Walking Dead
18. Lucille...
Une BD de
Robert Kirkman
et
Charlie Adlard
chez Delcourt
(Contrebande)
- 2013
Kirkman, Robert
(Scénario)
Adlard, Charlie
(Dessin)
Rathburn, Cliff
(Couleurs)
Moscow☆Eye
(Lettrage)
Adlard, Charlie
(Couverture)
Tourriol, Edmond
(Traduction)
09/2013 (04 septembre 2013) 132 pages 9782756039572 Format comics 192886
La mort de Glenn a été un grand traumatisme pour tous. À sa suite, Rick, qui n'est plus le chef de la communauté, semble accepter sa soumission à Negan, un choix également assumé par Michonne. Rick ne bronche pas quand le tueur revient l'humilier une nouvelle fois. Mais qu'en est-il de Carl ? Celui-ci a échappé à la surveillance de son père, demeure caché et armé d'un fusil...
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
AB1 -
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INTHS
Un épisode globalement moins violent qu'à l'accoutumée. Mais c'est pour mieux faire ressortir les scènes glaçantes. Un tome qui fait monter la tension en crescendo pour aboutir à un climax qui nous donne envie d'enchaîner immédiatement par le suivant.
Ce tome, peut-être moins intense que les plus cultes, est très bien construit. Tout est intéressant: les face à face Rick-Negan, la découverte du QG des sauveurs, tout comme le final avec Ezechiel, qui promet à nouveau beaucoup pour la suite.
Un excellent album de transition... On s'attarde sur la psychologie des personnages. Toujours très bon!
Ce tome permet de souffler un peu après le bien nommé « Terrifiant »…. C’est ce que j’aime dans cette série, le fait que les auteurs savent ménager leurs effets et équilibrer l’histoire pour ne pas lasser leurs lecteurs et les saturer par des rebondissements constants. Il comporte tout de même certaines scènes assez difficiles (si l’on exclut les massacres de zombies, banalisés car faisant partie du quotidien comme le serait le jardinage), notamment avec l’initiative solitaire du jeune fils de Rick, Carl, de prendre d’assaut le refuge de Negan dans un but de vengeance. C’est ainsi que Carl va en quelque sorte quitter définitivement l’enfance, devenant un protagoniste à part entière et relançant du même coup l’intérêt pour la série. Il s’agit donc bien d’un épisode-clé, à dominante psychologique, plus axé sur les états d’âme des personnages. Quant à Negan, le « nouveau » méchant très similaire au gouverneur, il adoptera contre toute attente une attitude « raisonnable », même si l’on sait désormais que son esprit retors est capable du pire, surtout lorsqu’il recourt à son redoutable gourdin hérissé de barbelés, poétiquement baptisé « Lucille »…
Le trait reste bien adapté à l’histoire, pas hyper chiadé mais nerveux et allant à l’essentiel, en un mot efficace. Il en va de même pour le mouvement et le cadrage, qu’il s’agisse des scènes d’action ou psychologiques. Et une fois encore, impossible de refermer le livre sans avoir envie de connaître la suite…
Episode de transition mais superbe analyse psychologique d'un chef de "gang" mégalomane.
Une plongée dans l'horreur très réussie.
Du bon.
8/10