Urban
2. Ceux qui vont mourir
Une BD de
Luc Brunschwig
et
Roberto Ricci
chez Futuropolis
- 2013
Brunschwig, Luc
(Scénario)
Ricci, Roberto
(Dessin)
Ricci, Roberto
(Couleurs)
Niro, Giovanna
(Couleurs)
02/2013 (07 février 2013) 49 pages 9782754803199 Grand format 181779
Dans un futur pas si lointain, sur 300 000 hectares, avec deux niveaux d'accès et près de 18 millions d’entrées par jour, Monplaisir est le plus grand parc d'attraction de la galaxie, ainsi que la ville de tous les vices ! Un monde où l’humanité exploitée peut profiter, deux semaines par an, de multiples plaisirs sans aucune limite. Les résidents y croisent aussi bien les visiteurs en mal de divertissement, que des malfrats en tous genres. Pourtant, la cité est extrêmement contrôlée : système d’intelligence artificielle, nommée A.L.I.C.E., robots... Lire la suite
Une grande partie de ce tome 2 est toujours consacrée à la découverte de Monplaisir. Et le moins que l’on puisse dire est que c’est toujours passionnant, avec quelques idées très bien trouvées. Au niveau de l’intrigue, par contre, on n’avance que pas-à-pas, ce qui génère une petite frustration. Voilà pourquoi je ne mets « que » 4 étoiles à ce très bel album.
Dans ce deuxième volume, c’est Zach qui va devoir affronter le terrible tueur à gages Antiochus Ebrahimi. Jusqu’à ce jour tous les membres des Urban interceptors qui s’y sont frottés n’ont pas eu la chance de survivre. Mais Zach va trouver une stratégie qui le mènera à deux doigts de l’arrestation d’ Ebrahimi. Une erreur d’inattention, et le drame surgira avec la mort d’un enfant. Enfant, par les yeux duquel nous découvrons tout au long de l’album le fonctionnement de la société Monplaisir et l’exclusion d’une partie de la population.
Album poignant qui nous décrit un avenir peu reluisant où l’exploitation des êtres humains s’échange pour deux petites semaines de plaisir par an. Il s’agit vraiment d’une extraordinaire série de SF.
L'intrigue prend forme... Mais pour aller où ??
Meilleur que le deuxième opus, ce tome donne plus de corps à l'intrigue, même si j'ai du mal à savoir où veut aller l'auteur (surtout avec les curieuses dernières pages). Le dessin est toujours aussi réussi. J'en suis pour le 3ème et dernier tome.
Le premier volume était intéressant, l’atmosphère qui se dégageait était plaisante mais le second est pour ma part décevant. Les dessins sont toujours aussi sublimes, après, j’ai trouvé que l’histoire n’avançait pas beaucoup, que l’on suivait plus les péripéties d’un personnage annexe que l’on ne retrouvera plus par la suite. Le héros principal est pour ma part un peu poussif. Une déception.
On rentre cette fois clairement dans l'histoire. Paradoxalement, cela fait perdre pour moi un tout petit peu de cette histoire fantastique et encore mystérieuse que j'ai adoré découvrir dans le 1er tome à travers les yeux naïfs du personnage principal.
Il reste encore beaucoup de mystères et nous sommes bien sûr devant un BD qui s'annonce clairement comme culte : l'ambiance est tout simplement incroyable et les dessins fourmillent de milles détails !
Les 2 1ers tomes étant de mon pt de vue assez différents, je suis très curieux de voir comment va évoluer la suite...
Du très très bon!!
Je viens de m'enchaîner la lecture des deux premiers tomes et c'est que du plaisir.
La première chose qui marque dans cette BD est l'ambiance de cette ville (Monplaisir) qui derrière son apparence bon enfant, récréative (tout ces gens en costume à l'effigie des personnages de dessins animés, BD, mangas, comics célèbres) est tout de même bien malsaine et cruelle.
Le mec qui est derrière tout ça me semble bien fou à lier et ne peut que me plaire.
Bien sûr, toutes les idées ne sont pas neuves et certaines m'ont fait penser à des films comme Running Man, A.I. Intelligence artificielle ou encore le Cinquième élément mais ça marche sans problèmes me concernant.
Le scénario est agréable, fluide et mélange habilement l'action pour ne pas s'ennuyer, les sentiments, le mystère et les séquences chocs (la fin du tome 2 par exemple)
Les personnages sont tous bien croqués, attachants, reconnaissables et je suis curieux de voir comment ils vont évoluer dans ce monde de cinglés.
Les dessins et couleurs sont extras, on sent que c'est du boulot réaliser avec passion.
Hâte de découvrir la suite en espérant que la série ne soit pas à rallonge...
Une BD étonnante avec le principe de l'anticipation d'une société de type "dictature du bonheur" avec moyens de communication et manipulations très aboutis. Ce type de cadre existe déjà mais ici, je le trouve bien réussi. Le scénario est très bien mené et amène et rebondissement de type coup de poing dans l'estomac... Le dessin propose des graphismes différents dans un même tome, c'est bien fait et ca fonctionne bien. On peut la lire rapidement comme passer un peu de temps sur les détails, pas mal d'humour noir sur le marketing poussé à l'extrême. intéressant et à suivre !
Je m'étonne au passage des propos... comment dire... enfin bref... des experts qui se permettent de juger avec un sens de la politesse très particuliers... c'est peut-être l'apanage des experts me direz vous ?
Excellent album dans la suite du premier. Je suis fan du dessin et surtout j'aime regarder tous les déguisements en arrière plan des scènes, beaucoup de référence a notre enfance.
Le scenario est top et j'ai été surpris de la fin de cet album, je ne m'attendais vraiment pas a ça !
Le probleme c'est qui vas falloir peut être attendre 2 ans la suite...
le premier urban était bien pourquoi recommencé , sur le même sujet depuis le début . peut être que le héros furtif , imaginaire était de trop ,non vraiment pas compris
j'avais bcp aimé la version 01 des humanos qui m'avait bien fait rêver. la nouvelle estomaque au niveau dessin mais on attend la suite car on reste un peu sur sa faim pour le moment. En confiance cependant car le luc brunsching est bourré de talent;
Je signale juste que suite aux remarques faites ici même sur la terminologie "loser", nous avons corrigé l'erreur dans les secondes éditions des deux tomes... j'aimerai dire merci à Pierre Yves pour son intervention et lui faire cependant remarquer qu'il est inutile d'adopter ce ton sentencieux, limite méprisant, pour se faire entendre d'auteurs de bonne foi et qui ont pêché par méconnaissance. La connaissance est un trésor qu'il serait heureux de partager avec un peu plus de simplicité. Merci cependant.
Oui, Pieryves à raison !!!!!
je mets une note de 100% (car ces 2 tomes sont, pour moi, indispensables) mais A QUAND DES POURCENTAGES ????!!!! MON POURCENTAGE = 94 ! NUANCE !! 100% n’EXISTE PAS !!
A part çà, j'estime que même une faute qui, pour certains, peut paraître minime, anodine, ne l'est en fait pas !
Les BD sont de plus en plus dispendieuses et que nous, acheteurs-payeurs, pouvons nous permettre ce genre de remarque ! Je viens de lire ce tome 2, et, 20 minutes de lecture à 15 euros, ON PEUT ETRE EXIGEANT !! Les dessins et le scénario fussent ils parfaits !!!!
C’est comme tout : cela commence par une petite bêtise, pour se terminer par une catastrophe ! Les erreurs de grammaire et les fautes d’aurtauraffe sont déjà fréquentes, à une époque où les jeunes (pas tous, ouf !) ne parlent plus que par onomatopées, faut pas charrier, il y a des sanctuaires à préserver !! Et la BD doit être un de ces sanctuaires !!
Bon, je sais, ce genre de propos devrait se faire sur le forum… Mais ce « forum » est un tel délire « labynrithesque » que cela fait longtemps que j’y ai renoncé !
De plus, certains s’y prennent pour des « Maîtres es … » je ne sais quoi, vous toise de haut, vous le petit nouveau, que je n’ai aucune envie de palabrer sur un forum élitiste ou se croyant tel !!
Si je veux discuter, je prends contact perso avec les gens !
Voilà, voilà….
A la prochaine, pour ceux qui me lisent… Mais aussi pour ceux que je hérisse…(et tant mieux !!, c'est le but !!)
(et ici, je suis resté calme de chez calme !!)
Ce deuxième album permet à la série de réellement décoller.
Personnages, situations, décors, la mécanique connait son apothéose avec le chapitre 5 qui nous laisse en plein suspens, dans l'attente de la suite. Passionnant.
PS : j'aurai pu faire quelques reproches à la lisibilité du rendu des dessins de Ricci. Cela doit provenir de l'impression et du papier choisi qui affadissent les couleurs. Il suffit de comparer les crayonnés et les pages encrées du cahier graphique (et la page présentant l'intégrale en noir et blanc) pour s'en convaincre.
Commentaire déplacé ? La faute n'existe pas, sans doute ?
Confondre "perdant" et "dépravé" n'est pas une petite faute. C'est un gros contresens !
Ce n'est pas comme oublier un trait d'union.
(et c'est même au-delà du contresens puisque "looser" est un mot qui n'existe pas en anglais).
Et il n'y a absolument rien de hautain à le faire remarquer !
Oui, il existe une certaine médiocrité dans le fait que des auteurs publiés par des éditeurs de renom confondent deux mots - ou ne sachent pas correctement en orthographier un, quelle que soit la langue dans laquelle ils s'expriment - et dans le fait que ces éditeurs (Futuropolis n'est malheureusement pas le seul) ne fassent pas relire leurs albums avant de les faire paraître. Ce manque de sérieux est de plus en plus fréquent, et au prix des BD (et autres livres d'ailleurs), on est légitimement en droit d'exprimer son agacement devant ce genre laisser-aller croissant depuis quelques années.
La médiocrité et la paresse intellectuelle sont plus criantes chez les cuistres et les fumistes qui considèrent comme minime la confusion entre les mots que chez ceux qui, de moins en moins nombreux apparemment, ont encore un minimum d'exigence envers les auteurs et leurs éditeurs.
excellent, aussi bien dans le dessin que le scénario. un indispensable selon moi.
a noter que j'ai trouvé la lecon de Pierryves dans le commentaire ci dessous déplacé et hautain. qualifier de médiocre et conseiller de s'abstenir pour une si petite faute - c'est probablement à l'auteur du commentaire de s'attribuer ces qualificatifs
Bon album. Dans la lignée du précédent. Malheureusement les choses mettent trop de temps à se mettre en place. Ça manque de rythme. La lecture est toutefois très plaisante, notamment grâce au dessin de Roberto Ricci. Il faut cependant espérer que le tome suivant passe à la vitesse supérieure.
A suivre.
PS (A l'attention de Luc Brunschwig (et de l'éditeur) et d'une grande quantité de personnes qui croient connaître l'anglais) : To lose/lost/lost - verbe irrégulier - veut dire Perdre en français.
Loose (qui se prononce lousse - contrairement à lose qui se prononce louze) veut dire relâché, desserré, détendu... et au sens figuré, dépravé.
Rien à voir, donc.
Un perdant s'écrit donc LOser avec un seul O et pas LOOser. C'est vérifiable dans n'importe quel dico d'anglais. Donc merci de nous éviter des bourdes pareilles. Ou alors, il faut éviter de s'exprimer en anglais.
PS : Je viens de relire l'album (une réimpression) et, évidemment, la faute n'a pas été corrigée. Incompétence, incompétence...