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Dans la trilogie X-Men : La Fin, tout le monde doit mourir ; alors évidemment, avec cet objectif en tête, le scénario de Chris Claremont ne fera pas dans la dentelle (X-Men: The End "Dreamers and Demons" 2004, #1-6 et X-Men: The End "Heroes and Martyrs" 2005, #1-6)...
Un mot pour commencer sur le dessin de Sean Chen : c’est très beau mais aussi très caricatural (les costumes/armures et poses des personnages, les hommes super-musclés, les femmes super-minces, les scènes de combat, etc.).
Pour contextualiser, les X-Men se retrouvent au milieu d’une guerre cosmique entre les Shi’ars et les Krees – deux peuples extraterrestres – suite à la réapparition de Jean Grey possédée par la Force Phénix. Puis véritablement tout l’univers X-Men commence à se taper dessus. Et il en va ainsi sur les six numéros de la première mini-série : le scénario est incompréhensible (ou alors parfaitement idiot), on passe sans cesse d’un lieu à un autre, on découvre de nouveaux personnages à toutes les pages, il ne leur est laissé aucun temps pour les développer et les affrontements incessants avec des Warskrulls sont fort peu originaux.
La seconde mini-série est la suite directe de la première ; elle se focalise davantage sur Sinistre, le méchant de l’histoire, et se montre un petit peu moins bourrine que la précédente. Ceci dit, même après une relecture et aidé de la voix off de Kitty Pryde, on ne comprend toujours pas pourquoi autant de super-costumés s’affrontent. Pire, le seul élément intéressant de ce fatras est la campagne de Kitty Pryde pour les élections municipales de Chicago...
En conclusion, un premier Deluxe à réserver aux lecteurs décérébrés ou disposant d’un Bac +8 en culture X-Men.
Dans la trilogie X-Men : La Fin, tout le monde doit mourir ; alors évidemment, avec cet objectif en tête, le scénario de Chris Claremont ne fera pas dans la dentelle (X-Men: The End "Dreamers and Demons" 2004, #1-6 et X-Men: The End "Heroes and Martyrs" 2005, #1-6)...
Un mot pour commencer sur le dessin de Sean Chen : c’est très beau mais aussi très caricatural (les costumes/armures et poses des personnages, les hommes super-musclés, les femmes super-minces, les scènes de combat, etc.).
Pour contextualiser, les X-Men se retrouvent au milieu d’une guerre cosmique entre les Shi’ars et les Krees – deux peuples extraterrestres – suite à la réapparition de Jean Grey possédée par la Force Phénix. Puis véritablement tout l’univers X-Men commence à se taper dessus. Et il en va ainsi sur les six numéros de la première mini-série : le scénario est incompréhensible (ou alors parfaitement idiot), on passe sans cesse d’un lieu à un autre, on découvre de nouveaux personnages à toutes les pages, il ne leur est laissé aucun temps pour les développer et les affrontements incessants avec des Warskrulls sont fort peu originaux.
La seconde mini-série est la suite directe de la première ; elle se focalise davantage sur Sinistre, le méchant de l’histoire, et se montre un petit peu moins bourrine que la précédente. Ceci dit, même après une relecture et aidé de la voix off de Kitty Pryde, on ne comprend toujours pas pourquoi autant de super-costumés s’affrontent. Pire, le seul élément intéressant de ce fatras est la campagne de Kitty Pryde pour les élections municipales de Chicago...
En conclusion, un premier Deluxe à réserver aux lecteurs décérébrés ou disposant d’un Bac +8 en culture X-Men.