Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Junji Ito est désormais considéré comme le maître de l'épouvante. la plupart de ces oeuvres ont été adapté pour le grand écran comme Ring ou encore Dark Water. Il ne joue pas tant sur la peur mais sur l'angoisse en créant une atmosphère malsaine.
Nous avons droit en l'occurrence à cinq histoires. La première est la ville sans rue qui porte le titre de l'ouvrage. C'est sans doute la nouvelle la plus aboutie sur le plan psychologique car l'auteur joue avec la paranoïa.
Le second récit s'intitule : On a frôlé la catastrophe. Il se base sur une histoire archi-revue qui ne confère aucune originalité. On se demande si cela était bien utile. Certes après les bateaux fantômes, on aura droit à l'avion fantôme.
La troisième nouvelle, la vile aux plans, reprend un peu l'idée de la ville en constante évolution paranormale. Il s'agit encore de se perdre dans les méandres des rues. Le récit se terminera de façon abrupte, nous laissant sur notre faim.
Autre nouvelle, le village aux sirènes sera plus démoniaque que les précédents récits. On entre purement dans le fantastique.
Et enfin, la dernière nouvelle, le nouvel élève aux dons surnaturels, jouera avec les codes du surnaturel. Il est question de pouvoir.
Le style graphique sera identique d'un nouvel à l'autre ce qui confère une certaine homogénéité. Les récits sont plaisants à lire mais il manque beaucoup d'originalité pour nous surprendre. C'est comme si le maître de l'horreur qui était au sommet de sa forme se laisse un peu aller à la facilité scénaristique. J'aime toujours ces atmosphères oppressantes.
Junji Ito est désormais considéré comme le maître de l'épouvante. la plupart de ces oeuvres ont été adapté pour le grand écran comme Ring ou encore Dark Water. Il ne joue pas tant sur la peur mais sur l'angoisse en créant une atmosphère malsaine.
Nous avons droit en l'occurrence à cinq histoires. La première est la ville sans rue qui porte le titre de l'ouvrage. C'est sans doute la nouvelle la plus aboutie sur le plan psychologique car l'auteur joue avec la paranoïa.
Le second récit s'intitule : On a frôlé la catastrophe. Il se base sur une histoire archi-revue qui ne confère aucune originalité. On se demande si cela était bien utile. Certes après les bateaux fantômes, on aura droit à l'avion fantôme.
La troisième nouvelle, la vile aux plans, reprend un peu l'idée de la ville en constante évolution paranormale. Il s'agit encore de se perdre dans les méandres des rues. Le récit se terminera de façon abrupte, nous laissant sur notre faim.
Autre nouvelle, le village aux sirènes sera plus démoniaque que les précédents récits. On entre purement dans le fantastique.
Et enfin, la dernière nouvelle, le nouvel élève aux dons surnaturels, jouera avec les codes du surnaturel. Il est question de pouvoir.
Le style graphique sera identique d'un nouvel à l'autre ce qui confère une certaine homogénéité. Les récits sont plaisants à lire mais il manque beaucoup d'originalité pour nous surprendre. C'est comme si le maître de l'horreur qui était au sommet de sa forme se laisse un peu aller à la facilité scénaristique. J'aime toujours ces atmosphères oppressantes.