©Glénat 2002 Convard/Juillard
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Album créé dans la bedetheque le 23/04/2002 (Dernière modification le 31/03/2024 à 01:08) par choregraphe
Le triangle Secret
5. L'infâme mensonge
Une BD de
Didier Convard
et
André Juillard
chez Glénat
(La Loge Noire)
- 2002
Convard, Didier
(Scénario)
Juillard, André
(Dessin)
Falque, Denis
(Dessin)
Wachs, Pierre
(Dessin)
Gine
(Dessin)
Paul
(Couleurs)
Juillard, André
(Couverture)
04/2002 47 pages 2723434982 Grand format 20 à 25 euros 12503
Didier parvient à déchiffrer les carnets de Francis Marlane. Il apprend l’existence d’un triangle, en Champagne, dont deux des pointes seraient Jean le Baptiste et Jean l’Evangéliste, les deux saints patrons des francs-maçons. Mais il ne sait pas encore quelle est la troisième pointe. Il part alors en Champagne, sur les traces de Francis, et petit à petit, en enquêtant, il approche de la Lumière...Au Vatican, Monseigneur de Guillio presse les Gardiens du Sang d’en finir avec cette affaire afin d’étouffer définitivement l’infâme mensonge de l’Eglise.Nous... Lire la suite
Les gardiens du sang ont mis le feu à la maison de campagne de Martin, tuant ainsi l'abbé Jacques et détruisant presque entièrement le Testament du Fou. Le coup est rude pour Didier et ses compagnons, mais la quête du Secret s'apprête à vivre un nouveau rebondissement. Un excellent tome une fois de plus, avec des gardiens du sang très actifs, ce qui apporte du rythme au récit. Mais les complots ne sont pas en reste, notamment au Vatican et il faut dire que c'est passionnant. L'enquête de Didier avance de manière significative et promet pour la suite. Enfin, le traditionnel flashback historique s'avère très réussi et prenant. Du très beau travail, peut-être le meilleur tome jusqu'à maintenant.
Ah, ce tome fait rebondir l'intrigue par une improbable découverte. Ceci dit, quand on aime, on ne s'arrête pas à ce détail.
Les dessins s'améliorent mais ce n'est toujours pas le régal...
L'intérêt des albums ne tient que par la qualité des histoires subalternes qui sont présentées.
Dans celui-ci, nous avons droit à celle de Jérôme le Juif. Laquelle met en scène un apothicaire poursuivi par les foudres de Torquemada et qui saura se venger par delà la tombe.
C'est très astucieux, très sympathique et sauve l'album de ses langueurs habituelles. Faire mourir Torquemada de façon bien mystérieuse est vraiment bien trouvé, même si en fait il avait quand même 78 ans au moment de sa mort.
Si non e vero ...
Le scénario de ce cinquième tome reste parfait, l’étau se resserre et le dénouement semble proche. Difficile donc de s’arrêter de lire à la fin de se tome tant le suspens monte.
Au dessin, également une bonne surprise (enfin), car au lieu d’inviter un dessinateur guest-star comme dans les tomes précédents afin de venir compléter le trio de base (Wachs, Gine et Falque), c’est André Juillard (réalisateur des belles couvertures de cette série) qui vient dessiner les flash-back historiques de cet épisode. Et il faut bien avoué que, même si le maillon faible du trio de dessinateurs (Falque) a réalisé des progrès depuis le premier tome, l’apport de Juillard fait du bien au niveau du dessin.
Un des meilleurs albums de cette série.
Le scénario est toujours très bon mais pas aussi passionnant que les 3 premiers albums même si celà s'améliore à la fin de ce tome. Le mystère s'éclairci de plus en plus et les révélations se succède même si il reste encore de nombreuses zones d'ombre. Le dessin ne change pas il est toujours aussi superbe. Cet album est vraiment très agréable à lire.