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La Fédération des terres unies assure au système solaire une paix que rien ne semble devoir remettre en question, si ce n’est l’apparition soudaine d’un mur, immense et terrifiant, quelque part entre Saturne et Jupiter. L’escadrille Purgatory, composée de fortes têtes et autres rétifs à un minimum de discipline, aura pour mission de pénétrer dans ce mur pour en découvrir la nature et, surtout, pour pister les ennemis qui se cachent forcément derrière ce mystérieux phénomène.
Pour conter cette première guerre universelle, Denis Bajram se retranche derrière une kyrielle de théories scientifiques qui, si elles ne sont pas toujours faciles à suivre et pourront éventuellement être remises en cause par des esprits pointus, confèrent tout de même au récit une grande crédibilité. Il joue notamment sur le paradoxe temporel pour procéder, au cours des six volumes, à d’incessants allers-retours dans le temps. Loin de perdre le lecteur, cette narration audacieuse donne à la série son identité et permet de multiplier les pistes de réflexion. Arrivé au dernier tome, force est de constater que la cohérence est assurée, même si d’aucuns pourront peut-être regretter la tournure quasi mystique que prend l’histoire. C’est oublier que, depuis le début, des passages entiers de la Bible s’égrènent au rythme des chapitres composant chaque opus.
Malgré la complexité apparente de l’intrigue, Bajram n’oublie pas de rythmer son récit par un grand nombre de scènes d’action et de batailles spatiales auxquelles son dessin, spectaculaire, donne une grande force. Par une mise en couleurs sombre et l’utilisation adéquate de teintes rougeâtres, l’auteur crée en outre une ambiance oppressante qui rend d’autant plus trépidante cette histoire qui ose énormément, intégrant des éléments qui font franchement froid dans le dos.
Une bande-dessinée de science-fiction considérée par beaucoup comme un classique du genre, et après sa lecture, je ne peux que participer à mon tour au concert de louanges à son propos.
Il sera question de guerre civile intergalactique, de politique, d'amour et surtout de voyages temporelles: un sujet bien casse-gueule qui comprend généralement son lot de paradoxes et d'incohérences.
Et pourtant, l'auteur a très bien géré son affaire et relève le gant avec panache à l'aide d'une histoire qu'il a bien mûri avant de se lancer. Le postulat de départ peut paraître assez peu clair et cliché avec son lot de personnages, il n'en demeure pas moins qu'ils possèdent tous un développement clair et logique.
Les rebondissements et explications seront également de la partie au service d'un dessin au top, d'une très belle palettes de couleurs et de beaux clairs/obscurs: un régal !
Seule ombre au tableau: le fait qu'il y ait une suite alors que les six opus réunis dans cette belle édition suffisent (à mon avis) largement.
C’est la BD de science-fiction par excellence, peut-être la meilleure d’ailleurs jamais réalisée.
Universal War One raconte une guerre civile à l'échelle du système solaire entre la Fédération des Terres Unies et les Compagnies Industrielles de Colonisation (CIC) qui gèrent les colonies humaines sur les planètes extérieures. Ces dernières ont mis au point une arme terrifiante qui permet de détruire des planètes.
Nos héros, les membres d'une escadrille, vont tenter de comprendre ce qu'est ce mur mystérieux qui s'étend inlassablement dans l'espace. L’histoire va se concentrer sur ce groupe de combattants marginaux (dans le désordre: un violeur, un pilote téméraire, un déserteur, un misanthrope violent également génie scientifique, et une lieutenant vengeresse). La Terre est menacée et l'avenir de l'humanité est entre les mains de ces personnes!
J'ai bien aimé cette histoire d’apocalypse dans un futur éloigné tout en gardant des connotations religieuses par rapport à des épisodes de la Bible dont s'inspire l'auteur. Une maxime indique :"après l'Apocalypse, le pire reste encore l'avenir..." C'est terrifiant!
Le dessin est quasi-magnifique, certaines planches relevant d'une beauté exceptionnelle qu'on ne se lasse pas de revoir encore et encore. Le scénario est réellement passionnant, parfois complexe. En effet, cette série fait la part belle aux paradoxes temporels et on sent que le sujet a été bien creusé. En tout cas, l'explication donnée semble tenir la route.
L'auteur tel un horloger d'une précision remarquable nous emmène dans une histoire réfléchie et très bien ficelée sans se prolonger dans d'interminables méandres scénaristiques. Dennis Bajram avait d'ailleurs déjà écrit le scénario dans le moindre détail avant même la publication du premier volume.
Le tome 4 est sorti dans les semaines qui ont suivi les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis ce qu'il explique dans la préface. Une couverture presque prémonitoire! Oeuvre d'anticipation?
Mention spéciale pour les couvertures toutes plus belles que les autres. Une oeuvre puissante, incontournable, bref Le Culte des Ténèbres!
2001, cette date ne fait pas référence à l'odyssée de l'espace me concernant ; mais à la découverte de "Universal War One" chez un libraire Auvergnat.
15 ans plus tard je termine enfin cette série que j'aurais laissé en suspens pendant 12 longues années à l'issu du tome 4 pour des raisons que j'ai encore du mal à m'expliquer. Le moins que l'on puisse dire c'est que cet intégrale donnent à ce 1er cycle un cachet qui fait honneur à la BD de science-fiction.
Le scénario qui nous transporte à travers les méandres de l'espace temps semble parfaitement maitrisé, réfléchi et ajusté (mais seul l'auteur sait ce qu'il en est réellement). Il jongle avec les situations et ses personnages (tous charismatiques) et prend un malin plaisir à prendre le contrepied du lecteur qui aurait tord de ne pas s'isoler sur une autre planète pour savourer pleinement cette délicieuse épopée galactique.
Concernant les dessins, s'ils sont plus que réussis, ceux des derniers tomes bouclent le tout d'une façon assez surprenante au regard des premiers albums. Les vaisseaux et les décors ne souffrent pas de la comparaison, mais les faciès des personnages (même vieillissant) n'ont pas cette chance à mes yeux.
Pas très grave, UW1 est une excellente série à dévorer sans hésiter pour les chanceux qui ne l'auraient pas encore lu et qui aiment se faire surprendre.
Une excellente histoire de science-fiction/paradoxe temporel qui va rester longtemps dans les annales de la bande dessinée.
Denis Bajram excelle dans la narration et son scénario est très solide, même le profane en physique et voyage dans le temps réussira à comprendre les aboutissements de cette histoire. Beaucoup de moments forts, intenses qu'on partage avec les protagonistes, une fin qui normalement, va boucler la boucle , mais UW2 est là, et je me demande ce qu'elle réserve :)
Alors oui, cette œuvre est pour moi indispensable à toute bonne bedetheque.
Que de temps à rattraper, pour moi qui découvrait UW1 !
Grand amateur de SF, me laissant bercer par les critiques, je suis évidemment allé me procurer une réédition chez mon libraire...
Le temps justement, parlons en. Denis Bajram à bien compris ce qui fait un bon récit. UW1 est comme une valse avec le temps, un renouveau perpétuel, qui donne un grand plaisir de lecture. Chacun des 6 volumes recueillis dans cette superbe intégrale apporte son lot de questions, d'action et de bouleversements.
Si on peu trouver les dessins des personnages un peu en retrait (mais c'est aussi un style), les décors sont a couper le souffle. La gestion des points de vue, de l'espace, on se rapproche du cinéma, et bientôt d'une adaptation d'ailleurs...
En attendant de dévorer UW2.
Ce premier volet de la trilogie de Bajram est réellement une oeuvre majeure, à découvrir sens détours !
J'ai acheté et lu UW1 parce que cette BD est très recommandée par les commentaires et les forums.
Au plan du dessin, Bajram a un coup de crayon somme toute classique, pas désagréable. Mais sa mise en scène, les couleurs, les effets clairs obscurs, les décors, les vaisseaux sont vraiment exceptionnels. Ce type a fait un très gros travail là dessus. Bravo.
Au plan scénaristique, c'est plus nuancé. Le traitement de paradoxe temporel est vraiment rigoureux, et ceci dans le choix fait pour la résolution des paradoxes et le respect du principe de causalité. Le grand mérite de Bajram est vraiment ce souci de la simple logique, comme il l'écrit lui-même. Cependant, l'approche de la psychologie des personnages est un peu simpliste. Les deux premiers tomes m'ont d'abord fait penser à l'agence tous risque dans l'espace. Avoir des personnalités bien marquées n'est pas un mal en soit, c'est mieux que pas de personnalité du tout, mais là où c'est plus génant c'est quand les ficelles du scénario en viennent à reposer sur des traits caricaturaux: Balti qui se jettent dans le wormhole, ou qui se met à faire des cauchemars pour finir par se "suicider", ou kalish le supersavant tellement doué qu'il passe de taulard à commandant des unités de recherche.
C'est donc un scénario à deux vitesse pendant 2 tomes qu' a produit Bajram. cependant, les évenement quis s'accèlerent à partir du tome 3 donnent une vraie intensité dramatique, et une vraie consistance aux personnages, surtout compte tenu de la fatalité du destin qui frappent dès ce moment là. On suit alors jusqu'au dernier tome sur ce mode là, sauf que la rigueur de Bajram prend encore un peu de plomb dans l'aile, surtout dans le rebond final où une civilisation qu'il aurait créé vient le sauver de la mort...? C'est une facilité scénaristique que s'est offert Bajram après 5 tomes de rigueur absolue: cela tombe comme un cheveu sur la soupe. Superkalish aurait appris d'un coup à maîtriser l'espace et le temps ? De simples considérations de libre arbitre et d'imprévisibilité auraient été bien venues, dans les 30 ans qui ne sont plus soumis à la nécessité des boucles temporels: Le supervilain pouvait il encore tout connaître et tout faire.
Dommage pour la fin, mais je pense que l'auteur a en tête UW2, puis UW3, puis... j'ai du mal à voir en Bajram de l'inventivité dans l'exercice scénaristique, sauf bien sûr dans les riches détails de son univers. personnellement, UW2 se fera sans moi. Bajram, en plus de sa rigueur, a eu le mérite de faire du Space opera et de créer un univers riche à la star wars.
UW1 est un indispensable dans la BDthèque des bons fans de SF. J'ai passé de bons moments.
Tiens je n'avais pas posté d'avis pour cette série....
Tout simplement, un chef d’œuvre dans le style Space opéra!
A lire, a relire et surtout à découvrir pour ceux qui seraient passés à côté de cette série...
Un Must
10/10
N'étant pas spécialement fan de space opéra, c'est sur les conseils de mon libraire que j'ai lu cette BD. La meilleure BD que je n'ai jamais lue. Un indispensable dans toute bdthèque.
Les mots pour qualifier cette série sont à choisir avec attention tant Barjam a été inspiré lors de sa conception, deux mots suffiront donc : chef-d'oeuvre!
Certain diront que le dessin n'est pas révolutionnaire, d'autre que l'histoire est un peu alambiquée, qu'importe, Denis Barjam rentre au panthéon des très grand en signant ici une oeuvre d'une rare intelligence, les personnages bien qu'au début un poil caricaturaux, se révèlent par la suite très attachants, leur psychologie est très travaillée.
Mais le plus important est que cette série aborde tous les thèmes et les sentiments rencontrer par l'Homme durant son existance : l'amour, la haine, la colère, le désèspoir, la vengeance, la rédomption....
Une oeuvre puissante en somme, qui pousse à la reflexion, et qui plus est d'actualité, en ces temps ou l'Homme se prend pour un Dieu et l'ou le mot frustration ne veut plus rien dire.
Je me ballade sur le site et en tombant sur UW1, je ne peux m'empêcher de donner mon avis, au cas ou certains auraient manquée cette série.
L'histoire est formidablement bien construite et prend une tournure peu commune dès le début (sans vouloir dévoiler), puis arrive à tenir le lecteur en haleine tout au long du récit, pour terminer sur un dénouement qui clos parfaitement l'histoire, sans nous laisser sur notre faim.
Le dessin est également bien travaillé, et on sent tout le travail qui à été fait par Denis Bajram.
Un grand Bravo.
N'étant pas fan de SF, je n'ai finalement acheté cette série qu'en faisant confiance à l'excellent bouche à oreille qu'elle avait.
Et quelle formidable surprise! les deux premiers tomes ancrent bien la série qui prend toute sa dimension à partir du troisième opus. Il est alors impossible de deviner la tournure que va prendre le récit, Bajram nous emprisonne dans son univers complexe, au propre pour les héros, comme au figuré pour les lecteurs.
Au tome 4 on se demande comment l'auteur va pouvoir renchérir et il fait encore plus fort, tant au niveau scénaristique que graphique.
En découle un volume 5 très noir et péssimiste toujours excellent, comment l'histoire peut-elle se terminer? Bajram a ouvert tellement de portes qu'il va être difficile de les refermer dans le dernier tome. Et bien non! grace aux synopsis et à des schémas complexes que l'auteur avait effectué avant de commencer l'oeuvre, la conclusion du cycle est cohérente et grandiose. Ce n'est finalement qu'un huis-clos ou les protagonistes ne font qu'interagir, prisonniers de leur destin tout en étant leur maître.
Bref, une oeuvre majeure très personnelle, philosophique, biblique (au sens grec du terme), romanesque, d'aventure, d'amour, de haine,qui une fois terminée ne fait qu'ouvrir les portes de la reflexion.
N'étant pas amateur de SF au départ, le challenge était difficile à relever d'autant que les dessins ne m'attirent pas au départ (ni même à la fin). Mais j'ai pris le temps de lire jusqu'au bout cette saga inter planète et inter temps qui a l'ambition pas moins de réinventer le destin de l'humanité en réécrivant la bible !
Et l'histoire est suffisamment accrocheuse pour avoir maintenu mon intérêt jusqu'au bout. Je ne suis pas convaincu par toutes les astuces du scénario et les histoires d'amour notamment ne m'ont pas touché, mais je comprends les amateurs du genre.
Au final je ne suis pas converti à la SF mais cette série dans le genre est à lire.
La Fédération des terres unies assure au système solaire une paix que rien ne semble devoir remettre en question, si ce n’est l’apparition soudaine d’un mur, immense et terrifiant, quelque part entre Saturne et Jupiter. L’escadrille Purgatory, composée de fortes têtes et autres rétifs à un minimum de discipline, aura pour mission de pénétrer dans ce mur pour en découvrir la nature et, surtout, pour pister les ennemis qui se cachent forcément derrière ce mystérieux phénomène.
Pour conter cette première guerre universelle, Denis Bajram se retranche derrière une kyrielle de théories scientifiques qui, si elles ne sont pas toujours faciles à suivre et pourront éventuellement être remises en cause par des esprits pointus, confèrent tout de même au récit une grande crédibilité. Il joue notamment sur le paradoxe temporel pour procéder, au cours des six volumes, à d’incessants allers-retours dans le temps. Loin de perdre le lecteur, cette narration audacieuse donne à la série son identité et permet de multiplier les pistes de réflexion. Arrivé au dernier tome, force est de constater que la cohérence est assurée, même si d’aucuns pourront peut-être regretter la tournure quasi mystique que prend l’histoire. C’est oublier que, depuis le début, des passages entiers de la Bible s’égrènent au rythme des chapitres composant chaque opus.
Malgré la complexité apparente de l’intrigue, Bajram n’oublie pas de rythmer son récit par un grand nombre de scènes d’action et de batailles spatiales auxquelles son dessin, spectaculaire, donne une grande force. Par une mise en couleurs sombre et l’utilisation adéquate de teintes rougeâtres, l’auteur crée en outre une ambiance oppressante qui rend d’autant plus trépidante cette histoire qui ose énormément, intégrant des éléments qui font franchement froid dans le dos.
Une bande-dessinée de science-fiction considérée par beaucoup comme un classique du genre, et après sa lecture, je ne peux que participer à mon tour au concert de louanges à son propos.
Il sera question de guerre civile intergalactique, de politique, d'amour et surtout de voyages temporelles: un sujet bien casse-gueule qui comprend généralement son lot de paradoxes et d'incohérences.
Et pourtant, l'auteur a très bien géré son affaire et relève le gant avec panache à l'aide d'une histoire qu'il a bien mûri avant de se lancer. Le postulat de départ peut paraître assez peu clair et cliché avec son lot de personnages, il n'en demeure pas moins qu'ils possèdent tous un développement clair et logique.
Les rebondissements et explications seront également de la partie au service d'un dessin au top, d'une très belle palettes de couleurs et de beaux clairs/obscurs: un régal !
Seule ombre au tableau: le fait qu'il y ait une suite alors que les six opus réunis dans cette belle édition suffisent (à mon avis) largement.
C’est la BD de science-fiction par excellence, peut-être la meilleure d’ailleurs jamais réalisée.
Universal War One raconte une guerre civile à l'échelle du système solaire entre la Fédération des Terres Unies et les Compagnies Industrielles de Colonisation (CIC) qui gèrent les colonies humaines sur les planètes extérieures. Ces dernières ont mis au point une arme terrifiante qui permet de détruire des planètes.
Nos héros, les membres d'une escadrille, vont tenter de comprendre ce qu'est ce mur mystérieux qui s'étend inlassablement dans l'espace. L’histoire va se concentrer sur ce groupe de combattants marginaux (dans le désordre: un violeur, un pilote téméraire, un déserteur, un misanthrope violent également génie scientifique, et une lieutenant vengeresse). La Terre est menacée et l'avenir de l'humanité est entre les mains de ces personnes!
J'ai bien aimé cette histoire d’apocalypse dans un futur éloigné tout en gardant des connotations religieuses par rapport à des épisodes de la Bible dont s'inspire l'auteur. Une maxime indique :"après l'Apocalypse, le pire reste encore l'avenir..." C'est terrifiant!
Le dessin est quasi-magnifique, certaines planches relevant d'une beauté exceptionnelle qu'on ne se lasse pas de revoir encore et encore. Le scénario est réellement passionnant, parfois complexe. En effet, cette série fait la part belle aux paradoxes temporels et on sent que le sujet a été bien creusé. En tout cas, l'explication donnée semble tenir la route.
L'auteur tel un horloger d'une précision remarquable nous emmène dans une histoire réfléchie et très bien ficelée sans se prolonger dans d'interminables méandres scénaristiques. Dennis Bajram avait d'ailleurs déjà écrit le scénario dans le moindre détail avant même la publication du premier volume.
Le tome 4 est sorti dans les semaines qui ont suivi les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis ce qu'il explique dans la préface. Une couverture presque prémonitoire! Oeuvre d'anticipation?
Mention spéciale pour les couvertures toutes plus belles que les autres. Une oeuvre puissante, incontournable, bref Le Culte des Ténèbres!
Note Dessin: 4.5/5 - Note Scénario: 4.5/5 - Note Globale: 4.5/5
2001, cette date ne fait pas référence à l'odyssée de l'espace me concernant ; mais à la découverte de "Universal War One" chez un libraire Auvergnat.
15 ans plus tard je termine enfin cette série que j'aurais laissé en suspens pendant 12 longues années à l'issu du tome 4 pour des raisons que j'ai encore du mal à m'expliquer. Le moins que l'on puisse dire c'est que cet intégrale donnent à ce 1er cycle un cachet qui fait honneur à la BD de science-fiction.
Le scénario qui nous transporte à travers les méandres de l'espace temps semble parfaitement maitrisé, réfléchi et ajusté (mais seul l'auteur sait ce qu'il en est réellement). Il jongle avec les situations et ses personnages (tous charismatiques) et prend un malin plaisir à prendre le contrepied du lecteur qui aurait tord de ne pas s'isoler sur une autre planète pour savourer pleinement cette délicieuse épopée galactique.
Concernant les dessins, s'ils sont plus que réussis, ceux des derniers tomes bouclent le tout d'une façon assez surprenante au regard des premiers albums. Les vaisseaux et les décors ne souffrent pas de la comparaison, mais les faciès des personnages (même vieillissant) n'ont pas cette chance à mes yeux.
Pas très grave, UW1 est une excellente série à dévorer sans hésiter pour les chanceux qui ne l'auraient pas encore lu et qui aiment se faire surprendre.
Le dossier en fin d'intégrale est passionnant
Une excellente histoire de science-fiction/paradoxe temporel qui va rester longtemps dans les annales de la bande dessinée.
Denis Bajram excelle dans la narration et son scénario est très solide, même le profane en physique et voyage dans le temps réussira à comprendre les aboutissements de cette histoire. Beaucoup de moments forts, intenses qu'on partage avec les protagonistes, une fin qui normalement, va boucler la boucle , mais UW2 est là, et je me demande ce qu'elle réserve :)
Alors oui, cette œuvre est pour moi indispensable à toute bonne bedetheque.
Que de temps à rattraper, pour moi qui découvrait UW1 !
Grand amateur de SF, me laissant bercer par les critiques, je suis évidemment allé me procurer une réédition chez mon libraire...
Le temps justement, parlons en. Denis Bajram à bien compris ce qui fait un bon récit. UW1 est comme une valse avec le temps, un renouveau perpétuel, qui donne un grand plaisir de lecture. Chacun des 6 volumes recueillis dans cette superbe intégrale apporte son lot de questions, d'action et de bouleversements.
Si on peu trouver les dessins des personnages un peu en retrait (mais c'est aussi un style), les décors sont a couper le souffle. La gestion des points de vue, de l'espace, on se rapproche du cinéma, et bientôt d'une adaptation d'ailleurs...
En attendant de dévorer UW2.
Ce premier volet de la trilogie de Bajram est réellement une oeuvre majeure, à découvrir sens détours !
J'ai acheté et lu UW1 parce que cette BD est très recommandée par les commentaires et les forums.
Au plan du dessin, Bajram a un coup de crayon somme toute classique, pas désagréable. Mais sa mise en scène, les couleurs, les effets clairs obscurs, les décors, les vaisseaux sont vraiment exceptionnels. Ce type a fait un très gros travail là dessus. Bravo.
Au plan scénaristique, c'est plus nuancé. Le traitement de paradoxe temporel est vraiment rigoureux, et ceci dans le choix fait pour la résolution des paradoxes et le respect du principe de causalité. Le grand mérite de Bajram est vraiment ce souci de la simple logique, comme il l'écrit lui-même. Cependant, l'approche de la psychologie des personnages est un peu simpliste. Les deux premiers tomes m'ont d'abord fait penser à l'agence tous risque dans l'espace. Avoir des personnalités bien marquées n'est pas un mal en soit, c'est mieux que pas de personnalité du tout, mais là où c'est plus génant c'est quand les ficelles du scénario en viennent à reposer sur des traits caricaturaux: Balti qui se jettent dans le wormhole, ou qui se met à faire des cauchemars pour finir par se "suicider", ou kalish le supersavant tellement doué qu'il passe de taulard à commandant des unités de recherche.
C'est donc un scénario à deux vitesse pendant 2 tomes qu' a produit Bajram. cependant, les évenement quis s'accèlerent à partir du tome 3 donnent une vraie intensité dramatique, et une vraie consistance aux personnages, surtout compte tenu de la fatalité du destin qui frappent dès ce moment là. On suit alors jusqu'au dernier tome sur ce mode là, sauf que la rigueur de Bajram prend encore un peu de plomb dans l'aile, surtout dans le rebond final où une civilisation qu'il aurait créé vient le sauver de la mort...? C'est une facilité scénaristique que s'est offert Bajram après 5 tomes de rigueur absolue: cela tombe comme un cheveu sur la soupe. Superkalish aurait appris d'un coup à maîtriser l'espace et le temps ? De simples considérations de libre arbitre et d'imprévisibilité auraient été bien venues, dans les 30 ans qui ne sont plus soumis à la nécessité des boucles temporels: Le supervilain pouvait il encore tout connaître et tout faire.
Dommage pour la fin, mais je pense que l'auteur a en tête UW2, puis UW3, puis... j'ai du mal à voir en Bajram de l'inventivité dans l'exercice scénaristique, sauf bien sûr dans les riches détails de son univers. personnellement, UW2 se fera sans moi. Bajram, en plus de sa rigueur, a eu le mérite de faire du Space opera et de créer un univers riche à la star wars.
UW1 est un indispensable dans la BDthèque des bons fans de SF. J'ai passé de bons moments.
Tiens je n'avais pas posté d'avis pour cette série....
Tout simplement, un chef d’œuvre dans le style Space opéra!
A lire, a relire et surtout à découvrir pour ceux qui seraient passés à côté de cette série...
Un Must
10/10
N'étant pas spécialement fan de space opéra, c'est sur les conseils de mon libraire que j'ai lu cette BD. La meilleure BD que je n'ai jamais lue. Un indispensable dans toute bdthèque.
Voilà, c'est fait, c'est lu, et c'est 10/10. Rien d'autre à dire, un chef d'oeuvre de la SF....
Ne pas faire comme moi et attendre aussi longtemps pour le lire. Foncez de suite dessus...
Vivement UW2 et UW3
Les mots pour qualifier cette série sont à choisir avec attention tant Barjam a été inspiré lors de sa conception, deux mots suffiront donc : chef-d'oeuvre!
Certain diront que le dessin n'est pas révolutionnaire, d'autre que l'histoire est un peu alambiquée, qu'importe, Denis Barjam rentre au panthéon des très grand en signant ici une oeuvre d'une rare intelligence, les personnages bien qu'au début un poil caricaturaux, se révèlent par la suite très attachants, leur psychologie est très travaillée.
Mais le plus important est que cette série aborde tous les thèmes et les sentiments rencontrer par l'Homme durant son existance : l'amour, la haine, la colère, le désèspoir, la vengeance, la rédomption....
Une oeuvre puissante en somme, qui pousse à la reflexion, et qui plus est d'actualité, en ces temps ou l'Homme se prend pour un Dieu et l'ou le mot frustration ne veut plus rien dire.
Je me ballade sur le site et en tombant sur UW1, je ne peux m'empêcher de donner mon avis, au cas ou certains auraient manquée cette série.
L'histoire est formidablement bien construite et prend une tournure peu commune dès le début (sans vouloir dévoiler), puis arrive à tenir le lecteur en haleine tout au long du récit, pour terminer sur un dénouement qui clos parfaitement l'histoire, sans nous laisser sur notre faim.
Le dessin est également bien travaillé, et on sent tout le travail qui à été fait par Denis Bajram.
Un grand Bravo.
N'étant pas fan de SF, je n'ai finalement acheté cette série qu'en faisant confiance à l'excellent bouche à oreille qu'elle avait.
Et quelle formidable surprise! les deux premiers tomes ancrent bien la série qui prend toute sa dimension à partir du troisième opus. Il est alors impossible de deviner la tournure que va prendre le récit, Bajram nous emprisonne dans son univers complexe, au propre pour les héros, comme au figuré pour les lecteurs.
Au tome 4 on se demande comment l'auteur va pouvoir renchérir et il fait encore plus fort, tant au niveau scénaristique que graphique.
En découle un volume 5 très noir et péssimiste toujours excellent, comment l'histoire peut-elle se terminer? Bajram a ouvert tellement de portes qu'il va être difficile de les refermer dans le dernier tome. Et bien non! grace aux synopsis et à des schémas complexes que l'auteur avait effectué avant de commencer l'oeuvre, la conclusion du cycle est cohérente et grandiose. Ce n'est finalement qu'un huis-clos ou les protagonistes ne font qu'interagir, prisonniers de leur destin tout en étant leur maître.
Bref, une oeuvre majeure très personnelle, philosophique, biblique (au sens grec du terme), romanesque, d'aventure, d'amour, de haine,qui une fois terminée ne fait qu'ouvrir les portes de la reflexion.
N'étant pas amateur de SF au départ, le challenge était difficile à relever d'autant que les dessins ne m'attirent pas au départ (ni même à la fin). Mais j'ai pris le temps de lire jusqu'au bout cette saga inter planète et inter temps qui a l'ambition pas moins de réinventer le destin de l'humanité en réécrivant la bible !
Et l'histoire est suffisamment accrocheuse pour avoir maintenu mon intérêt jusqu'au bout. Je ne suis pas convaincu par toutes les astuces du scénario et les histoires d'amour notamment ne m'ont pas touché, mais je comprends les amateurs du genre.
Au final je ne suis pas converti à la SF mais cette série dans le genre est à lire.