©Casterman 2007 Matz/Jacamon
Parution en 09/2007. Vous pouvez commander l'album chez nos partenaires suivants :
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Album créé dans la bedetheque le 22/09/2007 (Dernière modification le 22/01/2014 à 17:29) par nubuc
« Le tueur, volume 6 ; modus vivendi » nous replonge avec une certaine délectation dans le monde froid, dur et cynique d'un tueur professionnel.
Cette fois le tueur semble le pantin d'une organisation international de grande envergure et commence à regretter d'avoir repris ce « travail » qu'il affectionne...
Les ingrédients sont toujours les mêmes : un fond intéressant avec de longs monologues justifiant cet « art de vivre » par une logique nihiliste et individualiste et une forme magnifique avec des graphismes somptueux mettant remarquablement en valeur l'Amérique latine.
On se laisse porter avec plaisir et attend impatiemment de découvrir la suite de cette nouvelle ténébreuse affaire.
Plus d'informations ici : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2021/10/le-tueur-volume-6-modus-vivendi-luc.html
Le tueur reprend du service après quatre ans de farniente pendant lesquels il est devenu le père d’un petit garçon. Mais l’inactivité le ronge et le Parrain ainsi que Mariano vont servir d’intermédiaires pour de nouveaux contrats juteux. Seulement tout ne va se passer comme cela aurait dû. Le tueur, le parrain et Mariano vont comprendre qu’ils ont été manipulés. On présage de la suite…
Cette série est de plus en plus addictive. On en arrive à apprécier des salopards et les textes de Matz sont autant de réflexions sur l’humanité et le dégoût qu’elle génère. Ces réflexions, unilatérales, prête à rire ou à pleurer.
Après quatre années d'inactictivitées pour le tueur, le voilà qui reprend du service, le problème c'est qu'il se met à se poser des question sur l'élimination d'une cible, et cela n'est pas son style.
Toujours très bon, une bonne réussite.
6ème episode des aventures de ce tueur à gages.
La trame de l'histoire et les dessins n'ont pas changé mais cette fois-ci le scénario semble plus élaboré.
On se régale.
On regrettera ces longs monologues censés apporter une touche moralisatrice à l'oeuvre.
7/10.
Reprise du tueur qui souffre d'inactivités et ne sait pas résister à un nouveau contrat qui va bien entendu l'entrainer dans de nouvelles embrouilles car malgré sa fausse indifférence, le tueur a malgré tout des états d'âme et philosophe sur la manière dont va le monde, manière commode de se déculpabiliser.
La recette ne change pas, pas vraiment de nouveauté, la qualité des dessins restent constante, toujours intéressant à lire même si on est moins surpris.
Après une histoire bien construite autour de la psychologie d'un tueur à gage qui vous tenait en haleine pour peu que l'on éprouve quelque sympathie à son égard, le tueur revient après quelques années d'absence. La série n'est donc pas finie dis-je à ma femme impassible. Je me précipitais donc sur ce nouvel opus qui s'avéra être une réussite complète : un dessin chaloupé avec des plans cinoche d'envergure, un scénario bien ficelé, une maîtrise du dialogue impeccable. Excellente surprise ! Pour une fois qu'une série ne tombe pas dans les rouages du commercial à outrance, n'en déplaise à Monsieur XIII et consort, on ne peut que s'en féliciter ! Mais putain où c'est qu'jai mis mon flingue ?
c'est pas mal mais l'histoire ne se tiens pas completement. Il y a plus ou moins une suite, mais pas cohérente. A lire tout de m^me
Extraordinaire, Superbe que faire de cette bd si ce n'est la porter au panthéon !!
Après une période d'accalmie, mais du changement dans sa vie quand même, le tueur reprend du service ...
Ce nouveau tome est moins cynique que les précédents, et laisse transparaître plus d'humanité qu'auparavant chez le tueur, on attend maintenant d'en savoir un peu plus sur la boîte de Pandore qu'il a ouvert, et qui ne manquera pas de se refermer faisant du mal autour d'elle ...
C'est reparti encore plus fort, la magie de cette BD n'est pas intacte, elle a encore grandi ! Les planches sont somptueuses, d'une rare élégance, agencées comme des plans cinématographiques. Les couleurs alternent entre le clair et le sombre comme pour les précédents volumes. Les dialogues sont à la hauteur des dessins, sublimes. Les monologues sur la religions, la vie, la mort et la bêtise humaine sont si pertinents qu'ils rajoutent de l'épaisseur au récit. Enfin l'alternance entre la poésie des paysages, des moments de d'introspection du Tueur et la violence de ses meurtres jette le chaud et le froid et nous oblige à prendre du recul. Cette série a encore gagné en classe ! Merci à Mrs JACAMON & MATZ pour ce concentré de talent qui représente déjà un des évènements de cette fin d'année....