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7. Paris, mon amour | Barry lyndon | Comme neuf | 9.99€ | |
7. Paris, mon amour | Emmanuelle Peeters | Comme neuf | 8.25€ | |
7. Paris, mon amour | kibur | Très bon état | 8.00€ |
Info édition : Noté "Première édition"
Une énième BD sur le sens des priorités. Faut-il sacrifier un etre pour en sauver 100 et bla bla et bla bli. Vous pouvez passer votre chemin, c'est du déjà vu et c'est finalement sans intérêt.
Mouais...
Effectivement, cette ucrhonie en 7 tomes connait des hauts et des bas. Il est dommage qu'elle se termine par une histoire maladroite et finalement absurde.
L'auteur a voulu placer les camps de concentration dans sa série, mais le résultat est absurde.
Un comble.
Pour tenter de sauver quelques centaines de personnes, dans une opération vouée à l'échec, le sergent-chef Meunier, même mis devant le fait accompli de sa désertion (ou du moins de l'abandon de sa mission, pourtant cruciale), qui a conduit a des dizaines de milliers de victimes françaises en une seule journée, puis à 150 000 victimes côté allemand (dont beaucoup de civils), ne regrette rien !
Il fallait aborder le thème des camps de la mort avant, ou autrement, mais pas comme ça, dans un récit absurde.
Et puis, pourquoi toujours aborder les camps de concentration de l'Allemagne nazie, et JAMAIS ceux de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques ?
Ou ceux de la Chine Communiste ?
Ils ont pourtant fait beaucoup plus de victimes, dans des actes de cruauté équivalents.
Les victimes russes ou chinoises n'ont donc aucune valeur, aux yeux des occidentaux ?
Autre reproche, après la lecture des 7 tomes :
Quel était le but de cette uchronie ?
Je n'ai pas très bien compris ce qui motivait les auteurs ; il aurait sans doute été préférable de raconter la vraie Seconde Guerre mondiale, parce que là, je n'ai pas compris l'intérêt du cheminement de cette série...
Série qui manque de souffle, un dessin pas toujours à la hauteur, de bons opus, mais d’autres à l’approximation hasardeuse. A lire et à oublier.
WW 2.2 arrive –enfin- à son terme, avec cet album, ni bon ni mauvais, reflet d’une uchronie sans relief…Le scénario n’est pas assez fouillé, et le dessin pas suffisamment constant….Dommage, car la matière était là…On retrouve le sergent-chef Meunier (héros du 1er tome) envoyé en mission spéciale en Scandinavie, afin de détruire les installations atomiques de "treue Heinrich", mais qui va céder à sa conscience, en se détournant de sa mission pour mener l’assaut d’un KZ (Konzentrazionlager)…Bon, c’est un peu gros, car nos évadés de ce KZ, qui à la lecture du scénario avaient minutieusement préparé l’attaque, avaient ils besoin d’un simple sous-officier français parachuté dans leur zone d’activité, pour en faire leur chef et les mener à ce qui sera un fiasco, dont Meunier se tirera, pour comparaître devant un tribunal militaire….Pas vraiment passionnant….