Tony Corso
7. La donation Konstantin
Une BD de
Olivier Berlion
chez Dargaud
- 2014
Berlion, Olivier
(Scénario)
Berlion, Olivier
(Dessin)
Favrelle, Christian
(Couleurs)
Semal, Christophe
(Lettrage)
04/2014 (18 avril 2014) 46 pages 9782205073416 Format normal 210278
Dans ce nouvel épisode du polar Tony Corso, notre héros - après sa rupture -, accepte un « petit » contrat en Grèce. Vite fait bien fait, de quoi prendre des vacances ! Mais voilà, son ami Madjid et Cassandra, une artiste grecque qui fait tourner la tête de Tony, sont impliqués dans cette affaire, plutôt dangereuse de surcroît. Un avocat qui travaille pour la Mafia dissimule les codes d'un compte offshore dans des toiles représentant des icônes orthodoxes – toiles peintes par Cassandra... Qui a dit que les affaires et l'amour faisaient bon ménage... Lire la suite
Belle aventure de notre détective préféré. On retrouve des éléments du passé de Tony, un peu comme dans "Vendetta". J'ai beaucoup apprécié le personnage de Cassandra Maniatis, qui me rappelle l'artiste italienne que l'on retrouve dans les aventures de LARGO WINCH. Celui de Casimir est dans la veine des "méchants" de la série, à savoir dans l'excès et mégalo.
J'ai trouvé que le dessin avait 2 caractéristiques : les paysages et vues de loin parfois trop sommaires tandis que les visages et expressions étaient vraiment très intenses. Comme si, finalement, dans cette aventure Berlion voulait davantage faire ressortir l'intérieur, l'âme de ses personnages. L'âme, c'est d'ailleurs pour elle que se bat le charismatique Frère Dimitriou...
Merci à Berlion pour ces grands moments de bande-dessinées ; je souhaite à TONY CORSO de trouver le chemin du bonheur et de la sérénité :-)
Un seul regret, il n’y a pas encore de tome 8. Cet album nous réserve encore bien des surprises dont celle d’un père volage. Tony apprend ainsi que la personne qui l’entrainait pour le championnat de boxe, avant son internement, n’est autre que son demi-frère.
Dans cet album, Tony rencontre Cassandra, une artiste, à laquelle il va acheter une icône dont l’image lui rappelle sa mère. Mais cette icône, comme trois autres, était réservée à un autre acheteur car chacune contient un élément indissociable des autres et mène à la fortune. Tony et ses amis Madgid et François-Gérôme se trouvent embringués dans une histoire des plus violentes.
Quel dommage que depuis six ans Tony Corso ne connaisse pas d’autres aventures alors que cette série avait haussé son niveau dans ses trois derniers albums.
Une jolie demoiselle en détresse, une bande de tueurs aux trousses, quelques millions a récupérer....la routine pour notre détective à la chemise hawaïenne. On retrouve avec plaisir Tony et ses acolytes dans une intrigue à la fois bien ficelée et rondement bien menée. Le tout agrémenté d'un dessin toujours aussi excellent dans la finesse des visages et des décors.