intégré dans le scénario les services secrets israéliens?
Pourquoi ne pas décrire avec plus de détail la vie quotidienne de nos femmes?
Pourquoi ne pas plus pousser la psychologie bien plate de nos personnages?
J'ai peur qu'à partir d'un scénario originale l'histoire ne glisse dans une banalité.
Malgré tout l'idée reste bonne et prometteuse.
7/10.
Cette bande dessinée est en quelque sorte un roman d'initiation. C'est la figure du roman picaresque classique sauf qu'aujourd'hui il est de bon ton de parler de road movie.
Enfin bref, toujours est-il que Yorick doit traverser les Etats-Unis de part en part pour aller retrouver un des labos du Dr Mann qui fonctionne encore. La jolie agent 355 protège précieusement ce seul mâle survivant tandis que les aventures s'enchaîne et que le Mossad israelien a vent de son existence et compte bien mettre la main dessus.
Tout bonnement excellent. L'histoire avance assez lentement ce qui est normal dans ce genre d'histoire et à première vue les expliquation sur le pourquoi du comment de la mort des hommes semble fort éloigné. De plus pour le moment celà retranscrit bien la difficulter de recréer une société sans les hommes. Ces difficultés mettent en avant les inégalités encore persistantes entre les hommes et les femmes (très peu de femme pilote de lignes donc quasi impossibilité d'utiliser des avions, ersonnel pour faire fonctionner les centrales électrique et autres fonctions importante). Cependant on y voit aussi que les femmes ne sont pas si différentes que les hommes ce qui permet d'éviter à l'oeuvre de tomber dans le lieu commun du hommes = méchants et femmes = gentilles.
Bref une suite très appréciable.