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Que les brocantes estivales apportent en curiosités ?!?
Voici une BD trouvée au fin fond d'un cageot et qui se trouve être lauréat d'un prix. Et oui messieurs-dames "La bretelle ne passera pas" obtint le prix ACBD 1992, rien que ça!
Jean-Luc Abiven n'a rien publié depuis. Il aurait même disparu des réseaux. Et la série René Marguerite ( jeux de mots avec le peintre Belge), après ce 1er opus, n'a jamais eu de second opus. Parfois le destin d'un lauréat n'est pas pavé de plénitude.
Alors, bon, en 1992 il y a du avoir des œuvres du 9ème art de plus grandes qualités que celle-là. Voila une certitude. Sauf qu'il est bon le bousin tout de même!
Question dessin, Abiven s'inspire avec générosité et réussite d'Uderzo. Les mêmes gros nez, la même rythmique, les mêmes gags (ici parfois réjouissant) mais pas las mêmes horizons ni décors. Abiven ne fait que du gros plan quasiment. Uderzo reste le maitre mais Abiven avait du talent.
Question scénario, Abiven s'inspire de Fallet du côté de son Beaujolais nouveau. Et il y a là 2 personnages principaux, représentant types de l'ancienne France profonde, qui lutte en pieds de nez contre cette nouvelle France moderne, anonyme et pollueuse. Chez Fallet, le final était défaitiste d'un fin d'un monde sincère pour un autre dégoutant. Chez Abiven, le final est euphorique, joyeux d'un espoir sincère. Bon, on connait la résultante de tout cela, c'est Fallet qui gagne.
Alors, certes, il y a des ressorts qui tombe à l'eau ( toute les scènes autour de la prison), un vol de véhicule qui ne sert pas mais il y aussi une Normandie tropicale, un champ de maïs en ville et une bretelle qui ne passera pas !
Bon, dans la vrai vie c'est pas ça qui s'est passé .....mais on peut rêver parfois à ce que tout ce béton qui a tout enlaidi ne se soit pas étalé partout.;;;;
Que les brocantes estivales apportent en curiosités ?!?
Voici une BD trouvée au fin fond d'un cageot et qui se trouve être lauréat d'un prix. Et oui messieurs-dames "La bretelle ne passera pas" obtint le prix ACBD 1992, rien que ça!
Jean-Luc Abiven n'a rien publié depuis. Il aurait même disparu des réseaux. Et la série René Marguerite ( jeux de mots avec le peintre Belge), après ce 1er opus, n'a jamais eu de second opus. Parfois le destin d'un lauréat n'est pas pavé de plénitude.
Alors, bon, en 1992 il y a du avoir des œuvres du 9ème art de plus grandes qualités que celle-là. Voila une certitude. Sauf qu'il est bon le bousin tout de même!
Question dessin, Abiven s'inspire avec générosité et réussite d'Uderzo. Les mêmes gros nez, la même rythmique, les mêmes gags (ici parfois réjouissant) mais pas las mêmes horizons ni décors. Abiven ne fait que du gros plan quasiment. Uderzo reste le maitre mais Abiven avait du talent.
Question scénario, Abiven s'inspire de Fallet du côté de son Beaujolais nouveau. Et il y a là 2 personnages principaux, représentant types de l'ancienne France profonde, qui lutte en pieds de nez contre cette nouvelle France moderne, anonyme et pollueuse. Chez Fallet, le final était défaitiste d'un fin d'un monde sincère pour un autre dégoutant. Chez Abiven, le final est euphorique, joyeux d'un espoir sincère. Bon, on connait la résultante de tout cela, c'est Fallet qui gagne.
Alors, certes, il y a des ressorts qui tombe à l'eau ( toute les scènes autour de la prison), un vol de véhicule qui ne sert pas mais il y aussi une Normandie tropicale, un champ de maïs en ville et une bretelle qui ne passera pas !
Bon, dans la vrai vie c'est pas ça qui s'est passé .....mais on peut rêver parfois à ce que tout ce béton qui a tout enlaidi ne se soit pas étalé partout.;;;;