Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Après Uchronie[s] - New Byzance, il fallait enchaîner sur New Harlem qui réserve bien des surprises. On retrouve notre héros mais plus jeune dans une autre réalité de ce que pouvait devenir New-York.
Je n'ai pas été particulièrement choqué par l'abondance de scènes dites chaudes. C'est une partie intégrante de la bande dessinée pour adultes qu'il ne faut pas tenir à la disposition des enfants, voilà tout. Elle s'inscrit d'ailleurs dans une démarche scénaristique pour expliquer la décadence d'une certaine société.
Par contre, j'ai été un peu déçu par le dessin qui n'est pas à la hauteur de New Byzance. Bien sûr, on a un changement de dessinateur et visiblement, ils n'ont pas tous le même talent... Je trouve que les contours et les visages des différents personnages sont particulièrement inégaux sans compter les problèmes liés à la proportion. Il y a une imprécision du trait qui est manifeste. Mais bon, ce n'est pas catastrophique non plus.
Le scénario semble suivre une logique implacable. On sent qu'il y a là une réelle maîtrise qui est fort appréciable. Pour autant, on a du mal à y croire en raison de l’invraisemblance de certaines scènes. A la longue, on se dit que le récit dans cette nouvelle réalité ne captive pas vraiment. On reconnaîtra néanmoins que la fin du cycle est menée fort habilement car cela fait le lien avec New Byzance.
Une relecture du cycle m'a permit de beaucoup mieux comprendre les enjeux globaux. Bref, cette relecture a plutôt eu un effet salutaire. On s'apercevra également que c'est dans ce cycle que se tiennent les clés du mystère qui nous sera dévoilé dans l'épilogue. En tout cas, j'ai bien aimé !
Excellent premier tome de cette série.
Ce tome est à lire indépendamment de "Uchronies New Byzance".
L'histoire se passe dans une réalité parallèle où les blancs de New York sont relayés dans un ghetto blanc, le pouvoir étant au main du Black Order.
Les dessins sont bons mais peut-être inférieures à ceux de New Byzance.
Une bonne lecture.
7/10.
Pas franchement convaincu par ce volume. Peut être que ce jugement mériterait d'être pondéré par la lecture des autres "Uchronies", mais en commencer par "New Harlem" ne se révèle pas inoubliable.
Le scénario est assez conventionnel et parfois pénible (assez de ces scènes de sexe sans aucun intérêt dans l'histoire, psychologie somme toute primaire des personnages). Le dessin quant a lui, manque de personnalité et reste au mieux, fade. Dommage, l'idée de l'uchronie est une bonne base de départ.
Bonne histoire que cette uchronie de Harlem où les noirs tiennent le haut du pavé mais savent utiliser les talents des blancs à leur profit. La vie de ce prescient riche et comblé mais à bout de course qui va retrouver ses origines et quitter son petit monde douillet pour affronter son histoire et celle de l'humanité est passionnante.
Du coup les dessins passent au second plan car nous sommes happés par le suspens et nous attendons la suite avec impatience.
Corbeyran avec sa série (U)Chronies a l'ambition de nous dresser trois mondes, également injustes, également odieux. A priori le nôtre et deux autres fantasmés : l'un sous la tutelle orientale même si l'on pense beaucoup à islamique, bien que ce mot ne soit jamais cité dans l'album New Byzance, le deuxième dans un monde américain où les noirs ont pris la place des blancs et ceux-ci vivent dans des ghettos.
Le propos est évidemment allégorique et politique et tien à (dé)montrer l'oppression volontaire ou involontaire qu'un pouvoir fort impose à ses minorités.
L'intérêt de l'album réside dans ses résonnances avec New Byzance, puis certainement par la suite avec New York. C'est un fin et astucieux scénario aux multiples ouvertures que nous tricote Corbeyran.
Mais au delà de cela, ce qui est déjà énorme, il nous offre dans cet album une splendide histoire de suspense avec au final un homme qui va partir à la recherche de sa vérité/identité.
Cette deuxième histoire, nous plonge dans la ville de New Harlem, au coeur de la civilisation "noire".
On revoit Zack, mais son enfance, et son parcout pour devenir un prescient.
Se deuxième album nous parle à nouveau du complexe Utopia, et l'on voit toujours des personnages du premier album, maéis dans différents moments .
Je rejoins un peu l'avis de "lefanfois" , le graphisme est loin d'etre excelent mais le scénario est riche et profond , l'histoire rejoint un peu celle de new byzance , on retrouve Zack Kosinski enfant puis adulte et aussi ce complexe d'immeuble "Utopia" . Il y a des choses similaire ( utopia et zack ) mais aussi des choses différentes comme la lutte entre "les blanc" et "les noirs" et cette guerre n'etait pas présente dans new byzance ce qui endurci le lecteur.
Le tome 2 est à attendre comme celui de new byzance !!!
L'intrigue est sympathique et même si l'histoire peut se lire indépendamment de New Byzance, des similitudes ressortent, nous laissant un certain suspens. Une BD très agréable mais qui a un gros défaut ! Le graphisme ! Certaines planches sont impeccable mais bien trop souvent les visages sont complètement loupés ! il suffit de regarder la dernière case de l'album !!! Quel dommage, car ça gâche tout !
Après Uchronie[s] - New Byzance, il fallait enchaîner sur New Harlem qui réserve bien des surprises. On retrouve notre héros mais plus jeune dans une autre réalité de ce que pouvait devenir New-York.
Je n'ai pas été particulièrement choqué par l'abondance de scènes dites chaudes. C'est une partie intégrante de la bande dessinée pour adultes qu'il ne faut pas tenir à la disposition des enfants, voilà tout. Elle s'inscrit d'ailleurs dans une démarche scénaristique pour expliquer la décadence d'une certaine société.
Par contre, j'ai été un peu déçu par le dessin qui n'est pas à la hauteur de New Byzance. Bien sûr, on a un changement de dessinateur et visiblement, ils n'ont pas tous le même talent... Je trouve que les contours et les visages des différents personnages sont particulièrement inégaux sans compter les problèmes liés à la proportion. Il y a une imprécision du trait qui est manifeste. Mais bon, ce n'est pas catastrophique non plus.
Le scénario semble suivre une logique implacable. On sent qu'il y a là une réelle maîtrise qui est fort appréciable. Pour autant, on a du mal à y croire en raison de l’invraisemblance de certaines scènes. A la longue, on se dit que le récit dans cette nouvelle réalité ne captive pas vraiment. On reconnaîtra néanmoins que la fin du cycle est menée fort habilement car cela fait le lien avec New Byzance.
Une relecture du cycle m'a permit de beaucoup mieux comprendre les enjeux globaux. Bref, cette relecture a plutôt eu un effet salutaire. On s'apercevra également que c'est dans ce cycle que se tiennent les clés du mystère qui nous sera dévoilé dans l'épilogue. En tout cas, j'ai bien aimé !
Note Dessin: 3.75/5 - Note Scénario: 3.75/5 - Note Globale: 3.75/5
Excellent premier tome de cette série.
Ce tome est à lire indépendamment de "Uchronies New Byzance".
L'histoire se passe dans une réalité parallèle où les blancs de New York sont relayés dans un ghetto blanc, le pouvoir étant au main du Black Order.
Les dessins sont bons mais peut-être inférieures à ceux de New Byzance.
Une bonne lecture.
7/10.
Pas franchement convaincu par ce volume. Peut être que ce jugement mériterait d'être pondéré par la lecture des autres "Uchronies", mais en commencer par "New Harlem" ne se révèle pas inoubliable.
Le scénario est assez conventionnel et parfois pénible (assez de ces scènes de sexe sans aucun intérêt dans l'histoire, psychologie somme toute primaire des personnages). Le dessin quant a lui, manque de personnalité et reste au mieux, fade. Dommage, l'idée de l'uchronie est une bonne base de départ.
Bonne histoire que cette uchronie de Harlem où les noirs tiennent le haut du pavé mais savent utiliser les talents des blancs à leur profit. La vie de ce prescient riche et comblé mais à bout de course qui va retrouver ses origines et quitter son petit monde douillet pour affronter son histoire et celle de l'humanité est passionnante.
Du coup les dessins passent au second plan car nous sommes happés par le suspens et nous attendons la suite avec impatience.
Corbeyran avec sa série (U)Chronies a l'ambition de nous dresser trois mondes, également injustes, également odieux. A priori le nôtre et deux autres fantasmés : l'un sous la tutelle orientale même si l'on pense beaucoup à islamique, bien que ce mot ne soit jamais cité dans l'album New Byzance, le deuxième dans un monde américain où les noirs ont pris la place des blancs et ceux-ci vivent dans des ghettos.
Le propos est évidemment allégorique et politique et tien à (dé)montrer l'oppression volontaire ou involontaire qu'un pouvoir fort impose à ses minorités.
L'intérêt de l'album réside dans ses résonnances avec New Byzance, puis certainement par la suite avec New York. C'est un fin et astucieux scénario aux multiples ouvertures que nous tricote Corbeyran.
Mais au delà de cela, ce qui est déjà énorme, il nous offre dans cet album une splendide histoire de suspense avec au final un homme qui va partir à la recherche de sa vérité/identité.
Cette deuxième histoire, nous plonge dans la ville de New Harlem, au coeur de la civilisation "noire".
On revoit Zack, mais son enfance, et son parcout pour devenir un prescient.
Se deuxième album nous parle à nouveau du complexe Utopia, et l'on voit toujours des personnages du premier album, maéis dans différents moments .
Je rejoins un peu l'avis de "lefanfois" , le graphisme est loin d'etre excelent mais le scénario est riche et profond , l'histoire rejoint un peu celle de new byzance , on retrouve Zack Kosinski enfant puis adulte et aussi ce complexe d'immeuble "Utopia" . Il y a des choses similaire ( utopia et zack ) mais aussi des choses différentes comme la lutte entre "les blanc" et "les noirs" et cette guerre n'etait pas présente dans new byzance ce qui endurci le lecteur.
Le tome 2 est à attendre comme celui de new byzance !!!
L'intrigue est sympathique et même si l'histoire peut se lire indépendamment de New Byzance, des similitudes ressortent, nous laissant un certain suspens. Une BD très agréable mais qui a un gros défaut ! Le graphisme ! Certaines planches sont impeccable mais bien trop souvent les visages sont complètement loupés ! il suffit de regarder la dernière case de l'album !!! Quel dommage, car ça gâche tout !