Le troisième Testament
4. Jean ou le jour du Corbeau
Une BD de Xavier Dorison et Alex Alice chez Glénat (Grafica) - 2003
06/2003 (10 juin 2003) 73 pages 2723437329 Grand format 15 à 20 euros 26771
Dans ce quatrième et dernier tome de cette grande série culte qu’est Le Troisième Testament, vous seront enfin dévoilées toutes les réponses aux nombreuses et angoissantes questions que vous vous posez depuis l’ouverture du premier tome...Vous apprendrez l’existence d’un treizième apôtre, parent du Christ, sur qui toute l’énigme du Troisième Testament reposerait...Et vous assisterez surtout au formidable affrontement final entre le terrible Sayn, le grand inquisiteur Guillaume de Beaujeu, Conrad de Marbourg et Elisabeth... Ils sont tous prêts à... Lire la suite
Ce tome termine la saga du Troisième Testament. J'ai hésité sur la note car si la réalisation est toujours aussi bonne, si la fin à quelque chose d'épique, elle laisse tout de même l'impression d'être un peu précipitée et un peu improvisée, bref qu'elle aurait pu être encore meilleure.
J'ai mis toutefois la note de 4/5 car l'histoire vaut le coup d'être lu, on est tout de même sur une excellente bd qui mérite amplement une bonne critique et une bonne note.
Le plus dur était de conclure…
Après trois tomes d'une quête épique, gothique, ésotérique, pleine de rebondissements, à l'intrigue complexe et parfois confuse, comment ne pas décevoir? Et bien ce n'est pas cet album qui permettra de répondre…
Un épisode nordique qui se traine dans la brume, à travers laquelle on ne voit ni ne comprends grand'chose… des scènes qui s’étirent sans que le récit n'avance… D’ailleurs, que sont-ils venus faire dans cette galère?
Quant au dénouement, il m'a fallu le relire trois fois pour le comprendre. Et franchement,… tout ça pour ça?
Monumentale série qui nous mène ici jusqu'au Troisième Testament. Vous connaîtrez donc l'ensemble des arcanes du mystère, après la folle course poursuite des trois premiers tomes. Pas la peine d'en dévoiler trop. Juste pour vous allécher : ce dernier opus est fantastique, on finit en apothéose, ce qui n'est pas toujours le cas pour certaines courtes séries où le suspens est brisé par une fin trop abrupte qui déçoit le lecteur.
Mais bon, si vous en êtes là, c'est que vous avez sûrement déjà lu les précédents : donc vous ne serez pas déçu, c'est taillé dans le même bois. Dans le cas contraire, dégottez vous d'emblée les quatre tomes d'un coup, installez vous tranquillement et passez une très bonne journée. Assurément.
Heureuse surprise que se dernier album, en effet le dessin est toujours super, et l'histoire a enfin son mystère levé.
Elisabeth se retrouve seule et doit donc s'allier aux templiers, de son coté Conrad tiend à se venger et ainsi régler le problème, mais vas découvrir une chose spéctaculaire.
Des batailles géniales et une fin plutot inoubliable et improbable.
En bref une série qui est bien sympas malgrés des moments un peu ennuyeux sur le théme de l'église.
Eh ben! j'avais lu les 2 premiers tomes il y a de ça trois mois, et je viens tout
juste de lire les deux suivants... Tout à fait exceptionnel.
Les dessins d'Alice tout d'abord : flamboyants, vifs, aériens, avec un travail
superbe sur les ombres et les éclairages, des vues grandioses et magnifiques
soutenues par une mise en page favorisant les grandes illustrations, et un
découpage dynamique qui sert les effets scénaristiques à merveille.
Niveau scénario Dorison ne pèche pas et nous offre une intrigue prenante et
très bien construite oscillant entre ésotérisme et polar médiéval. Les scènes
sont intenses, pleines de dramaturgie et de tragique quand la place n'est pas
laissée à une action efficace, éclatante, et extrême. Et cette fin en apothéose
tombe à point nommé, juste comme il faut, et démontre une fois de plus tout
le talent de Dorison qui a superbement maîtrisé son récit de bout en bout.
Vous l'aurait compris, le Troisième Testament mérite largement sa réputation.
La fin un peu trop grandiloquente, très hollywoodienne, affaiblit à mon sens l’album. Certains y verront une catharsis finale, pourquoi pas ?
Néanmoins ces moments de feu dans un paysage glacé m’ont quand même laissé de marbre. Cela ne remet nullement en cause la qualité de l’album, a fortiori de la série, c’est simplement à mon sens un ton au dessous des albums précédents.
La série reste cependant très exceptionnelle et est recommandable à tout amateur de BD.
Quelle déception j'ai eu en lisant les dernières pages de cet album ! Une série qui était jusque là vraiment passionnante ! Les trois premiers albums et le début de celui-ci restent du côté réaliste et dans les dernières pages, tout d'un coup, on sombre dans le fantastique. Pas très convaincant. Dommage.
Fabuleux...C'est peut-être ma 6ème lecture de la série et je ne m'en lasse jamais. Tout est réuni; guidé par des dessins et un scénario implaccable. L'accès n'est certainement pas le plus facile mais la re-lecture est tellement bonne! Un Chef-d'oeuvre du genre qui va bien au delà, à mon avis, de l'intrigue d'Umberto Eco. Un must qui devrait toucher bien plus que les amateurs du genre.
Bonne lecture!
Magnifique.
Une Bd qui se dévore. Vous pouvez directement vous procurer les 4 tomes, c'est une valeur sure. Des dessins somptueux, un scénario très bien ficellé. Jusqu'au dénoument on est pas déçu, allez y fonçé...
Merveilleux....
1ere fois ke g les larmes aux yeux a la fin d'une séerie!!!
c court 4 tomes, et c tellement difficile de boucler une série en 4 tomes!...Alors en faire un chef d'oeuvre!!...
Rien a dire, le Vinci des tps modernes est arrivé....
.....il a 2 noms : Dorison et Alice
La série le Troisième Testament est peut-être une des Bandes Dessinées les plus ambitieuses qui ait été créée... Réelles ambitions "littéraires", documentation parfaite, dessins somptueux, et surtout un scénario plus que risqué... L'apocalypse, oui, la vraie, celle de l'évangéliste Jean, rien de moins...
Le premier tome était un modèle de présentation et de lancement, les deux suivants avaient maintenu suspense et qualité avant le grand final.
Et la voici, cette conclusion attendue des années durant(!!!).
Une conclusion qui oblige à crier au chef-d'oeuvre. La tension vient crescendo, pour finir, telle une symphonie classique, en un mouvement final époustouflant... Dessins dantesques, révélations renversantes, beauté omniprésente...
Vient alors le moment de lire la dernière case, fermer le livre, et laisser cette terrible nostalgie s'emparer de nous: C'est fini, il n'y a plus rien à attendre, tout est dit. C'est la marque des oeuvres parfaites...
Ce tome final est l'apogée de cette quadrilogie. Je trouve la scène finale sur le glacier digne des batailles à grand spectacle du cinéma : on se prend à rêver d'une adaptation sur grand écran (qui sait?).
Les 4 tomes sont tous excellents, le dessin est magnifique avec des scènes grandioses comme la poursuite dans le clocher de notreDame (T1), la bibliothèque de Tolède (T2), ou le sac de Jérusalem (T4).
L'intrigue est dense, pleine de rebondissements et la révélation finale à la hauteur!
Bien sûr, il y a une forte similitude d'ambiance avec le nom de la Rose mais c'est limité: L'action n'est pas en huis clos et le personnage principal (Marburg) est un homme d'action et non pas seulement un lettré. C'est clair que physiquement, il tient plus de Sean Connery (surtout au début) que de Jacques Villeret, quoi qu'en disent les auteurs...
C'est pour moi un cycle culte, à la hauteur de la quête de l'oiseau du temps par exemple. A lire absolument !
Il y a six ans (déjà ? que l'attente fut longue...), Xavier Dorison et Alexandre Alice nous gratifiaient d'un album exceptionnel : Marc ou le réveil du Lion, premier tome d'une saga au nom évocateur : le Troisième Testament.
Les tomes 2 et 3 arrivèrent assez rapidement, et sans atteindre le niveau de réussite du premier, ont permis de faire de la série une des plus convaicantes de ces dernières années.
C'est dire si ce tome 4 est attendu, et les nombreuses rumeurs qui ont couru (retards, réalisation d'un cinquième tome..) ont alimenté le mythe.
D'emblée, on retrouve l'univers graphique qui a fait une partie de ce succès : planches immenses faisant la part belle aux décors, couleurs somptueuses et aux dominantes différentes selon les lieus, angles de vue spectaculaires. Toutes les conditions climatiques sont d'ailleurs réunies dans cet album pour permettre à Alice d'exploiter son talent. Les personnages secondaires sont plus rares ici (fin de l'histoire oblige) et le défaut habituellement reproché, c'est à dire une identification difficile des personnages, est donc moins évident.
Côté scénario, depuis le premier tome et son côté précurseur, de nombreux confrères se sont engagés dans la brêche (triangle secret, décalogue...) et les surprises sont moins efficaces. D'ailleurs, alors que le tome 1 se pose en successeur du Nom de la Rose d'Umberto Eco pour le neuvième art, c'est beaucoup moins évident à partir du tome 3, et la référence s'éloigne définitvement pour le tome 4. Coïncidence, ce sont les tomes auxquels Alice a participé pour le scenario, mais on retrouve aussi le goût du fantastique de Dorison, présent de la même façon dans Prophet et Sanctuaire. Cette façon de lancer une histoire sur des bases tout à fait réalistes et de la relancer sur le plan fantastique est caractéristique de son travail et déroute certains lecteurs.
Au delà de ces considérations, l'histoire reste remarquable et les quelques planches supplémentaires permettent de l'apprécier un peu plus longtemps, même si le final est moins limpide que le reste de la série.
Dans l'ensemble, même si le premier tome restera le chef d'oeuvre de la série, Jean ou le Jour du Corbeau conclut en beauté le Troisième Testament, en faisant ainsi l'une des mailleures séries de ces dix dernières années.
Suite et fin fort attendue, évident risque de déception... ben pourtant non ! Sans crier au chef d'oeuvre, je ne peux que saluer la qualité de cet album qui conclut très justement la désormais célèbre série épique.
Alors oui, des faiblesses persistent... que ce soit au niveau du dessin (aux couleurs néanmoins irréprochables, tout comme les paysages), ou de la mise en scène finale certes nerveuse mais parfois délicate à suivre. Cela dit on respire le souffle de l'Aventure tout au long des 4 tomes, sans jamais le sentir faiblir, jusqu'à une conclusion qui évite brillament les terribles ennemis trainajenlongueur et finpréssipitée. Bravo.
Et voilà une série de terminée, sur une apothéose, sur un chef d’œuvre.
Ce quatrième tome ne m’a pas déçu. Même si au début, le papier de la version coloriée m’avais rebuté par son aspect fragile, cette impression disparaît grâce à un scénario prenant.
Monsieur Xavier Dorison nous a fournit une montée en puissance (du 1er au dernier tome) de la tension et de l’approche épique de cette aventure biblique
Les couleurs sont sombres (parfois un peu trop même) avec des flashs de couleurs vives (voir couverture) sur la fin de ce 4ème bouquin. Cela accentue encore plus la violence de la confrontation finale. Vraiment bien, j'ai adoré.
La version N&B permet de mieux apprécié le dessin et éviter de pénétrer directement dans la violence de cette fin de série. Cette version permet de savourer tout le talent de Monsieur Alex Alice. Mais, je pense qu'elle efface l'aspect dramatique et fort de ce dernier volume.
Une belle série indispensable.
Voilà j'ai lu le dernier tome et ce n'est pas l'apothèose finale tant attendue.
En fait je me demande pourquoi ils sont fait si long ce 4eme tome ???
Sinon rien à redire sur les dessins
comme l'a si bien dit FredGren cette BD pourrait passer d'indispensable a chef d'oeuvre grace a son quatrieme et tant attendu tome"Jean ou le jour du corbeau" et c'est se qui vient de se passer en ce jour benit du 10/06/03.
C'est 1 chef d'oeuvre de plus de 70 pages que nous ont prepare Alice et Dorison et cette serie fais partie des plus grandes du septieme art et merite donc cette note (10/10). chef d'oeuvre a ne pas manquer donc...