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L'histoire est sympa. On nage dans une science fiction située au début du XXème siècle. La conformité des dessins est la marque de fabrique de l'auteur qui a toujours utilisé de la documentation rendre une image fidèle des objets. Très belle série.
Je ne possède que l'ancienne édition, celle en noir et blanc.
Wininger est un auteur oublié alors qu'il ne devrait pas l'être tant sa plume est superbe et ses histoires fantasques.
Dans "la pyramide oubliée" l'auteur fait ses gammes. Et déjà c'est superbe de finesse et de grâce dans le trait et les décors. Digne fils d'un Tardi avec son Adèle Blanc-sec, Wininger n'a pas à rougir de la comparaison sur ces prochains albums. Bien au contraire, je le trouve bien plus doué dans l'ambiance et la restitution d'un paris au début du siècle dernier.
Mais dans ce premier opus, le noir et blanc dessert la plume si précise de l'auteur. De plus, l'histoire , bien que merveilleuse dans la légende urbaine, est aussi une succession de facilité scénaristique. Ce n'est pas grave, le plaisir est entier car si la claque ( que j'ai personnellement eu à chacun de ses albums futurs) n'est pas, il en reste pas moins un plaisir véritable à lire une œuvre de jeunesse sans temps morts, plein de rebondissements foutraques, servie par un dessin qui fait du bien par sa précision et sa, encore une fois, finesse.
Pour la version de 2018, ajout d'une planche "oubliée" lors des éditions de 1978 et 1980, planche faisant le lien entre les deux parties de l'album. La colorisation est fidèle aux tonalités des tomes 2 et 3 de la série et répond, à titre posthume, au souhait de Pierre Wininger de voir son 1er album coloriser (lire interview dans le n°9 du fanzine PLGPPUR) . Bien plus qu'une simple réédition.
L'histoire est sympa. On nage dans une science fiction située au début du XXème siècle. La conformité des dessins est la marque de fabrique de l'auteur qui a toujours utilisé de la documentation rendre une image fidèle des objets. Très belle série.
Je ne possède que l'ancienne édition, celle en noir et blanc.
Wininger est un auteur oublié alors qu'il ne devrait pas l'être tant sa plume est superbe et ses histoires fantasques.
Dans "la pyramide oubliée" l'auteur fait ses gammes. Et déjà c'est superbe de finesse et de grâce dans le trait et les décors. Digne fils d'un Tardi avec son Adèle Blanc-sec, Wininger n'a pas à rougir de la comparaison sur ces prochains albums. Bien au contraire, je le trouve bien plus doué dans l'ambiance et la restitution d'un paris au début du siècle dernier.
Mais dans ce premier opus, le noir et blanc dessert la plume si précise de l'auteur. De plus, l'histoire , bien que merveilleuse dans la légende urbaine, est aussi une succession de facilité scénaristique. Ce n'est pas grave, le plaisir est entier car si la claque ( que j'ai personnellement eu à chacun de ses albums futurs) n'est pas, il en reste pas moins un plaisir véritable à lire une œuvre de jeunesse sans temps morts, plein de rebondissements foutraques, servie par un dessin qui fait du bien par sa précision et sa, encore une fois, finesse.
Pour la version de 2018, ajout d'une planche "oubliée" lors des éditions de 1978 et 1980, planche faisant le lien entre les deux parties de l'album. La colorisation est fidèle aux tonalités des tomes 2 et 3 de la série et répond, à titre posthume, au souhait de Pierre Wininger de voir son 1er album coloriser (lire interview dans le n°9 du fanzine PLGPPUR) . Bien plus qu'une simple réédition.