Le tueur
12. La main qui nourrit
Une BD de Matz et Luc Jacamon chez Casterman (Ligne Rouge) - 2013
11/2013 (13 novembre 2013) 54 pages 9782203062214 Format normal 194467
La suite de l’intrigue mise en place dans les tomes 9, 10 et 11, qui relance une fois encore les aventures du Tueur.
« Le Tueur, volume 12, la main qui nourrit » réussit toujours la combinaison adroite entre exotisme, ultra-violence et considérations pseudo-philosophiques justifiant la seconde.
L'action est bien menée avec la disparition d'un personnage « historique » de la BD, Mariano l'ami providentiel d'un cartel colombien assurant protection et logistique au mercenaire « free-lance ».
Discutable sur le fond, notamment par ses longs monologues nihilistico-dépressifs évoquant pele-mele esclavage et torture pour justifier de la bassesse de l’être humain en général, ce 12ieme volume se montre en revanche assez irréprochable sur la forme avec de splendides paysages des iles des Antilles et des scènes de « gun-shots » intenses.
De quoi voir venir pour la suite ?
Critique complète ici : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2021/11/le-tueur-tome-12-la-main-qui-nourrit.html
Encore un tome des plus agréables à lire. Mariano disjoncte de plus en plus à cause de la « coke » et va se faire enlever par un cartel concurrent de celui de son parrain. Le tueur et Haywood sont chargés de s’occuper de sa libération. L’album va se terminer de manière sanglante avec une épée de Damoclès sur la tête du tueur et d’Haywood.
Encore une fois Matz maîtrise l’art du suspens et du verbe. Cette série est un plaisir de chaque instant…
L'histoire prend un nouveau tour, ce qui semblait bien installer ne pouvant pas durer. Le prochain épisode risque d'être mouvementé.
Un bon 3ème cycle.