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J’attendais beaucoup de cette BD, parce que j’en ai eu de très bons échos, parce qu’elle a été sélectionnée pour le prix ACBD et à Angoulême...
Effectivement, l’histoire est consistante, se rapprochant des récits fleuves, mélangeant les genres, des romans graphiques. C’est dans l’air du temps, c’est progressiste... Et j’aime beaucoup.
Les thématiques sont abordées avec pertinence et profondeur - à part pour les Mapuches, appropriation culturelle ? - le propos de l’autrice gravitant autour des problématiques du féminisme, des relations sociales, de la sexualité, de la religion, de la protection de l’enfance, de la sorcellerie... Et c’est donc aussi un peu bizarre, mais ça fait tout le charme de cette BD.
D’ailleurs, Sole Otero sait aussi bien s’adresser aux femmes qu’aux hommes, aux jeunes comme aux moins jeunes... Pour l’intérêt général.
Cependant, je serais plus critique vis-à-vis de l’aspect graphique de l’œuvre, qui pour moi est d’une grande importance. Car les couleurs sont particulièrement fades. En fait, je reproche à cette BD son rendu - comme souvent - le passage du numérique vers le papier.
Autrement, le style de l’autrice et son vocabulaire graphique sont aussi expressifs que modernes. Une réussite sur ce plan. Sole Otero est indubitablement une autrice à suivre...
J’ai donc été bousculé, mais mon esprit n’a pas été tout à fait comblé.
J’attendais beaucoup de cette BD, parce que j’en ai eu de très bons échos, parce qu’elle a été sélectionnée pour le prix ACBD et à Angoulême...
Effectivement, l’histoire est consistante, se rapprochant des récits fleuves, mélangeant les genres, des romans graphiques. C’est dans l’air du temps, c’est progressiste... Et j’aime beaucoup.
Les thématiques sont abordées avec pertinence et profondeur - à part pour les Mapuches, appropriation culturelle ? - le propos de l’autrice gravitant autour des problématiques du féminisme, des relations sociales, de la sexualité, de la religion, de la protection de l’enfance, de la sorcellerie... Et c’est donc aussi un peu bizarre, mais ça fait tout le charme de cette BD.
D’ailleurs, Sole Otero sait aussi bien s’adresser aux femmes qu’aux hommes, aux jeunes comme aux moins jeunes... Pour l’intérêt général.
Cependant, je serais plus critique vis-à-vis de l’aspect graphique de l’œuvre, qui pour moi est d’une grande importance. Car les couleurs sont particulièrement fades. En fait, je reproche à cette BD son rendu - comme souvent - le passage du numérique vers le papier.
Autrement, le style de l’autrice et son vocabulaire graphique sont aussi expressifs que modernes. Une réussite sur ce plan. Sole Otero est indubitablement une autrice à suivre...
J’ai donc été bousculé, mais mon esprit n’a pas été tout à fait comblé.