Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Mmouais ... Pas vraiment convaincu. J'ai eu la même réflexion: ça doit être drôle quand ça paraît une fois par semaine dans "Charlie", mais toutes ces saynètes mises bout à bout et regroupées en un album finissent par être quelque peu fastidieuses à lire. Bien sûr, il y en a des bien drôles. Mais beaucoup sont également anodines et sans intérêt, voire ennuyeuses. Le seul point qui m' a bien plu dans cet album est, comme d'habitude, la capacité de Sattouf à tourner en ridicule ses contemporains. Tout le monde en prend pour son grade et beaucoup sont carrément détestables: racailles, fils à papa, beaufs, ados, bobos, poufs ... et même les enfants. Un portrait de notre société guère reluisant et qui laisse songeur.
C’est probablement très agréable, une fois par semaine, dans Charlie Hebdo, mais ces petites bribes surprises dans les rues, le métro, divers endroits, regroupées en un seul opus, ça fait très blabla…
Des petites phrases comme ça, j’en entend aussi à longueur de jour, les retrouver amalgamées dans un livre ne m’intéresse pas outre mesure – d’autant qu’elles sont sorties de leur contexte et n’ont souvent pas de réelle chute…
Les situations peuvent être sociologiquement intéressantes, peuvent montrer le reflet de la société, mais des bribes d’une page qui s’alignent sans lien, ça ne m’a pas captivé…
Surtout que j’ai du mal avec le dessin de Satouf qui ne me convainc pas du tout.
Quand il se promène dans la rue, Riad Sattouf ne garde pas les yeux rivés sur son smartphone, isolé du monde par les écouteurs de son walkman. Non, il regarde, il écoute, la plupart du temps sans intervenir, les dialogues, les discussions, les conflits parfois même, de ses concitoyens... Pas que des jeunes d'ailleurs, et c'est là que le titre du livre est un peu trompeur (quand au "secret", il est bien étalé au grand jour, aux yeux de tous...), mais ce n'est pas vraiment grave. Ce qui est brillant ici, ce n'est pas le dessin de Sattouf - qu'on l'aime ou qu'on ne l'aime pas, c'est une question de goût -, mais la précision avec laquelle il rend compte de ces micro-événements, qui semble sélectionnés pour peindre un portrait extrêmement juste, précis, de l'état de notre société : pas seulement parisienne d'ailleurs, française au moins, mais sans doute globale. On rit beaucoup, car nous sommes souvent drôles, volontairement ou malgré nous. On grimace encore plus, parce que le miroir que nous tend Sattouf nous laisse à voir la bêtise sans fond de nos préjugés, de nos peurs, de nos haines (de nos amours aussi, en fait !). En fait, lire plus de quelques planches à la fois de ce livre extrêmement addictif par son format (un "gag" par page, on a hâte de passer au prochain) peut se révéler nuisible à notre santé, et engendrer désespoir, voire dépression. Un autre conseil, pendant qu'on y est : avant de faire un scandale au restau ou même dans la rue, jetez un coup d'oeil autour de vous, et vérifiez que Sattouf n'est pas dans le coin !
Plijadur! C'est énorme!! Sattouf est un génie de la description du comportement des jeunes! Qu'est ce que j'me marre à le lire!! Tout est bon! Jviens de regarder "Les beaux gosses", tout aussi bon, ce qui m'a décidé à poster ce commentaire. Une question me taraude malgré tout: quel expérience, quel traumatisme (?) a poussé Riad à ne cesser de faire des clins d’œil à ce "fameux mouvement gay de bretagne" et plus particulièrement celui de Quimper (cf. un certain Pascal B. :-)!)??!
Continue ton reuz Riad, tant qu'il y aura beg braz, torpenn et autres penn karn t'es parti pour rester! Kenavo Riadec!
Sattouf nous livre une compilation de petites saynètes d’une étonnante perspicacité. Hilarant et parfois pathétique, le tout se déguste planche par planche.
Qu'est-ce qu'on s'ennuie ! 90 % des planches n'ont aucun humour. Et peut-on parler de portraits sociologiques en huit cases ?
Mmouais ... Pas vraiment convaincu. J'ai eu la même réflexion: ça doit être drôle quand ça paraît une fois par semaine dans "Charlie", mais toutes ces saynètes mises bout à bout et regroupées en un album finissent par être quelque peu fastidieuses à lire. Bien sûr, il y en a des bien drôles. Mais beaucoup sont également anodines et sans intérêt, voire ennuyeuses. Le seul point qui m' a bien plu dans cet album est, comme d'habitude, la capacité de Sattouf à tourner en ridicule ses contemporains. Tout le monde en prend pour son grade et beaucoup sont carrément détestables: racailles, fils à papa, beaufs, ados, bobos, poufs ... et même les enfants. Un portrait de notre société guère reluisant et qui laisse songeur.
C’est probablement très agréable, une fois par semaine, dans Charlie Hebdo, mais ces petites bribes surprises dans les rues, le métro, divers endroits, regroupées en un seul opus, ça fait très blabla…
Des petites phrases comme ça, j’en entend aussi à longueur de jour, les retrouver amalgamées dans un livre ne m’intéresse pas outre mesure – d’autant qu’elles sont sorties de leur contexte et n’ont souvent pas de réelle chute…
Les situations peuvent être sociologiquement intéressantes, peuvent montrer le reflet de la société, mais des bribes d’une page qui s’alignent sans lien, ça ne m’a pas captivé…
Surtout que j’ai du mal avec le dessin de Satouf qui ne me convainc pas du tout.
Je passe mon chemin.
Quand il se promène dans la rue, Riad Sattouf ne garde pas les yeux rivés sur son smartphone, isolé du monde par les écouteurs de son walkman. Non, il regarde, il écoute, la plupart du temps sans intervenir, les dialogues, les discussions, les conflits parfois même, de ses concitoyens... Pas que des jeunes d'ailleurs, et c'est là que le titre du livre est un peu trompeur (quand au "secret", il est bien étalé au grand jour, aux yeux de tous...), mais ce n'est pas vraiment grave. Ce qui est brillant ici, ce n'est pas le dessin de Sattouf - qu'on l'aime ou qu'on ne l'aime pas, c'est une question de goût -, mais la précision avec laquelle il rend compte de ces micro-événements, qui semble sélectionnés pour peindre un portrait extrêmement juste, précis, de l'état de notre société : pas seulement parisienne d'ailleurs, française au moins, mais sans doute globale. On rit beaucoup, car nous sommes souvent drôles, volontairement ou malgré nous. On grimace encore plus, parce que le miroir que nous tend Sattouf nous laisse à voir la bêtise sans fond de nos préjugés, de nos peurs, de nos haines (de nos amours aussi, en fait !). En fait, lire plus de quelques planches à la fois de ce livre extrêmement addictif par son format (un "gag" par page, on a hâte de passer au prochain) peut se révéler nuisible à notre santé, et engendrer désespoir, voire dépression. Un autre conseil, pendant qu'on y est : avant de faire un scandale au restau ou même dans la rue, jetez un coup d'oeil autour de vous, et vérifiez que Sattouf n'est pas dans le coin !
Plijadur! C'est énorme!! Sattouf est un génie de la description du comportement des jeunes! Qu'est ce que j'me marre à le lire!! Tout est bon! Jviens de regarder "Les beaux gosses", tout aussi bon, ce qui m'a décidé à poster ce commentaire. Une question me taraude malgré tout: quel expérience, quel traumatisme (?) a poussé Riad à ne cesser de faire des clins d’œil à ce "fameux mouvement gay de bretagne" et plus particulièrement celui de Quimper (cf. un certain Pascal B. :-)!)??!
Continue ton reuz Riad, tant qu'il y aura beg braz, torpenn et autres penn karn t'es parti pour rester! Kenavo Riadec!
Sattouf nous livre une compilation de petites saynètes d’une étonnante perspicacité. Hilarant et parfois pathétique, le tout se déguste planche par planche.