. La ville qui n'existait pas | natique | Très bon état | 55.00€ | |
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a1980. La ville qui n'existait pas | xof 24 | Très bon état | 6.00€ | |
a1980. La ville qui n'existait pas | edualc | Bon état | 6.00€ | |
c1990. La ville qui n'existait pas | laupier | Très bon état | 7.00€ | |
d1996. La ville qui n'existait pas | amandpaul2000 | Très bon état | 5.00€ | |
e2003. La ville qui n'existait pas | BDMANIAQUE | Comme neuf | 4.50€ | |
f2006. La ville qui n'existait pas | sergeoccasions | Très bon état | 8.00€ |
Info édition : DL 4° trimestre 1977
Info édition : Réédition Dargaud 3° trimestre 1980. 4 titres parus au verso.
Info édition : Dépôt légal janvier 1983 - N° 5646 Imprimé en janvier 1983
Info édition : couv : identique à l'EO, pas le mot éditeur sous Dargaud/p5 : DL 06/1984 n°7289+AI 05/1984/C4 : 4 visuels et 4 titres parus ( La croisière des oubliés / Le vaisseau de pierre / La ville qui n'existait pas / Les phalanges de l'ordre noir )
Info édition : 4ème édition, premier tirage.
Je m'attendais à lire une oeuvre véritablement fantastique comme indiqué dans le genre. J'ai plutôt été surpris par cette lecture. Simplement, l'héritière d'une famille d'industriels d'une région du Nord durement touchée par la crise souhaite réaliser le rêve de la construction d'une ville idéale pour apporter la prospérité à des habitants meurtris.
Aux Etats-Unis, des expériences similaires ont déjà été menées. Je ne vois pas en quoi ce rêve paraît utopique. Et dire qu'il y en a toujours pour s'enfuir et préférer la triste réalité. Cette réflexion est purement personnelle car je vois gros venir les objections.
Cette bd donne en tout cas des pistes intéressantes et nous fait réfléchir sur la civilisation qu'on souhaite bâtir au milieu de tout ces hommes véreux à la recherche de toujours plus de puissance financière. Mais que se passera t-il si un jour tout devait s'écrouler ? En tout cas, j'adhère au rêve de Mademoiselle Madeleine.
Bilal essaie de refléter son époque dans ses oeuvres.
Cet album de la fin des années 70, ne déroge pas à la règle et traite de la fin de l'industrialisation de la France, qui conduira au chômage de masse et entraînera la petite mort des villes les plus touchées.
Cette histoire est une utopie, une riche héritière souhaite bâtir la cité parfaite où le paternalisme irait jusqu'au bout : le bonheur pour tous. Même si tous les habitants n'ont pas cette même vision de la vie.
Même si l’histoire pousse à la réflexion, j’ai trouvé sa lecture un poil ennuyante et peu percutante. Les dialogues sont parfois flous, complexes et manquent de détails surtout qu’on ne saura rien grand-chose de cette « Ville qui n’existe pas ». Dommage car il y avait de quoi exploiter. A part ça, l’ambiance pessimiste sur fond de crise sociale est bien retranscrite par les dessins de Bilal que j’aime toujours autant, accompagnés de couleurs froides, grisâtres propres au style. Une demi déception. 2.5/5