Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Un graphisme totalement épuré pour un récit mélancolique un peu dénué d'intérêt. Voilà ce que je retiens de cette ballade douce amère dans le passé.
Les couleurs ne sont présentes que pour les scènes qui se situent dans l'enfance de cet homme aigri qui souhaite revenir habiter dans un immonde immeuble au bord d'une plage espagnole. Le scénario n'est guère convaincant avec une fin en queue de poisson. Normal, face à la mer...
C'est bien de revenir sur les traces de son passé. Cependant, il ne faut pas vivre dans le passé en se remémorant tous nos actes manqués en qualité d'adolescent mal dans sa peau. C'est le présent qui compte et le futur à bâtir. Or ce présent n'est évoqué qu'en noir et blanc dans un style graphique qu'il faut véritablement épouser.
L'auteur a reçu pour cette œuvre en 2006 le prix "révélation" au salon de Barcelone. La tour blanche est loin d'évoquer pour moi la chaleur estivale et les folles passions autour d'une plage.
Un graphisme totalement épuré pour un récit mélancolique un peu dénué d'intérêt. Voilà ce que je retiens de cette ballade douce amère dans le passé.
Les couleurs ne sont présentes que pour les scènes qui se situent dans l'enfance de cet homme aigri qui souhaite revenir habiter dans un immonde immeuble au bord d'une plage espagnole. Le scénario n'est guère convaincant avec une fin en queue de poisson. Normal, face à la mer...
C'est bien de revenir sur les traces de son passé. Cependant, il ne faut pas vivre dans le passé en se remémorant tous nos actes manqués en qualité d'adolescent mal dans sa peau. C'est le présent qui compte et le futur à bâtir. Or ce présent n'est évoqué qu'en noir et blanc dans un style graphique qu'il faut véritablement épouser.
L'auteur a reçu pour cette œuvre en 2006 le prix "révélation" au salon de Barcelone. La tour blanche est loin d'évoquer pour moi la chaleur estivale et les folles passions autour d'une plage.