1. Papillon obsidienne | gilles26 | Comme neuf | 19.00€ | |
1. Papillon obsidienne | PHILGUZZ | Très bon état | 19.00€ | |
1. Papillon obsidienne | xof 24 | Très bon état | 15.00€ | |
1. Papillon obsidienne | stan prozak | Très bon état | 15.00€ | |
1. Papillon obsidienne | jim mac clure | Très bon état | 15.00€ | |
1. Papillon obsidienne | largowinch11 | Très bon état | 12.00€ | |
1. Papillon obsidienne | gilles26 | Comme neuf | 6.00€ | |
1. Papillon obsidienne | fabquoib | Comme neuf | 5.00€ | |
1a1996. Papillon obsidienne | GrégoireBD | Très bon état | 9.00€ | |
1a1996. Papillon obsidienne | xof 24 | Très bon état | 6.00€ | |
1a1996. Papillon obsidienne | jim mac clure | Très bon état | 6.00€ | |
1a1996. Papillon obsidienne | kibur | Bon état | 4.50€ | |
1a1996. Papillon obsidienne | makou42 | Très bon état | 4.00€ | |
1a1996. Papillon obsidienne | a.aaaaaaa.3 | Bon état | 4.00€ |
Info édition : Pour l'EO, le dos possède une tache ronde gris pâle
Les 2 premiers sont magistraux (et auraient dû rester les seuls de cette "série".) Olivier Ledroit est au summum de son talent. Quelle virtuosité dans son graphisme, les couleurs directes et sa mise en page.
L'histoire est fantastique au propre comme au figuré et sa mise en scène est un véritable storyboard. J'ai toujours pensé qu'il y avait tout pour en faire un film, que tout était là!
A lire/connaître absolument.
Alors que le premier tome distillait une histoire mi-polar mi-fantastique qui aurait pu être intéressante dans le New-York de la grande dépression, voilà que le scénario commence à dérailler dans le second chapitre qui se clôt tant bien que mal.
Mais alors le 3ème opus va rajouter aux légendes indiennes, un peu de chinoiserie comme pour compliquer l'ensemble déjà pas homogène. Le scénario va alors totalement dérailler. Le héros qui donne son nom à la série, outre le fait qu'il n'était pas charismatique, est mort, dans tous les sens du terme.
Je pense que cette bd pouvait très bien s'arrêter au second tome. La suite apparaît comme illégitime. Je ne suis pas allergique aux histoires de démons. Mais j'ai préféré nettement la série «Mille Visages» dans le même genre. La conclusion du dernier tome m'a totalement achevé : c'est d'un grand guignolesque jusque-là jamais atteint.
Bref, la série pâtit véritablement d'un sérieux manque de lisibilité. Je serai toutefois un peu indulgent dans ma note car le dessin est très réussi notamment pour les deux premiers tomes signé Ledroit. L'enchaînement des cases fait preuve d'une particulière audace qui souligne un grand esthétisme. C'est dommage car le scénario pose réellement problème.
Les premières planches de cet album sont absolument géniales, découpées avec un audace incroyable et une maîtrise peut-être encore inégalée. La mise en pages du premier meurtre est absolument fantastique, le mariage de la couleur et de la narration graphique en fait un véritable chef d'oeuvre. Ledroit a pris son temps, il n'y a pas un défaut, l'ambiance est poisseuse à souhait, ces premières planches devraient finir au louvre.
Après on commence à sentir les contraintes éditoriales... Malgré cela (et c'est peu dire) Ledroit s'en tire habilement et nous offre encore quelques passages d'anthologie...
A posséder dans sa bibliothèque, rayon chef d'oeuvre.
Le premier cycle est à lire ne serait-ce que pour la virtuosité au dessin de Ledroit. C'est tout bonnement bluffant. L'ambiance rendue nous plonge dans ce New York crasseux, puant et flippant du début du XXème siècle. D'emblée on n'est pas à l'aise, la couleur nous glacent malgré une prédominance du rouge et du jaune, c'est dire ! Le découpage très cinématographique rend la lecture pas si évidente que ça. D'autant plus qu'il faut suivre le dessin de prêt pour comprendre l'histoire concoctée par Mosdi. En somme, il faut découvrir cet album pour le dessin, c'est un régal.
Le premier cycle de Xoco est une petite merveille. Si le scénario de Mosdi est parfois un peu trop complexe, il n'en est pas moins passionnant. Et les dessins de Ledroit atteignent des sommets en matière d'ambiance lugubre et oppressante. Les éléments fantastiques qui jalonnent ce récit sont merveilleux et les mots finissent par me manquer. Vraiment indispensable, surtout pour le fan de Ledroit que je suis.