Info édition : Dépôt légal 4e trimestre 2017, noté ici à parution. L'ISBN est indiqué sous le code-barres collé sur un film plastique. Petit album aux coins arrondis, "carte sirio" noire teintée dans la masse pour la couverture, intérieur bichromie sur "munken print cream", piqure "Singer".
On retrouve le personnage d'Oubapien (un homme à la tête d'un canard), qui construit au fil des pages l’inéluctable final qui justifie son titre. Dans une espèce d'introspection, l'auteur nous invite à nous moquer de la postérité, et à profiter humblement de chaque instant comme si c’était le dernier.
Au début, c'est assez poétique puis cela devient répétitif et lassant au fil des pages. Cela commence par la phrase "la dernière fois" inlassablement. Pour autant, on s'en fout un peu de savoir que c'est la dernière fois que je fais crisser la neige ou que je sens l'odeur d'un figuier.
Bref, cela manque singulièrement de rythme. Par ailleurs, la dernière fois n'est jamais une vanité.