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L'histoire est celle de la quête d'un homme mystérieusement disparu, dans l'Italie des années 40. Une période trouble de l'histoire...
Le dessin est d'une maladresse sophistiquée. Par ailleurs, on retrouve tous les clichés de l'Italie au fil de ce récit.
La conclusion se veut fracassante mais on n'éprouve finalement pas grand chose. C'est même du grand guignolesque !
Cette quête pour retrouver un amour disparu se heurte au postulat suivant : cet amour a-t'il seulement été consommé ? On ne vibre pas car on n'y croit pas...
Je retrouve avec plaisir le fameux style de Richelle qui est incomparable. Visiblement, il a beaucoup l'air de tenir à cette relation entre le commissaire et son inspecteur qu'il développera plus tard dans Les coulisses du pouvoir.
Mais ici, il y a beaucoup de dialogues parasitant le fil de l'histoire. Des scènes auraient pu être raccourcies pour dynamiser cette histoire qui se perd... Les longueurs semblent insupportables. C'est dommage.
Le scénario de Richelle est un peu alambiqué. Il faut dire à sa décharge que les dessins de Gorski n'aident pas vraiment à reconnaître les personnages. Pour être net, on peut même dire que ces dessins sont assez catastrophiques. Quant aux couleurs n'en parlons pas !
Bref, pas facile de rentrer dans cette histoire; pourtant à force de volonté, on finit par y adhérer.
Las !
La fin qui n'en n'est pas une est des plus loupée. C'est bien dommage car on s'attachait à cette jeune femme italienne qui recherchait son amour de jeunesse dans l'immédiate après-guerre.
Bref, un album à oublier, même si l'on quelques fulgurances ici et là. Mais pas de quoi en faire un grand album.
L'histoire est celle de la quête d'un homme mystérieusement disparu, dans l'Italie des années 40. Une période trouble de l'histoire...
Le dessin est d'une maladresse sophistiquée. Par ailleurs, on retrouve tous les clichés de l'Italie au fil de ce récit.
La conclusion se veut fracassante mais on n'éprouve finalement pas grand chose. C'est même du grand guignolesque !
Cette quête pour retrouver un amour disparu se heurte au postulat suivant : cet amour a-t'il seulement été consommé ? On ne vibre pas car on n'y croit pas...
Je retrouve avec plaisir le fameux style de Richelle qui est incomparable. Visiblement, il a beaucoup l'air de tenir à cette relation entre le commissaire et son inspecteur qu'il développera plus tard dans Les coulisses du pouvoir.
Mais ici, il y a beaucoup de dialogues parasitant le fil de l'histoire. Des scènes auraient pu être raccourcies pour dynamiser cette histoire qui se perd... Les longueurs semblent insupportables. C'est dommage.
Le scénario de Richelle est un peu alambiqué. Il faut dire à sa décharge que les dessins de Gorski n'aident pas vraiment à reconnaître les personnages. Pour être net, on peut même dire que ces dessins sont assez catastrophiques. Quant aux couleurs n'en parlons pas !
Bref, pas facile de rentrer dans cette histoire; pourtant à force de volonté, on finit par y adhérer.
Las !
La fin qui n'en n'est pas une est des plus loupée. C'est bien dommage car on s'attachait à cette jeune femme italienne qui recherchait son amour de jeunesse dans l'immédiate après-guerre.
Bref, un album à oublier, même si l'on quelques fulgurances ici et là. Mais pas de quoi en faire un grand album.